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Le bodhisattva Ksitigarbha, Dizang pusa, occupe dans le bouddhisme chinois ainsi que dans le bouddhisme japonais, une place importante en tant que sauveur des enfers. Il joue à ce titre un rôle capital dans les cérémonies accomplies au bénéfice des défunts.
Ksitigarbha fait partie, dans le bouddhisme indien, des huit grands bodhisattva, mais il ne jouit pas alors d'un culte véritablement individualisé.
Les premières traces d'une dévotion particulière à son égard sont localisées en Asie centrale et en Chine, et remontent au VIè siècle. Dans les siècles qui suivent et ce jusqu'au XIIIè siècle, on assiste à un développement considérable de la popularité de Ksitigarbha et de la dévotion qu'il suscita chez les fidèles. L'Ecole des trois degrès, sanjie jiao, et l'Ecole de la terre pure, jingtu jiao, furent des éléments moteurs dans ce processus.
L'analyse du canon bouddhique et l'étude des manuscrits retrouvés dans les grottes de Dunhuang ont servi de base à ce travail consacré au culte rendu à Ksitigarbha à l'époque médiévale. Cet ouvrage devrait permettre une meilleur compréhension de certains aspects de ce culte à l'époque moderne.
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