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Robert Louis Stevenson est incontestablement un maître du roman d'aventures. Mais il écrit aussi bien des romans fantastiques. Récits de voyages, essais, nouvelles, fables, même des ouvrages pour enfants, sa production est variée, attestant de son talent. Son style maîtrisé conjugue émotion, action, et écriture très visuelle.
Avec « Le mort vivant », nous voilà en pleine époque victorienne, avec ses valeurs et sa bonne éducation. Ce roman d'humour noir est le premier des trois oeuvres co-écrites par Stevenson avec son beau-fils, Lloyd Osbourne.
C'est un roman dont le seul but est de divertir le lecteur, avec une histoire parfois absurde, pétrie d'humour « so british », garnie de personnages plus rocambolesques les uns que les autres.
Tout cela empaqueté d'une écriture cynique, sarcastique, grinçante, incisive. Parcourue des interventions de l'auteur, là où parfois on s'y attend le moins.
Stevenson n'est pas tendre avec la société, avec ses contemporains, avec lui-même aussi. Il joue avec astuce des artifices dont il se sert, distillant dans ce roman des coïncidences faciles, mais qu'il assume totalement. Les faiblesses et la stupidité de ses personnages alimentent encore sa causticité, ses moqueries.
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