Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Si chaque écrivain reçu à Lettres sur cour l'a été pour lui-même et pour son oeuvre propre, il n'en a pas moins été considéré d'abord comme un lecteur, détenteur certes d'une autorité plus grande que celle du lecteur ordinaire, mais lecteur néanmoins, susceptible de donner au public, venu chaque année plus nombreux à ces joyeux rendez-vous, des indications de lecture.
Chacun s'est acquitté de la tâche avec humilité et sérieux et de la sorte a dit beaucoup de lui-même, tant il est vrai que la bibliothèque d'un honnête homme, même limitée à quinze titres, constitue un assez bon portrait de l'homme sinon la preuve irréfutable de son honnêteté. Jamais nous ne sommes entièrement rassurés par la liste de l'un, jamais totalement pris à contre-pied par celle de l'autre.
La surprise vient toujours à point nommé, car les auteurs de ce savoureux catalogue ne sont pas de savants professeurs de littérature, ils n'obéissent à aucun programme.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Le jury et les internautes récompensent ce roman publié aux éditions l’Arpenteur