"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'explosion du réacteur n° 4 de la centrale de Tchernobyl, le 26 avril 1986, survient un an après l'arrivée au pouvoir de Mikhail Gorbatchev. Ses mots d'ordre, perestroïka (« restructuration ») et glasnost (« expression à voix haute »), allaient sans doute conduire à l'effondrement de l'Empire soviétique.
Or, pour comprendre cette crise finale de l'URSS, il nous faut prendre appui, plus que sur les dirigeants et les dirigés, sur des villes de l'atome, comme Pripiat, la cité-dortoir modèle de la centrale de Tchernobyl. C'est l'histoire de cette société urbaine, menée par l'idéologie communiste du « progrès », que relate ici Laurent Coumel.
Quel était le mode de vie à Pripiat ? Quelles étaient les aspirations, portées par des succès économiques et technologiques réels, des hommes et des femmes qui l'habitaient ? Quelles fragilités et quelles tensions les traversaient ? Comment se vivait une journée à l'ombre de Tchernobyl et du communisme soviétique ? Une plongée sidérante dans un monde peut-être pas si disparu...
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