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Tout démarre d’une façon étrange, tous les piétons se déplacent sans faire attention aux autres et se bousculent, se blessent, se tuent ! Le narrateur ne va pas passer le seuil de la maison où il habite et avec la concierge il va se demander ce qu’il se passe, pourquoi les automobilistes ne sont pas touchés par cette “épidémie” ? Peu après, ses voisins vont se retrouver chez lui et les choses vont continuer à évoluer, la nuit va disparaître et tout va devenir de plus en plus étrange !
A partir de ce constat je n’ai pas compris où voulait en venir l’auteure, quel message elle a voulu faire passer, quel besoin nécessitait ces quasis-monologues, ces introspections qui menaient nulle part !
Je n’ai rien compris, du moins j’ai compris les mots, certaines phrases mais qui, sans but ou rôle défini, n’avaient au final pas grand sens, ni même intérêt !
J’y ai cru longtemps et j’ai fini la lecture mais j’en suis sortie interloquée ! Que l’auteure ait senti le besoin de l’écrire je peux le comprendre, mais le besoin de le partager, ça me dépasse à moins de s'adresser à des psy philosophes mais je suis plus basique et je n’ai pas besoin de la torture mentale pour me sentir en vie !
#lejourouilnyeutplusdenuit #Librinova #servicepresse
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