80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il y a peu, on a découvert avec un malaise certain que la « beauté » pouvait être le fait trivial d'un corps étranger : d'une prothèse de sein siliconée, par exemple.
L'introduction d'un « corps étranger » dans l'organe familier a introduit du même coup une série de questions et de doutes dans nos représentations :
Quels sont les gestes psychiques ? perceptions, évaluations ? par lesquels on décrète qu'il y a un corps étranger et que c'est un intrus ? Et l'hôte qu'est notre corps n'est-il pas lui-même un étranger, autonome, avec lequel on tente sans cesse de se familiariser ? Enfin, le « corps étranger » ne fait-il pas écho à une question sociétale majeure ?
Tenter de répondre appelle une (re)définition préalable d'un moi-corps, individuel et social, et de nos modèles de pensée.
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