"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cette bande dessinée, je l’avais lue au moment de sa sortie, et j’en avais gardé un bon souvenir. Qu’allais-je en penser des années plus tard, en la relisant ?
La première chose frappante, c’est qu’elle n’a pas pris une ride. Le dessin me semble parfaitement intemporel – ou alors c’est moi qui n’ai pas vu les années passer ? Et l’histoire… je me demande si elle n’est pas encore plus d’actualité aujourd’hui qu’il y a… pfiouuuu… 27 ans. Mettant en scène l’opposition entre le Rêve et le Mangou, incarné dans un homme d’affaires qui ne jure que par la technologie, le béton et le progrès…
Cette histoire nous rappelle qu’il faut savoir laisser leur place au rêve, à l’imaginaire. Elle est parfois un peu naïve, à d’autres moments un peu fumeuse. Le dénouement est un peu simpliste : le grand méchant finit par céder sans que l’on sache vraiment pourquoi… en réalité, sans raison valable et convaincante…
Mais malgré ces petites faiblesses, moi, je me laisse emmener. Il faut laisser le rêve prendre le dessus…
Deuxième épisode de cette nouvelle collection en bande dessinée des aventures du Club des Cinq, que nous retrouvons pour de courtes vacances sur l’île de Kernach. Histoire courte et intense mêlant actions, enquêtes et dénouement heureux sur une trentaine de pages. Pour les débutants de la bande dessinée, même si je suis très fan des graphismes. J’aurais préféré lire un format original mais tant pis. Malgré tout, on retrouve bien l’esprit des petits romans.
Qui n’a pas lu étant enfant un livre de la bibliothèque rose et découvert ce Club des Cinq. Hachette propose aujourd’hui une bande dessinée sur nos petits héros de notre enfance. L’album est assez fin et pour cause, il ne dépasse que de peu les trente pages. Clairement affiché pour les jeunes lecteurs, la bande dessinée est courte, intense, et on se l’imagine assez facilement mêlé action et enquête avec des dénouements joyeux.
En effet, cela ne déroge pas à l’habituel histoire du club des Cinq et à ce à quoi nous nous attendions. C’est vraiment court, mais le récit arrivera à tenir le lecteur dans l’attente des rebondissements qui se succèdent. Le graphisme reprend les codes des années 60-70 avec une colorisation très actuelle, ce qui rend une bande dessinée très agréable à lire.
Une histoire qui vous fera découvrir le club des Cinq et leur première enquête. C’est sympathique mais trop court.
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