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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • wouaf! ma balle, l'est où hein ma baballe? courir, galoper... et l'autre qui s’essouffle, wouaf! encore courir, vent dans la gueule... japper et courir, attendre? repartir vite, plus vite. Ivresse. C'est quoi, ça? Gros tas très dur, couleurs immondes. Immondices humains sur mon chemin! Contourner? Non. Stop course. Attendre. Fait quoi, l'humain-maitre? Attendre encore Wouaf. Pas une vie de chien.

    Ps: j'ai pris du retard...ma réponse à l'accroche du 12 juin sur Louloute à l'océan!
  • Regine Zephirine a dit :
    wouaf! ma balle, l'est où hein ma baballe? courir, galoper... et l'autre qui s’essouffle, wouaf! encore courir, vent dans la gueule... japper et courir, attendre? repartir vite, plus vite. Ivresse. C'est quoi, ça? Gros tas très dur, couleurs immondes. Immondices humains sur mon chemin! Contourner? Non. Stop course. Attendre. Fait quoi, l'humain-maitre? Attendre encore Wouaf. Pas une vie de chien.

    Ps: j'ai pris du retard...ma réponse à l'accroche du 12 juin sur Louloute à l'océan!

    Coucou bravo pour ce texte ! Et merci beaucoup !
  • Kryan a dit :

    REPONSE A L'ACCROCHE DE KYRAN:
    Il était une fois, dans un petit bois, un faon nommé Faoné, qui se promenait tranquillement avec sa maman. Le nez en l'air, il s'était égaré en courant après un joli papillon venu le taquiner. Le magnifique papillon arborant les milles couleurs de l’arc-en-ciel, s'était d'abord posé sur le petit museau de Faoné ; ce qui l'avait fait loucher. Pour s'en débarrasser, Faoné avait d’abord sautillé, mais le papillon était resté quand même sur son nez. Il avait fait quelques cabrioles dans la mousse tendre, mais le papillon restait quand même agrippé à lui ! Quand il eut l'idée de frotter son museau contre un tronc d'arbre, le papillon sauta alors sur son front et y resta collé. Agacé Faoné s'était mis à danser le hip-hop, puis la samba, puis la salsa, puis le sirtaki, mais le papillon s’agrippait tant que Faoné décida de piquer un sprint. Quand il réalisa que le papillon s'était enfin envolé, Faoné constata qu’il se trouvait à l'orée du bois, dans une prairie, et comble de malchance, il avait perdu sa maman !
    Il constatait amèrement, avec des larmes pleins les yeux, qu’il n’avait aucun ami pour lui venir en aide. C'est alors que le joli papillon apparut soudain devant lui ; Faoné décida de le suivre en gambadant. Le papillon qui virevoltait à quelques mètres de lui, était rentré dans le bois. Quelques secondes plus tard, il atterrissait sur une souche pour attendre Faoné. Puis il reprenait son envol, planait en se prélassant avant de se poser sur un champignon, sur un caillou, sur la clochette d'un brin de muguet, sur une branche, sur une feuille. Faoné s'amusait tant qu'il avait fini par oublier ses soucis en suivant le papillon des yeux. Quand soudain il vit le papillon se poser sur un gros derrière, c'était Bichette sa maman adorée qui scrutait la forêt pour retrouver son enfant. « Coucou, je suis là » semblait dire Faoné en se jetant dans les pattes de sa mère. Les retrouvailles furent chaleureuses et émouvantes ; on se câlina longuement et le papillon taquin décida de se poser définitivement sur la queue de Bichette afin que Faoné suive toujours sa maman et ne la perde plus jamais.
    Faoné et le papillon étaient alors devenus les meilleurs amis du monde.
  • Regine Zephirine a dit :
    wouaf! ma balle, l'est où hein ma baballe? courir, galoper... et l'autre qui s’essouffle, wouaf! encore courir, vent dans la gueule... japper et courir, attendre? repartir vite, plus vite. Ivresse. C'est quoi, ça? Gros tas très dur, couleurs immondes. Immondices humains sur mon chemin! Contourner? Non. Stop course. Attendre. Fait quoi, l'humain-maitre? Attendre encore Wouaf. Pas une vie de chien.

    Ps: j'ai pris du retard...ma réponse à l'accroche du 12 juin sur Louloute à l'océan!

    Il n'est jamais trop tard pour bien faire !
  • Cymone a dit :
    Il n'est jamais trop tard pour bien faire !


