"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Trois générations de femmes, grand-mère, mère et fille se retrouvent lors de l'enterrement de l'arrière-grand-mère. Il faut vider la maison. Et là, Lia, la jeune fille, découvre une boîte qui révèle un secret. L'arrière-grand-mère, abandonnée par son mari, a toujours fait croire à ses descendance qu'il était mort. Elle a éduqué sa fille seule, et malgré tout en lui inculquant la notion de méfiance envers les hommes. Au point que la grand-mère de Lia ainsi que sa mère n'ont jamais pu avoir une relation stable et durable avec aucun homme. Lia veut changer le cours des choses. Elle considère qu'elle a droit d'être heureuse en couple. Ce secret révélé va l'aider à comprendre le comportement de ces femmes. Par contre, sur qui rejeter la faute ? Sur l'arrière-grand-mère ou sur les hommes trop insouciants ? Un super roman qui montre comment l'histoire familiale peut se répéter.
Trois générations de femmes, grand-mère, mère et fille se retrouvent lors de l'enterrement de l'arrière-grand-mère. Il faut vider la maison. Et là, Lia, la jeune fille, découvre une boîte qui révèle un secret. L'arrière-grand-mère, abandonnée par son mari, a toujours fait croire à ses descendance qu'il était mort. Elle a éduqué sa fille seule, et malgré tout en lui inculquant la notion de méfiance envers les hommes. Au point que la grand-mère de Lia ainsi que sa mère n'ont jamais pu avoir une relation stable et durable avec aucun homme. Lia veut changer le cours des choses. Elle considère qu'elle a droit d'être heureuse en couple. Ce secret révélé va l'aider à comprendre le comportement de ces femmes. Par contre, sur qui rejeter la faute ? Sur l'arrière-grand-mère ou sur les hommes trop insouciants ? Un super roman qui montre comment l'histoire familiale peut se répéter.
Mamie Alice vient de mourir.
Le clan Palin se retrouve dans la maison familiale des Landes.
Il y a sa fille, Solange dite Sol
Sa petite-fille Alice
Son arrière petite-fille Lia
En vidant la maison, elles tombent sur une boîte révélant un secret de famille.
Expliquerait-il la vie sentimentale difficile de ce cercle féminin ?
Voilà un livre très plaisant à lire, qui décortique ces générations de femmes avec sensibilité et psychologie.
Un secret peut-il déterminer des vies ?
Est-il possible de se sortir de cette spirale ?
C'est Lia qui raconte, qui veut savoir, qui veut s'en sortir.
Les personnages sont véridiques
Le style est très agréable.
J'ai lu il y a quelques semaines "Le Baiser", 3ème roman de Sophie Brocas et j'avais été emballée par ce roman dont une des sculptures les plus connues de Brancusi en est le cœur.
J'ai voulu poursuivre la découverte de cet auteur et ai arrêté mon choix sur son premier roman, "Le cercle des femmes" paru en 2014. On entre dans la famille Palin, constituée de quatre générations de femmes seules ou presque, ayant un rapport très compliqué aux hommes.
A la mort d'Alice, l'arrière grand-mère de 90 ans, un secret qu'elle avait enfoui toute sa vie de femme refait surface à la faveur de tris de papier et toutes les certitudes ou perçues comme telles de sa fille, Sol, 70 ans, de sa petite-fille Agnès, 47 ans et de son arrière petite-fille Lia, 29 ans, explosent. Le schéma sur lequel se sont bâties ces trois femmes s'effondre en quelques minutes.
Mais ce secret et ses conséquences vont les faire réfléchir, en particulier Lia qui refuse le destin que ce secret semble lui avoir assigné.
Ce roman traite du secret de famille qui peut influencer des générations successives qui reproduisent les mêmes comportements conduisant aux mêmes conséquences ainsi que le thème du choix des femmes dans leur vie amoureuse.
L'écriture est belle, fine, simple, pleine d'émotion comme dans "Le baiser" mais cette histoire est par trop stéréotypée dans le portrait des quatre femmes et la fin est un peu simpliste avec la naissance du petit garçon de Lia qui interrompt cette chaîne de femmes, casse ce cercle de femmes et que ses parents souhaitent éduquer pour en faire un homme sensible aux sentiments des autres et des femmes en particulier.
Un peu déçue par ce livre, sans doute une overdose des secrets de famille. Un petit résumé : une jeune fille perd son arrière-grand-mère, elle se retrouve dans la maison familiale avec sa grand-mère, sa mère et l’amie de la disparue pour faire le tri dans les affaires. Et là dans une boîte à chaussure elle découvre un secret vieux de 60 ans qui a conditionné la vie de quatre générations de femmes…A vous de découvrir la suite, c’est un livre agréable à lire, très bien écrit et c’est un premier roman. Il plaira à beaucoup d’entre vous, moi j’ai trop lu ces derniers temps de livres similaires.
Un livre qui se lit très facilement, mais qui déçoit au fur et à mesure qu'on avance dans les générations. La construction est un peu simpliste, le style se relâche mais surtout... Lia est-elle vraiment sortie du cercle des femmes ? Il est permis d'en douter, en refermant le livre. Y aura-t-il une suite ?
J’avais repéré ce premier roman dans la longue liste des nouveautés de la rentrée littéraire et je me suis laissée tenter. Si le style est très agréable à lire et que les pages se tournent vite, je reste sur une impression mitigée.
J’ai eu d’abord beaucoup d’empathie pour ces personnages féminins, chacun représentant finalement assez bien une époque (chaque génération est représentée : la provinciale née au début du siècle, sa fille qui monte à Paris dans les années 60 pour s’émanciper, la petite-fille qui fait de sa passion son métier et qui élève seule sa fille, l’arrière-petite-fille qui se cherche socialement et sentimentalement à notre époque). Et puis, à force, j’ai fini par m’agacer un peu de ce qui pourrait être une caricature, par trouver la narratrice un peu trop gamine et égoïste.
Je n’ai finalement vraiment aimé qu’un seul personnage féminin, celui de Marie, vraie femme libre qui ne se revendique d’aucun combat féministe, qui ne se glorifie pas d’écraser les hommes ou de les mépriser. J’ai presque apprécié ce personnage tant détesté de l’arrière-grand-père disparu avec une autre femme et que la narratrice retrouve, quasi grabataire et dont la rencontre lui sert à briser le fameux cercle d’infortune conjugale…
Il m’est donc resté après cette lecture un sentiment diffus de roman « facile », un peu convenu, même si je reconnais que la prose m’a plu et que j’ai trouvé les mots agréables, parfois poétiques. Après tout, c’était pas si mal pour un premier roman !
J’aime ces histoires de femmes qui se confrontent aux générations.
J’aime ces histoires de famille racontées à l’ombre des platanes, sous la glycine, lorsque les secrets affleurent.
J’aime écouter les souvenirs égrenés, attablée à la terrasse d’un bistrot tandis que les maraîchers rempilent leurs cageots. Tous ces tableaux pris sur le vif et rassemblés dans ce roman sont des odes à la vie, à ses mensonges et ses petits et grands arrangements.
Le texte de Sophie Brocas est tendre, gai aussi, malgré la mort d’Alice, cette Alice vers qui tous les personnages du livre convergent. La fin se veut résolument positive car elle s’ouvre sur le chemin de la réconciliation et de la confiance retrouvée par cette lignée de femmes avec les hommes.
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