"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour mon avis sur L'arbre qui ne voulait pas perdre ses feuilles signé Paul Ivoire et Anna Griot. Je remercie infiniment les éditions Poulpe Fiction pour ce merveilleux envoi !
J'ai été véritablement séduite par cette toute petite histoire riche en rebondissements et en enseignements. Les illustrations d'Anna Griot ont entamé le travail de séduction avec cette incroyable palette de couleurs chaudes, rappelant délicieusement l'automne et aussi apaisante que le plus savoureux des chocolats ou le plus douillet des plaids. Je suis tout simplement tombée en amour de ce style de dessins extrêmement doux et réconfortant.
Ensuite, comme mentionné plus tôt, je suis tombée d'emblée sous le charme de l'intrigue, qui nous prend par la main pour nous emmener dans un monde aux animaux qui parlent diantrement attachants et où l'harmonie entre les êtres humains, appelés mililims, et la nature semble résolument possible, à tout du moins en très bonne voie. J'ai adoré prendre part à cette aventure qui prône la bienveillance, l'altruisme et qui nous fait ressortir de notre lecture le cœur empli de soleil mais également chagriné à l'idée de quitter un monde aussi rassurant que fabuleux où les problèmes se règlent avec pacifisme et diplomatie comme cela devrait toujours être le cas.
Mais ça, c'est à nous de faire ce qu'il faut pour, la morale de ce livre extrêmement touchant et instructif nous le fait bien comprendre. Alors, répondrez vous aussi à l'appel du formidable écureuil Eclair pour vous voir accorder la chance exceptionnelle de devenir gardien du monde vivant ? Je vous le souhaite sincèrement car le voyage qui vous attend s'annonce absolument inoubliable, soyez en garantis !
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga jeunesse qui s'annonce extrêmement prometteuse, j'ai nommé L'école des rêves signée Paul Ivoire. Je remercie infiniment les éditions Poulpe Fiction pour cet envoi juste merveilleux.
Avant même de commencer ce livre, je savais que j'allais embarquer pour une aventure tout bonnement extraordinaire et pour le moins... onirique. Il faut dire qu'Antoine Brivet a réalisé un remarquable travail avec cette illustration de couverture, véritable invitation au voyage, et que le reste de ses dessins proposés à nos mirettes ébahies au cours de la lecture ont achevé de m'immerger au sein de ce monde céleste et lumineux purement et simplement magique.
Après, rien de tout cela n'aurait été possible sans l'exponentielle force d'Imagination (oui, avec un grand I, vous comprendrez si vous lisez ce livre) de Paul Ivoire dont je découvrais ici pour la première fois la plume enchanteresse et la créativité sans limites. Alors certes, le postulat de départ, à savoir des enfants semblables aux humains se rendant dans une école extraordinaire pour y suivre une formation résolument pas comme les autres, n'est pas ce qu'il y a de plus novateur en matière de littérature jeunesse, mais c'est tout ce que Paul Ivoire est parvenu à nous proposer à partir de cette "simple" base qui m'a laissée sans voix. Pour résumer simplement, chaque paragraphe de ce récit, chaque ligne, chaque mot même est empreint d'une féerie presque irréelle ; chaque élément de cet univers somme toutes abracadabrantesque a été pensé de façon à nous faire nous évader, à nous donner envie de faire partie intégrante du fabuleux monde d'Evêria. Pour ma part, je ne désirais qu'une chose en progressant dans ma lecture : suivre les cours enseignés au Château de Chambord au côté de nos formidables jeunes héros et côtoyer notamment les Mililims, ces exceptionnels animaux à l'origine de nos rêves comme de nos cauchemars les plus fous. Pour être tout à fait honnête avec vous, j'ai vécu ma lecture de ce premier tome comme un authentique rêve éveillé, comme si je faisais moi aussi partie de la promotion Neptune et que j'avais la chance de pouvoir obtenir ma première Comète en étudiant entre autres la conception des rêves qui sont envoyés au subconscient des humains (oui nous, commun des mortels) et en essayant de comprendre comment des erreurs peuvent être produites au sein de ce fascinant Atelier des Mille et un Songes qui sera probablement au centre de l'intrigue dans le tome deux. Il me tarde d'en apprendre plus sur cette époustouflante fabrique ainsi que sur nos surprenants protagonistes ! En réalité, tant d'autres mystères restent à être élucidés au sein de cet esbroufant château, je trouve cela absolument exaltant !
