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« Quatre titres de champion de France, deux d'Espagne, une Coupe latine, trois Coupes d'Europe, un Ballon d'or en 1958, un titre de meilleur joueur de la Coupe du monde cette même année, le petit Kopaszewski, devenu Kopa « le Napoléon du football », comme m'avait surnommé un journaliste anglais un jour de mars 1955, a côtoyé les plus grands :
Pelé, Di Stéfano, Puskás.
J'en suis fier.
Comme je le suis d'avoir toujours été aussi collectif sur un terrain que dans la vie en prenant la défense de mes pairs quand il le fallait, en luttant pour que les joueurs gagnent leur liberté.
Fier également de l'après--football, moi qui n'ai eu qu'une obsession tout au long de ma carrière :
Ma reconversion.
De Noeux--les--Mines à Madrid, en passant par Angers et Reims, je n'ai jamais cessé de penser que le ballon était avant tout un plaisir énorme.
Mais pas un métier.
Gamin, je songeais à devenir électricien.
J'étais loin de me douter que j'enfilerais un jour le costume de chef d'entreprise avec la création du groupe Kopa en 1965.
» Dans ce livre de mémoires au style enlevé, on comprend mieux pourquoi Raymond Kopa restera dans les mémoires un joueur d'exception, le premier roi du ballons rond.
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