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" La morale est plus importante que l'arithmétique ", disait Leibniz de qui est largement inspiré cet ouvrage qui examine un type très particulier du rapport des mathématiques et de la charité.
En ce qu'il a d'évident, ce rapport est inessentiel : la charité ne calcule pas. C'est dans un sens second, mais non moins vital, qu'elle se lie aux mathématiques. Sans être elle-même nombrée, elle s'adonne au calcul des miettes. Il lui arrive de donner un presque rien qui est tout et prend garde à ne pas briser un roseau froissé. Elle calcule le fort peu en vue d'octroyer l'infini et de contrer la réduction au néant qui menace l'être et la conscience.
L'ouvrage peut se lire non seulement comme un croisement de la Bible et de Leibniz, mais tout autant comme un essai sur Stevenson, Cocteau et Matheson. Les fictions, dit le philosophe, si bizarres soient-elles " ont leur usage dans la spéculation pour bien connaître la nature de nos idées "
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