"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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Toute cette saga Blacwater, les six ouvrages, m'ont intéressée au plus haut point, et sitôt un tome fini, je m'empressais de le le suivant dès sa parution.
Je ne pouvais pas rester sur ma faim, j'ai enchaîné avec le tome suivant…
Manipulations, trahisons et manigances sont vraiment les spécialités de Mary-Love Caskey, mais Elinor sa belle-fille est définitivement décidée à ne pas se laisser faire. Mary-Love a bien du mal à rester sereine, mais tout n'est pas encore fini.
La digue censée protéger la ville des crues dévastatrices, va enfin commencer à se construire au désespoir d'Elinor qui ne pourra plus profiter de son fleuve…
Un second volet plus pointu, je pense que nous ne sommes toujours pas dans le vif du sujet, mais nous allons de découvertes en découvertes et le surnaturel vient s'immiscer sournoisement (légendes, sorcellerie…).
En plus, des crises financières suite à la crue, s'ajoutent maintenant les crises familiales, les violences au sein du couple, viols, violences physiques et meurtres. L'arrivée de plusieurs milliers d'ouvriers dans la ville n'y est sûrement pas pour rien…
Une très bonne suite au style fluide !
Devinez quelle sera ma prochaine lecture ?
On continue à suivre les histoires de ce village qui borde les rives de la dangereuse Perdido, et plus précisément de la famille Caskey... Mais aussi de plein de nouveaux personnages. Les ravages de la crue précédente se font encore sentir, et les habitants en ont toujours peur... au point d'envisager des solutions Un Peu Extrêmes peut-être ?
C'est toujours un plaisir de suivre toutes ces différentes personnalités, surtout Eleonor. Et quelle fin !! Des frissons d'angoisse.
Très belle saga, intrigante certes mais le suspense n'y est pas. Les personnages manquent d'épaisseur, et nous restons à distance des évènements; impossible de se fondre dans l'histoire.
Elinor attend un deuxième enfant. Les relations avec sa belle-mère sont restées tendues. Une nouvelle contrariété arrive : la municipalité de Perdido a décidé d’investir dans la construction d’une digue, pour protéger la ville d’une crue future, ce qui priverait Elinor de la vue sur sa chère rivière. Mary-Love invite l’ingénieur responsable du projet à séjourner chez elle. Elle n’avait cependant pas anticiper les bouleversements qui en résulteraient. La belle soeur de James fait irruption dans la vie de la famille Caskey.
Tout au long de cet épisode, alerté par ce que l’on a entrevu des pouvoirs d’Elinor, on craint pour tous les partisans du futur chantier. Si Elinor se résigne finalement, ce n’est pas sans conséquence. Les personnages confirment leurs forces et leurs faiblesses. Perdido évolue.
A ce stade, le lecteur est ferré, impossible d’envisager l’abandon de cette saga et d’ignorer la suite des aventures de la famille Caskey.
244 pages Monsieur Toussaint Louverture 22 avril 2022
Toujours aussi addictif, si pas plus.
J'ai également succombé à la déferlante Blackwater, influencée par tous les posts ultra positifs sur Insta. J'ai adoré cette saga, un vrai coup de cœur, j'ai enchaîné les tomes, tentant parfois de me freiner dans ma lecture mais sans succès. J'ai adoré et pourtant je suis incapable d'expliquer clairement pourquoi... c'est la magie de ce genre de livres. J'ai du mal à me dire qu'il n'y aura pas de suite, je ne suis pas prête à dire au revoir aux Caskey.
Il me faut aussi souligner la beauté des livres, les couvertures sont tout simplement magnifiques.
Une saga dans laquelle on se plonge pour n'en émerger qu'au point final du sixième tome... ou pas.
Aussitôt dévoré le tome 1 du feuilleton Blackwater en mode goinfre que le deuxième fut avalé, tout aussi addictivement.
Comme le titre l'indique, l'intrigue est cette fois construite autour de l'édification d'une digue censée protéger la ville de Perdido des crues ravageuses. Michael McDowell intègre de nouveaux personnages dans la galaxie Cuskey qui vont venir perturber ou renforcer la guerre entre la matriarche Mary-Love et sa belle-fille Ellinor. J'ai particulièrement apprécié le personnage de la pauvre Queenie … D'autres personnages de la famille Cuskey, peut exploité dans le premier tome sont également mis en avant de belle manière, comme Sister, la fille de Mary-Love, qui révèle son jeu avec brio.
Pour le reste, j'ai regretté qu'Ellinor soit un peu retrait. Plus mystérieuse que jamais, chacune de ses apparitions électrise mais l'auteur fait le choix de faire mariner son lecteur. Et lorsque le surnaturel jaillit, dans une seule scène ( chapitre « La Première pierre » ), cette fois, waouah, l'effet de sa violente crudité est maximal et rompt le ronron répétitif des affrontements ( un peu longuets ) entre Mary-Love, Ellinor et Sister.
Et puis, il y a ce dernier chapitre aux dernières pages absolument magistrales. Stephen King, maitre en la description des terreurs enfantines, auraient pu les écrire avec son art à faire surgir l'horreur d'un environnement quotidien et banal :
« En cas de pluie, elle s'installait sous le porche, sur la chaise la plus proche des marches afin qu'au moindre bruit suspect provenant de l'intérieur elle puisse s'enfuir dans la cour. En ces pénibles occasions, Frances ne se risquait surtout pas à tourner la tête pour regarder les fenêtres du grand salon, par crainte de ce qui pourrait lui rendre son regard. Aux yeux de la petite, la maison était une tête gigantesque, et elle, un juteux morceau de viande idéalement tombé dans sa bouche béante. le porche de devant figurait cette bouche au large sourire, la balustrade blanche en constituait les dents du bas, la frise en bois qui la surplombait les dents du haut, et la grosse chaise osier sur laquelle elle était assise, sa grosse langue verte. Frances attendait, se demandant à quel moment les mâchoires se refermeraient sur leur proie. »
Le tome 3 à paraître le 5 mai s'intitule La Maison, justement … J'y serai !
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