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Trois Français ont joué à des titres divers un rôle important aux côtés de l'empereur Ménélik (1889-1913) : Léon Chefneux, homme d'affaires, Casimir Mondon-Vidailhet, « agent officieux » du gouvernement français et Léonce Lagarde son premier représentant officiel. Ni la vie, ni l'oeuvre d'aucun de ces trois hommes n'ont à ce jour été l'objet d'études approfondies. Les papiers laissés par Lagarde et Chefneux n'ont pas été publiés et peu utilisés. Quant à Mondon-Vidailhet, il a disparu sans laisser de traces à en croire les auteurs d'un article paru en 1969 qui écrivaient : « Il semble donc que la personnalité de Mondon n'ait pas laissé de trace soit dans l'actualité, soit dans le monde scientifique ». Sa biographie était alors assez floue, son influence sur les événements du règne de Ménélik assez incertaine et ses oeuvres, pourtant nombreuses, suffisamment oubliées, pour que cette opinion ait semblé raisonnable. Les recherches relatives à Chefneux et à Lagarde sont au point mort. En revanche, l'utilisation de nouvelles données relatives à Mondon-Vidailhet (il s'agit principalement d'une note rédigée par son frère Stanislas) a permis d'obtenir depuis quelques résultats que l'on trouvera consignés dans ces lignes.
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