Pour conclure, quelque soit votre âge, je ne peux que vous encourager à vous procurer séance tenante ce premier tome des spectaculaires péripéties de l'adorable Kimlan au sein de son collège incomparable a aucun autre. Cela tombe bien, il sort justement aujourd'hui, je ne pouvais pas rêver meilleur timing ! Plus sérieusement, je puis vous assurer que vous ne serez pas déçus en découvrant la promotion Neptune. Lire ce roman, c'est comme être sur un petit nuage de douceur, c'est retrouver son innocence et ses yeux émerveillés de petit enfant. Vous l'aurez compris, j'ai de mon côté été assurément séduite par ce début de saga qui a selon moi tout bon ! Vous embarquerez bien vous aussi au-delà des nuages avec moi, non ?
Quelque part au-dessus de nos têtes, au pays magique et éternel d'Evêria, existe une école pour apprendre à fabriquer les rêves... Kimlan, le héros de notre histoire, travaille dur pour gagner sa première comète... Persévérant et sympathique, il se rend vite attachant et nous suivons ses aventures avec un grand intérêt.
Mais qui croit aux rêves doit aussi croire à leur pendant, les cauchemars. Et s'ils n'étaient que les deux côtés d'une même médaille ?
Voici un univers enchanté, où l'on croit au pouvoir des mots et des songes, auxquels chacun, chacune a droit pour nommer le monde, le dechiffrer et se comprendre soi-même...
Nous viennent à l'esprit ces vers de Shakespeare, extraits de La Tempête, pièce du rêve et des illusions :
"Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil."
Une intrigue bien menée, des illustrations ravissantes se mettent au service d'un message tout de poésie et de douceur. Un très joli moment.
Que faire quand on a gagné au loto ? Question que beaucoup se posent sans que la réponse ait une quelconque importance. Sauf pour Sylvain Balmont qui vient de décrocher le très gros lot à l'Euromillions grâce à un bulletin porte-bonheur rempli par un SDF.
Son premier réflexe est de retrouver cette personne afin de lui faire bénéficier de cette chance insolente. Apprenant que le brave homme est récemment décédé, Sylvain entreprend des recherches pour essayer d'honorer au mieux sa mémoire, ce qui l'amène dans un village de Bourgogne où le nom du SDF déclenche des réactions épidermiques, lié à une sombre histoire entre deux familles, dont celle du maire, et à une jeune fille dont la mort à l'âge de 15 ans semble quelque peu obscure.
Sylvain prend un malin plaisir à s'incruster dans ce petit monde rural replié sur ses secrets, et à délier les langues à l'aide des ses millions, avec l'appui de la partie de la jeune génération décidée, à l'image d'Alexandra la fille du premier élu de la commune, à ne plus courber la tête devant la toute-puissance de maîtres de maison tyranniques issus de décennies de domination masculine campagnarde.
L'histoire est plutôt malicieuse, le conflit ouvert qui s'installe rapidement entre le maire et le Parisien ne manque pas d'intérêt, avec une escalade dans les coups bas et des situations franchement rigolotes. le récit surfe sur un double registre, avec une intrigue à suspense et un côté conte moderne plein de bons sentiments, et surtout d'argent généreusement distribué par Sylvain.
Sans atteindre des sommets d'intensité dramatique ou émotionnelle, l'intrigue est toutefois prenante. le style ne brille pas d'un éclat particulier, mais la lecture est néanmoins plutôt agréable pour ce roman sans grande prétention autre que de divertir, que je rangerais parmi ceux dont on dit qu'ils ne laisseront pas un souvenir impérissable.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !