"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les plus anciennes photographies de ce petit album ont été prises dans des années 1890 ; les plus récentes au début des années 1970.Les clichés des années 1960 et 1970 appartiennent à l'album de ma famille. Elles ont été faites par ma mère, Pierrette Kalmar, née Picaud, (1935) et par mon père, Joseph Kalmar (1924-1982). Sur ces dernières, outre mes parents, on découvre mes deux soeurs, Élisabeth (1958-2008) et Catherine (1962) ainsi que moi-même (1967) et notre chienne Dolly.J'ignore tout des personnes qui figurent sur les autres photographies.On admirera La Bourboule sous différentes facettes et à diverses époques. Je n'ai pas cherché à privilégier un thème. J'ai simplement choisi les photographies qui, pour moi, présentent un intérêt esthétique, historique ou géographique.La plupart de ces vues sont le travail de photographes amateurs. À ce propos, on remarquera la propension qu'ont mes parents à couper les pieds - et parfois même les jambes - de leurs enfants ! Je pense que les photos de familles témoignent davantage de leur époque que celles de professionnels, généralement plus figées et mises en scène. Elles me semblent aussi plus émouvantes dans leur spontanéité.À présent, je vous invite à tourner la page et à rêver sur ces clichés d'autrefois.Cet ouvrage a obtenu le Prix Témoignages et correspondances 2015 du Cercle Littéraire Catherine de Médicis.
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