"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pendant soixante-dix ans, le développement des armes soviétiques est resté mystérieux pour les observateurs occidentaux.
Après 1990, les choses ont évolué, le démantèlement de l'Union soviétique et la disparition du Pacte de Varsovie ont permis d'en savoir davantage. Mieux, l'ouverture du nouvel état russe et de ses anciens alliés vers l'économie de marché, ont permis à leurs industriels de proposer de nouveaux matériels et de diffuser des informations sur leurs productions. Ils sont maintenant présents sur les grands salons internationaux et c'est ainsi que j'ai pu rencontrer Mikaïl Kalashnikov dès 1994.
L'arme dont il est l'inventeur devait s'affirmer comme l'arme universelle des troupes soviétiques, de l'Europe Centrale, de la Chine et de leurs alliés. Très rapidement, le "Kalash" est entrée en service dans de nombreux pays indépendants (ou qui souhaitaient le devenir) en Asie, en Afrique et en Amérique latine. On estime que plus de cent millions de Kalashnikov ont été produits en soixante ans, venant ainsi remplacer un parc équivalent de fusils Mauser.
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