80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ce volume analyse le rapport étroit qui existe entre la structuration des connaissances et l'évolution terminologique et langagière dans la presse scientifique française, en tant que genre textuel, au cours des quarante premières années du XVIIIe siècle. L'auteur part de l'hypothèse que, pendant certaines périodes complexes de l'histoire des sciences, l'évolution de la langue et l'évolution des connaissances sont liées à un genre textuel novateur utilisé au sein de la communauté savante. Ces évolutions se réalisent notamment lorsque les domaines scientifiques sont impliqués au niveau linguistique dans une nécessité de systématisation du vocabulaire témoignant de l'adoption progressive de structures nouvelles de la pensée. Cet ouvrage reconstruit la naissance du genre de la presse scientifique périodique en France qui participe à plein titre à la construction des réseaux conceptuels des sciences modernes, ainsi qu'à leur stabilisation et à l'usage des terminologies scientifiques modernes. Le choix des domaines de la botanique et de la chimie repose sur leur reconnaissance en tant que sciences à part entière en dehors des finalités médicales et thérapeutiques auxquelles elles ont été longtemps confinées par les savants. Par conséquent, de nouveaux besoins de dénomination découlent du positionnement de ces champs disciplinaires au sein de la topologie des savoirs scientifiques.
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