Des idées de lecture pour ce début d'année !
Au début du XXe siècle qu'en était-il de la Lorraine, province amputée de sa partie mosellane par les traités de 1871, pour ce qui concerne la vie quotidienne de ses habitants ? De mêmes moeurs, porteurs d'une histoire quasiment commune, les habitants des départements « républicains » de la Meuse, de la Meurthe-et-Moselle, des Vosges et de l'ancienne (et future) Moselle ont été formaté dans le même moule ethnographique de traditions voisines, depuis des générations. Qu'ils fussent anonymes, paysans, ouvriers, femmes de peine ou illustres personnages - comme Barrès, Poincaré ou Marthe Richard -, tous s'intégrèrent parfaitement dans ce creuset commun qui donnait à voir l'image aimable de cette province. L'ouvrage met particulièrement l'accent sur les us et coutumes, sur le quotidien des Lorrains et des Lorraines, race rude mais droite, unique mais universelle, captivante et passionnante, confrontée aux aléas de sa situation géographique depuis les invasions barbares du Ve siècle.
L'auteur a mené le même travail passionnant sur les anciennes provinces de Guyenne, Gascogne, Béarn, Pays Basque et Bretagne.
Serge Pacaud, historien et écrivain a publié, entre autres, plusieurs ouvrages sur les traditions et les coutumes des provinces de France autour de la Belle Époque. Il a vécu et travaillé plusieurs années durant à Metz, en Lorraine. Aussi, dans ce nouvel ouvrage, il s'attache à montrer toutes les facettes de la Lorraine d'il y a cent ans à travers la carte postale, province fantasmée pour les uns, vilipendée pour d'autres, mais appréciée par tous ceux qui la connaissent.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."