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Les superlatifs n'en finiront pas de définir cette expérience "grandeur irréelle" qu'est la ville de Dubaï, autant pour l'architecte que pour le visiteur et le photographe.
L'art de Philippe Robin nous en donne une idée au long des pages de cet ouvrage. Grandeur, perspective et vertige qualifient autant ce que la photographie donne à voir des bâtiments et des chantiers que du projet mystérieux, presque prométhéen, qui sous-tend la création de ce monde entre fiction et réalité. Il règne encore ici la fièvre d'un théâtre avant la représentation.
Dans DUBAÏ SHOW, l'oeil du photographe nous promène de la coulisse, où son regard croise celui de l'ouvrier soudain sorti de l'anonymat par la grâce d'un instantané, aux ors des hôtels et centres commerciaux, vastes lieux de vie climatisés pour nantis du monde entier. A l'instar des jardins et des jeux d'eau qui ponctuent ça et là la mise en scène du désert, le gigantisme des aquariums et station de ski sont un défi au soleil.
La lumière enfin est peut-être le vrai sujet du photographe, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur des édifices. Reflets, transparences, illusions, il ne manque que le bruit dans ces pages, ce qui contribue définitivement à placer le lecteur du côté de la fiction.
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