80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
CÂ'est une épopée formidable dans laquelle nous entraine lÂ'auteur à la suite du grand général vendéen que lÂ'on se prend à admirer dés le premier chapitre ! Plume au chapeau, sabre à lÂ'arçon, Monsieur Georges se bat comme un lion. Dans sa correspondance, il signe Gédéon en référence au célèbre Juge dÂ'Israël. Cadoudal, en adoptant ce pseudonyme biblique, affirme la faiblesse de ses ressources mais lÂ'élévation spirituelle de son but. « Avec Georges sont mortes les dernières puissances rurales, les suprêmes et sublimes mouvements populaires : lÂ'âme loyale, fervente et paysanne , lÂ'âme des longues rêveries, des ténacités que rien nÂ'abat, lÂ'âme dÂ'acceptation chrétienne et de candide révolte , lÂ'âme des pâtres, des forestiers, des laboureurs, lÂ'âme des mains jointes ou rivées sur lÂ'outil. » (Jean de La Varende)
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