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Une biographie un peu trop convenue et avec des allusions peu subtiles parfois. Mais si on est fans de jagger on le dévore assez rapidement car on apprend beaucoup de choses sur la personne et le groupe. Cela lève le voile aussi sur des passages un peu troubles ou peu clairs de son histoire, et surtout cela complète ou éclaircit l' autobiographie de Keith Richards, à mon sens il faut lire les deux ! Certains de ses comportements ou déclarations deviennent aussi plus cohérents grace à la plume de l'auteur même s'il s'agit parfois d'extrapolations. Un beau portrait qui ravit les fans dont je fais partie car cela rend justice aussi à l'artiste qui n'est pas assez souvent présenté sous son meilleur jour alors qu'il semble être intelligent et curieux de nature.
Quel pavé, quelles recherches, quel beau travail !!!!
John Lennon est élevé par sa tante Mimy après la séparation de ses parents, sa mère ayant été jugée un peu « immature » et, surtout, Mimy, ne voulait pas se séparer de John. Norman nous décrit un John batailleur, cherchant noise, ironique et moqueur, rebelle, toujours inquiet et peu sûr de lui. Il pouvait tout aussi bien se montrer très attachant…. Surtout lorsqu’il voulait faire céder sa tante et obtenir ce qu’il voulait.
Nous le voyons, comme tous les enfants de cet âge, jouer aux cow-boys et aux indiens, mais sa préférence allait toujours vers le plus faible.
Au fil des pages et de l’enfance de John Lennon, nous voyons apparaître the Strawberry Field, immense demeure gothique près de Woolton. Plus loin, Eleanor Rigny nom gravé sur une tombe (Eleanor Rigby, Epouse bien-aimée de Thomas Wood et petite-fille des susnommés…)
Malgré la séparation de ses parents et le fait qu’il ait grandi loin d’eux, John n’a jamais manqué d’amour et de tendresse :
« Pensez à toutes ces chansons sur l’amour que John a écrites avant même d’avoir vingt et un ans, dit-elle. Comment aurait-il pu le faire s’il n’avait pas connu beaucoup d’amour dans sa vie » (commentaire de sa cousine Leila)
Somme toute, c’était un petit garçon qui n’aimait pas l’école, préférant garder l’argent des dons pour le foyer du Docteur Bernardo, grand lecteur et bon dessinateur. Un myope qui refusait, comme beaucoup, ces affreuses lunettes. Bref, un gamin de l’après-guerre normal de la working-class.
Arrive le temps de l’adolescence avec diverses formations musicales, petits contrats de quatre sous dans les kermesses et autres bars de Liverpool jusqu’à partir à Hambourg.
Ce n’est ni ennuyeux ni roboratif, pas trop de dates…. Cela se lit comme un bon roman.
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