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Valerie Toranian

Valerie Toranian

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Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « L'étrangère » de Valerie Toranian aux éditions J'ai Lu

    Jo_Ly sur L'étrangère de Valerie Toranian

    Du génocide arménien, il reste peu de choses. Beaucoup de silence. Comme si la mémoire ne pouvait pas tout porter. Trop lourd.
    De sa grand-mère, Aravni, Valérie tente de raconter l'histoire. de démêler les traumatismes au milieu du déni. Des têtes qui se détournent.
    Et ce qu'elle raconte n'a,...
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    Du génocide arménien, il reste peu de choses. Beaucoup de silence. Comme si la mémoire ne pouvait pas tout porter. Trop lourd.
    De sa grand-mère, Aravni, Valérie tente de raconter l'histoire. de démêler les traumatismes au milieu du déni. Des têtes qui se détournent.
    Et ce qu'elle raconte n'a, malheureusement, rien à envier à la tentative d'extermination des juifs.
    Les ventres ronds sur lesquels on parit le sexe du bébé. Avant de les éventrer pour déclarer le vainqueur.
    Les viols.
    Les exécutions.
    Le génocide Arménien.
    Mettre des mots sur les plaies. Comme un baume. Leur donner ça, au moins. Une reconnaissance.
    Valérie, au travers du merveilleux portrait de cette grand-mère si contradictoire, entre sa détermination à perpétuer des traditions antédiluviennes et sa liberté de femme, forte et droite, nous rappelle les crimes, l'horreur. Nous rappelle l'importance de dire des choses évidentes : Oui, les arméniens furent victimes d'une tentative d'extermination.
    C'est un livre touchant. Parfois blessant. Les images foudroient, et tant mieux.
    Sans larmoyer. Factuel. Brut.
    Ne pas détourner la tête.

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    Couverture du livre « Une fille bien » de Valerie Toranian aux éditions Flammarion

    Missbook85 sur Une fille bien de Valerie Toranian

    "Nul ne sait de quoi hier sera fait" Proverbe russe.

    Lorsque sa meilleure amie d'enfance, Louise Castillo, reprend contact avec elle pour lui restituer son journal intime oublié chez elle trente ans plus tôt, la narratrice va être prise d'étranges pertes de mémoires.
    p. 12 : " Ni elle ni moi...
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    "Nul ne sait de quoi hier sera fait" Proverbe russe.

    Lorsque sa meilleure amie d'enfance, Louise Castillo, reprend contact avec elle pour lui restituer son journal intime oublié chez elle trente ans plus tôt, la narratrice va être prise d'étranges pertes de mémoires.
    p. 12 : " Ni elle ni moi ne pouvions soupçonner le désordre qu'allaient occasionner ces retrouvailles. "
    Mais quel lien peut-il y avoir entre les pages raturées retrouvées dans son journal et ses épisodes d'amnésie ?
    Rédactrice en chef d'un magazine féminin, séparée et mère de deux enfants, elle mène de front sa carrière et l'éducation de ses enfants.
    Entourée par ses amies et collègues au journal, chacune y va de son imagination pour établir un diagnostic et prodiguer des conseils aussi divers que variés.
    Heureusement, sa vieille tante Sibel - âgée de quatre vingt ans - totalement loufoque et persuadée d'être victime d'une malédiction, veille sur elle. Mais ce dernier maillon de la chaîne qui la reliait à ses racines orientales cache de mystérieux secrets...
    p. 59 : " C'est quand tu penses que ta vie ne vaut plus rien que les prophètes t'envoient un signe d'espoir. "
    Véritable enquête "psycho-logique", Valérie Toranian nous dresse un portrait tragico-comique de la femme moderne sur fond d'enquête policière.
    Entre comédie et gravité, de beaux thèmes sont abordés, mais confusément exploités.
    L'ensemble reste cependant agréable à lire. Le dénouement final est une déception, si tant est qu'il y en est un...

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    Couverture du livre « L'étrangère » de Valerie Toranian aux éditions J'ai Lu

    TROUMOULOU sur L'étrangère de Valerie Toranian

    Dans ce récit qui traverse le siècle, Valérie Toronian écrit le roman de la vie, ou plutôt des vies d'Aravni: de la Toute jeune fille fuyant le génocide arménien en 1915 Jusqu'à la grand-mère aussi intransigeante qu'aimante et ce qà'elle est devenue. Elle donne à son fils une existence percutée...
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    Dans ce récit qui traverse le siècle, Valérie Toronian écrit le roman de la vie, ou plutôt des vies d'Aravni: de la Toute jeune fille fuyant le génocide arménien en 1915 Jusqu'à la grand-mère aussi intransigeante qu'aimante et ce qà'elle est devenue. Elle donne à son fils une existence percutée par l'histoire et rend hommage à sa grand-mère de la plus belle façon qui soit.

    Valérie Toronian sait utiliser les mots pour décrire cette partie méconnue de l'histoire: le génocide arménien.
    L 'alternance des récits anciens et actuels Celui de la grand mère, celui de la petite fille donne du poids à ce récit poignant.
    Un bel hommage de l'auteure à sa grande mère.
    Pour moi c'est un coup de cœur, et une lecture qui me correspond dans la découverte des cultures et des peuples de monde.

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    Couverture du livre « L'étrangère » de Valerie Toranian aux éditions J'ai Lu

    Emmanuelle matoussowsky sur L'étrangère de Valerie Toranian

    L'étrangère de Valérie Toranian

    Livres 5.00/5


    Un pur bonheur que ce petit livre ! Valérie Toranian plonge à la source des origines de sa grand-mère arménienne et évoque avec justesse le martyre d'un peuple dont le génocide n'a jamais été reconnu par la Turquie.
    Dans un texte...
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    L'étrangère de Valérie Toranian

    Livres 5.00/5


    Un pur bonheur que ce petit livre ! Valérie Toranian plonge à la source des origines de sa grand-mère arménienne et évoque avec justesse le martyre d'un peuple dont le génocide n'a jamais été reconnu par la Turquie.
    Dans un texte touchant et truffé d'humour, Valérie Toranian décrit les liens charnels qui l'attachent à son aïeule, qu'elle ne peut cependant s'empêcher de comparer à son autre grand-mère fine, distinguée et élégante… au détriment bien sûr de sa grand-mère arménienne, vraiment pas sortable !