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Lorsque j’étais enfant mon grand-père m’emmenait par tous les chemins, à travers bois, à travers champs, cueillant les simples au bord des chemins, me montrant le ciel et les oiseaux, les plantes, les animaux.
J’ai gardé de cette enfance, le besoin de balades solitaires pendant lesquelles m’immerger dans la nature m’apaise et me ravit tout à la fois.
J’ai retrouvé dans ces quinze tableaux, la même envie de se connecter à cette nature, à notre mère la terre et d’apprécier la vie qui y jaillit comme invite à apprécier chaque moment de notre existence.
Ce livre est un succédané de sérénité et il restera sur ma table de chevets, car il rend tellement bien l’ambiance d’un coin de terre qu’il sera bon de le savourer à petites lampées.
Je connais surtout les côtes belges et françaises jusqu’à la Bretagne ; ces récits se déroulent de l’autre côté de la Manche, leur ambiance invite au voyage, à la découverte, Beatrix Potter aurait pu les illustrer, monsieur Duhem s’est acquitté de cette tâche avec plus de réalisme et cependant de manière convaincante : n’a-t-on pas envie de se balader en haut de ces falaises, d’y observer le vol d’un goéland ou la fuite d’un goupil.
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