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Le 5 juin 1944, René Lepelley prend le train à Paris pour regagner Pont-Hébert.
Bien sûr, les trajets ferroviaires sont incertains en cette période d'Occupation, mais le jeune homme est loin d'imaginer ce qui l'attend. Après avoir échappé à un bombardement, il décide de regagner la Normandie à pied. Commence alors un périple de huit jours, où il verra la France espérer en la victoire des Alliés. Il vivra une série de mésaventures tragi-comiques où la solidarité d'un pays en guerre s'exprimera souvent de façon sympathique.
A mesure qu'il avancera, il s'approchera du danger, des armées qui s'affrontent. Il traversera des villages dévastés, avec un seul but : revoir les siens. Mais sont-ils encore vivants ? C'est ensuite la vie d'une commune rurale de la Manche entre le jour où les Alliés ont débarqué à quelques vingt-cinq kilomètres de là et celui où leurs lignes ont atteint le refuge du narrateur : près de sept semaines pleines d'espoirs, de dangers et de peurs, rapportées au jour le jour.
Y. ! Après avoir publié une quinzaine d'ouvrages consacrés aux aspects linguistiques de la Normandie. René Lepelley a retiré de ses archives personnelles deux cahiers sur lesquels il avait écrit, durant l'été 44, son " journal " des faits auxquels il avait été mêlé bien involontairement.
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