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J'ai lu avec plaisir ce roman feel good idéal pour se changer les idées. Il y a beaucoup d'aventures ici, on ne s'ennuie pas et les chapitres courts sont chacun consacrés à un personnage particulièrement. Ce livre est léger et facile à lire, avec parfois de l'humour. Il peut être emmené en vacances ou pour patienter dans une salle d'attente.
C'est un roman "feelgood"
J'ai adoré ce livre, je l'ai même dévoré en un rien de temps!!!! Une très belle histoire, des personnages tous très différents et qui pourtant vont se lier d'amitié!!! Je rêverais d'aller dans le café de Monica pour tous les rencontrer!
À la rencontre de Monica dans un café sur Fulham road à Londres. Elle a quitté son lucratif et exténuant métier d’avocat pour réaliser un rêve, ouvrir un café. Mais pas n’importe lequel ! Un café dans lequel on se sent bien, où chacun trouve sa place, où elle connaît les goûts, les habitudes, les envies de chacun.
Pourtant tout n’est pas si simple. Et le jour où un de ses clients oublie un vieux cahier rouge à l’une des tables du café, elle n’a qu’une hâte, le lui rendre. Curieuse de connaître son propriétaire, elle ouvre et commence à lire quelques pages noircies. Oh, surprise, c’est bien l’un de ses client qui a écrit là une partie de sa vie, ses espoirs ses attentes, sa solitude et sa tristesse. Mais bien évidement rien n’indique à le voir que tels peuvent être ses états d’âmes. Intriguée, elle décide de s’en rapprocher.
Mais elle est bien tentée également d’écrire elle aussi dans ce carnet prêt à recueillir les pensées les plus intimes en toute discrétion.
Enfin, discrétion, pas tant que ça finalement, puisque peu à peu, différents protagonistes vont écrire à leur tour dans le carnet, se dévoiler, se confier au silence des pages blanches. Et comme chacun indique son nom et que finalement les limites du quartiers sont plutôt restreintes, chacun des lecteurs suivants connaît tout des précédents rédacteurs.
Commence alors une sorte de chassé-croisé intime et sensible entre les différents protagonistes, qui se cherchent, se dévoilent, se taisent ou se racontent, s’écoutent, et finissent par s’apprivoiser.
chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2022/08/02/le-fabuleux-voyage-du-carnet-des-silencesclare-pooley/
Distrayant, histoire bien ficelée si je puis me permettre et bien écrit : pour le côté ci de la lorgnette, c'est réussi. Pour le côté la de la lorgnette : je n'ai pas été nourrie. Cette lecture m'a quand même permis de débrancher mes petites cellules grises quelques peu survoltées... Une bonne lecture de vacances.
Bon, je ne vais pas passer par quatre chemins, ce livre est pour moi une déception...
Le résumé me plaisait beaucoup et les premières pages m'avaient laissé entrevoir la possibilité d'un bon moment, mais j'ai vite déchanté. En effet, j'ai trouvé tout bien trop prévisible et édulcoré à souhait. A aucun moment je n'ai été surprise et les différents personnages ne m'ont pas touchés... Je dois cependant reconnaitre que ça se lit bien et je peux comprendre que certain-e-s l'aient aimé, mais je dois bien avouer que, pour ma part, j'étais assez contente d'en venir à bout. Si je n'avais pas du le lire dans le cadre du prix des lecteurs pocket, je pense que je l'aurais tout simplement abandonné.
Décidément, la littérature feelgood ce n’est pas pour moi. Les bons sentiments, le partage, la solidarité, la rédemption, toutes ces choses qui remplissent la vie des gens et qui m’ennuient passablement.
L’idée de départ vient d’un vieil artiste qui, miné par la solitude et le regret d’avoir perdu sa femme, décide de coucher ses regrets sur les pages d’un carnet qu’il dépose dans un bar. Et le carnet fait son bonhomme de chemin, d’une main à l’autre, d’une âme en peine à l’autre, pour finir par réunir toute une quantité de personnages en quête d’amour, d’amitié ou de partage.
L’histoire se passe à Londres et la vie y semble douce, on n’y croise que des gentils qui méritent sans aucun doute d’être heureux.
Moi qui aime les environnements sombres, difficiles, sauvages et les personnages blessés, caractériels, habités de secrets et minés de failles, je suis servie.
Avec ce Fabuleux voyage du carnet des silences, tout est lisse, la vie est facile et l’amour en embuscade. Une happy end vient clôturer cette histoire sans vagues, respectant les normes de cette littérature positive.
Ce roman devait s’appeler « Le livre qui a changé nos vies » et je peux vous garantir qu’il n’aura en rien changé la mienne.
J’ai même pensé qu’il serait amusant de réécrire cette histoire, en noircissant les âmes et les destins, pour y trouver un peu d’intérêt.
Mais ça, ce serait un tout autre roman et qu’à cela ne tienne, en suivant le périple de ce carnet des silences, les amateurs du genre vont se régaler et certainement se reconnaître dans les personnages sympathiques de Clare Pooley.
Octobre 2018. Julian Jessop (soixante-dix-neuf ans) artiste-peintre (et veuf depuis quinze ans) se sent terriblement seul. Le vieil homme s’est rendu compte à quel point il aimait Mary, son épouse, à la mort de cette dernière … et confie ses nostalgiques pensées à un petit carnet vert (qu’il va volontairement laisser sur une table, dans un petit bistrot sur Fulham Road)
Monica, la propriétaire du café (du même nom) est âgée de trente-sept ans. Elle avait débuté sa vie professionnelle en tant que juriste avant de prendre un autre chemin. Et lorsqu’elle trouve ce mystérieux calepin, au titre – non moins surprenant – de « carnet des silences », elle n’hésite pas à y noircir quelques pages et à le faire « tourner » dans un autre endroit, comme l’a fait son client …
Ainsi, Timothy Hazard Ford (tout le monde l’appelle Hazard) lui aussi solitaire et plutôt paumé (à trente-huit ans, il est accro à l’alcool et à la drogue, ce qui le rend peu sympathique …) va s’approprier ledit carnet et l’emporter à des milliers de kilomètres de l’Angleterre, lors d’un séjour sur une ile thaïlandaise … Hazard – comme les deux autres – le transmettra subrepticement à Riley, un australien de sa connaissance, juste avant que celui-ci ne reprenne un avion pour Londres …
Un roman tendre (un tantinet « philosophique ») et des personnages attachants. Un récit comportant des détails plus ou moins autobiographiques, nous confiera l’auteure (lire les remerciements finaux) distillés au travers de ses protagonistes (qui sont tous un petit peu « cabossés » par la vie …)
Bien que généralement peu encline à lire des ouvrages du type « feel-good », je dois reconnaitre que – si je n’ai pas éprouvé un réel coup de coeur – je n’ai pas non plus ressenti d’ennui à la lecture de cette intrigue … Une histoire qui met en exergue bon nombre d’émotions ou de questionnements, partagés par beaucoup d’entre nous …
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