    Tout à fait !
  • Cymone a dit :
    REPONSE A L'ACCROCHE DE KYRAN:
    Il était une fois, dans un petit bois, un faon nommé Faoné, qui se promenait tranquillement avec sa maman. Le nez en l'air, il s'était égaré en courant après un joli papillon venu le taquiner. Le magnifique papillon arborant les milles couleurs de l’arc-en-ciel, s'était d'abord posé sur le petit museau de Faoné ; ce qui l'avait fait loucher. Pour s'en débarrasser, Faoné avait d’abord sautillé, mais le papillon était resté quand même sur son nez. Il avait fait quelques cabrioles dans la mousse tendre, mais le papillon restait quand même agrippé à lui ! Quand il eut
    l'idée de frotter son museau contre un tronc d'arbre, le papillon sauta alors sur son front et y resta collé. Agacé Faoné s'était mis à danser le hip-hop, puis la samba, puis la salsa, puis le sirtaki, mais le papillon s’agrippait tant que Faoné décida de piquer un sprint. Quand il réalisa que le papillon s'était enfin envolé, Faoné constata qu’il se trouvait à l'orée du bois, dans une prairie, et comble de malchance, il avait perdu sa maman !
    Il constatait amèrement, avec des larmes pleins les yeux, qu’il n’avait aucun ami pour lui venir en aide. C'est alors que le joli papillon apparut soudain devant lui ; Faoné décida de le suivre en gambadant. Le papillon qui virevoltait à quelques mètres de lui, était rentré dans le bois. Quelques secondes plus tard, il atterrissait sur une souche pour attendre Faoné. Puis il reprenait son envol, planait en se prélassant avant de se poser sur un champignon, sur un caillou, sur la clochette d'un brin de muguet, sur une branche, sur une feuille. Faoné s'amusait tant qu'il avait fini par oublier ses soucis en suivant le papillon des yeux. Quand soudain il vit le papillon se poser sur un gros derrière, c'était Bichette sa maman adorée qui scrutait la forêt pour retrouver son enfant. « Coucou, je suis là » semblait dire Faoné en se jetant dans les pattes de sa mère. Les retrouvailles furent chaleureuses et émouvantes ; on se câlina longuement et le papillon taquin décida de se poser définitivement sur la queue de Bichette afin que Faoné suive toujours sa maman et ne la perde plus jamais.
    Faoné et le papillon étaient alors devenus les meilleurs amis du monde.


    J'aime beaucoup ton histoire amicale bisous
  • Cymone a dit :
    REPONSE A L'ACCROCHE DE KYRAN:
    Il était une fois, dans un petit bois, un faon nommé Faoné, qui se promenait tranquillement avec sa maman. Le nez en l'air, il s'était égaré en courant après un joli papillon venu le taquiner. Le magnifique papillon arborant les milles couleurs de l’arc-en-ciel, s'était d'abord posé sur le petit museau de Faoné ; ce qui l'avait fait loucher. Pour s'en débarrasser, Faoné avait d’abord sautillé, mais le papillon était resté quand même sur son nez. Il avait fait quelques cabrioles dans la mousse tendre, mais le papillon restait quand même agrippé à lui ! Quand il eut
    l'idée de frotter son museau contre un tronc d'arbre, le papillon sauta alors sur son front et y resta collé. Agacé Faoné s'était mis à danser le hip-hop, puis la samba, puis la salsa, puis le sirtaki, mais le papillon s’agrippait tant que Faoné décida de piquer un sprint. Quand il réalisa que le papillon s'était enfin envolé, Faoné constata qu’il se trouvait à l'orée du bois, dans une prairie, et comble de malchance, il avait perdu sa maman !
    Il constatait amèrement, avec des larmes pleins les yeux, qu’il n’avait aucun ami pour lui venir en aide. C'est alors que le joli papillon apparut soudain devant lui ; Faoné décida de le suivre en gambadant. Le papillon qui virevoltait à quelques mètres de lui, était rentré dans le bois. Quelques secondes plus tard, il atterrissait sur une souche pour attendre Faoné. Puis il reprenait son envol, planait en se prélassant avant de se poser sur un champignon, sur un caillou, sur la clochette d'un brin de muguet, sur une branche, sur une feuille. Faoné s'amusait tant qu'il avait fini par oublier ses soucis en suivant le papillon des yeux. Quand soudain il vit le papillon se poser sur un gros derrière, c'était Bichette sa maman adorée qui scrutait la forêt pour retrouver son enfant. « Coucou, je suis là » semblait dire Faoné en se jetant dans les pattes de sa mère. Les retrouvailles furent chaleureuses et émouvantes ; on se câlina longuement et le papillon taquin décida de se poser définitivement sur la queue de Bichette afin que Faoné suive toujours sa maman et ne la perde plus jamais.
    Faoné et le papillon étaient alors devenus les meilleurs amis du monde.


    J'aime beaucoup ton histoire amicale bisous


  • ACCROCHE: Que vous inspire cette photo ?[/b]
    Cette photo étant surexposée, on ne voit pas bien le torrent qui coule au pied de ce gros rocher carré posé en équilibre. Mais avec cette description, vous allez pouvoir écrire j'espère ! Merci Kryan de m'avoir fait remarquer ce problème. Malheureusement je n'ai pris qu'une photo ce matin !
  • Cymone a dit :
    ACCROCHE: Que vous inspire cette photo ?[/b]

    Mon texte sur mon accroche:
    Sortir de sa déprime comme on sort d’un sous-bois
    Remonter la pente, oublier ses craintes et ses peurs
    Comme un véritable guerrier, affronter ses ennemis
    Ne plus s’en laisser compter, redébouler dans la vie.
    Tout comme un rocher emporté par le torrent en furie,
    Retrouver son équilibre, croire encore au vrai bonheur.
    Croire à l’amour qui guérit tout ; laisser éclater sa joie.
  • Cymone a dit :
    Mon texte sur mon accroche:
    Sortir de sa déprime comme on sort d’un sous-bois
    Remonter la pente, oublier ses craintes et ses peurs
    Comme un véritable guerrier, affronter ses ennemis
    Ne plus s’en laisser compter, redébouler dans la vie.
    Tout comme un rocher emporté par le torrent en furie,
    Retrouver son équilibre, croire encore au vrai bonheur.
    Croire à l’amour qui guérit tout ; laisser éclater sa joie.


    Coucou ma chère, alors ton texte est magnifique mais moi j'arrive pas à voir la photo ! Désolée je sais pas pourquoi....

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