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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • jourgetoux a dit :
    Le clapotis de l’eau remplaçait le flot des mots,
    L’éclat des gouttelettes ruisselait de lumières,
    Cascades d’oiseaux mouillaient leurs plumes,
    Fraîcheur d’été, se baignait la belle brune,
    Loin des regards, brillaient ses yeux verts,
    Joli paradis caché, perlait sur sa peau.


    Vive le paradis ! Merci pour ce texte ça fait rêver ! Bisous
  • L'eau, intrépide et fraîche, courait, cascadait, moussait au pied du vieux rocher qui se prenait pour le trône d'une fée régnant sur les eaux vives. Gris et moussu, il abritait les insectes dans ses anfractuosités et accueillait volontiers les oiseaux qui aimaient ce perchoir penché au dessus du ruisseau. Sans doute qu'à ses pieds, sous l'eau, les poissons et les petits animaux aquatiques trouvaient aussi refuge dans ses creux. Le vieux rocher débonnaire aimait sentir cette vie qui palpitait sur ses flancs, son dos et jusque dans ses soubassements, le chatouillant avec douceur. Mais ce qu'il aimait le plus, c'était la venue à la nuit tombée, de la fée. Fatiguée par son long périple à travers son royaume, elle venait s'allonger sur son dos encore tiède de la chaleur du jour et s'endormait jusqu'à l'aube, bercée par le murmure rassurant du ruisseau.
    Mais toi, l'humain, si tu penses pouvoir observer la belle fée sur son rocher, oublie ton désir , car elle ne se montre qu'aux êtres simples au cœur pur pour les emporter dans son royaume. Alors, passe ton chemin et laisse les êtres de la forêt à leur quiétude car tu as besoin d'eux pour vivre en harmonie avec la nature.
  • Regine Zephirine a dit :
    L'eau, intrépide et fraîche, courait, cascadait, moussait au pied du vieux rocher qui se prenait pour le trône d'une fée régnant sur les eaux vives. Gris et moussu, il abritait les insectes dans ses anfractuosités et accueillait volontiers les oiseaux qui aimaient ce perchoir penché au dessus du ruisseau. Sans doute qu'à ses pieds, sous l'eau, les poissons et les petits animaux aquatiques trouvaient aussi refuge dans ses creux. Le vieux rocher débonnaire aimait sentir cette vie qui palpitait sur ses flancs, son dos et jusque dans ses soubassements, le chatouillant avec douceur. Mais ce qu'il aimait le plus, c'était la venue à la nuit tombée, de la fée. Fatiguée par son long périple à travers son royaume, elle venait s'allonger sur son dos encore tiède de la chaleur du jour et s'endormait jusqu'à l'aube, bercée par le murmure rassurant du ruisseau.
    Mais toi, l'humain, si tu penses pouvoir observer la belle fée sur son rocher, oublie ton désir , car elle ne se montre qu'aux êtres simples au cœur pur pour les emporter dans son royaume. Alors, passe ton chemin et laisse les êtres de la forêt à leur quiétude car tu as besoin d'eux pour vivre en harmonie avec la nature.



    Comme c’est beau, apaisant… ressourçant même. Peut-être que dans une prochaine vie, je serai un rocher ? Suchard… si possible… ?
  • Regine Zephirine a dit :
    L'eau, intrépide et fraîche, courait, cascadait, moussait au pied du vieux rocher qui se prenait pour le trône d'une fée régnant sur les eaux vives. Gris et moussu, il abritait les insectes dans ses anfractuosités et accueillait volontiers les oiseaux qui aimaient ce perchoir penché au dessus du ruisseau. Sans doute qu'à ses pieds, sous l'eau, les poissons et les petits animaux aquatiques trouvaient aussi refuge dans ses creux. Le vieux rocher débonnaire aimait sentir cette vie qui palpitait sur ses flancs, son dos et jusque dans ses soubassements, le chatouillant avec douceur. Mais

    ce qu'il aimait le plus, c'était la venue à la nuit tombée, de la fée. Fatiguée par son long périple à travers son royaume, elle venait s'allonger sur son dos encore tiède de la chaleur du jour et s'endormait jusqu'à l'aube, bercée par le murmure rassurant du ruisseau.
    Mais toi, l'humain, si tu penses pouvoir observer la belle fée sur son rocher, oublie ton désir , car elle ne se montre qu'aux êtres simples au cœur pur pour les emporter dans son royaume. Alors, passe ton chemin et laisse les êtres de la forêt à leur quiétude car tu as besoin d'eux pour vivre en harmonie avec la nature.


    Bonsoir merci pour ce magnifique texte !
  • jourgetoux a dit :
    Comme c’est beau, apaisant… ressourçant même. Peut-être que dans une prochaine vie, je serai un rocher ? Suchard… si possible… ?


    Bruno tu es trop drôle ! En rocher Suchard tu serais excellent en tous les cas c'est vrai que c'est très calme comme texte très paisible très beau
  • Regine Zephirine a dit :
    L'eau, intrépide et fraîche, courait, cascadait, moussait au pied du vieux rocher qui se prenait pour le trône d'une fée régnant sur les eaux vives. Gris et moussu, il abritait les insectes dans ses anfractuosités et accueillait volontiers les oiseaux qui aimaient ce perchoir penché au dessus du ruisseau. Sans doute qu'à ses pieds, sous l'eau, les poissons et les petits animaux aquatiques trouvaient aussi refuge dans ses creux. Le vieux rocher débonnaire aimait sentir cette vie qui palpitait sur ses flancs, son dos et jusque dans ses soubassements, le chatouillant avec douceur. Mais ce qu'il aimait le plus, c'était la venue à la nuit tombée, de la fée. Fatiguée par son long périple à travers son royaume, elle venait s'allonger sur son dos encore tiède de la chaleur du jour et s'endormait jusqu'à l'aube, bercée par le murmure rassurant du ruisseau.
    Mais toi, l'humain, si tu penses pouvoir observer la belle fée sur son rocher, oublie ton désir , car elle ne se montre qu'aux êtres simples au cœur pur pour les emporter dans son royaume. Alors, passe ton chemin et laisse les êtres de la forêt à leur quiétude car tu as besoin d'eux pour vivre en harmonie avec la nature.


    Merci pour ce beau texte plein d'émotions, de sensations et de mystère. Voici la photo (pas surexposée) de ce rocher en équilibre.
  • jourgetoux a dit :
    Le clapotis de l’eau remplaçait le flot des mots,
    L’éclat des gouttelettes ruisselait de lumières,
    Cascades d’oiseaux mouillaient leurs plumes,
    Fraîcheur d’été, se baignait la belle brune,
    Loin des regards, brillaient ses yeux verts,
    Joli paradis caché, perlait sur sa peau.

    Joli, astucieux, plein de fraicheur, d'amour et de vécu peut-être dans cette belle poésie.
    Voici une autre photo, prise dans le même coin, si ça inspire Bruno, les copines et les copains.
  • Oui c'est top !
  • JO JOur de JOie. !

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