"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une fascinante anthologie narrant les sentiments qui unissaient Marilyn Monroe à Ella Fitzgerald, Lino Ventura à Jacques Brel, Dupond à Dupont, des génies de l’amitié. On y croise plein d’autres personnalité. Tous contés avec malice et facétie par Morel père et fils.
François Morel est un comédien français qui s’est fait connaître comme membre de la bande des Deschiens (avec aussi Yolande Moreau) qui ont sévi sur Canal Plus dans l’émission ‘Nulle Part Ailleurs’ dans les années 90.
Il est également acteur au théâtre et au cinéma mais aussi chroniqueur radio pour France Inter.
Donc chaque vendredi matin Morel fait une chronique de plus ou moins…3 minutes 25.
Ce sont ces chroniques qui sont retranscrites dans ce livre.
Je dois avouer que je n’avais jamais écouté une seule chronique, n’écoutant d’ailleurs jamais les radios françaises et très peu la radio en général.
Ces chroniques sont bien écrites et souvent évidemment avec beaucoup d’humour et de causticité mais jamais de méchanceté (sauf peut-être celle où il parle de Francis Huster).
Je dirais qu’en tant que belge, tout ce qui touche à la politique française m’indiffère complètement (déjà la politique belge…). Donc certaines chroniques ne m’ont pas du tout intéressé.
Ceci dit j’ai appris certains mots dont l’odonymie. L'odo ... quoi ? L'odonymie est l’étude des noms propres désignant les voies de communication (par exemple le tunnel Annie Cordy à Bruxelles, non cité dans le livre).
Cela se lit donc avec un certain plaisir et comme il s’agit de chroniques, on peut piocher ou en lire quelques unes ici et là au petit déjeuner, par exemple ou n'importe quand.
A noter aussi un bel hommage à Jean-Louis Trintignant.
https://nathavh49.blogspot.com/2024/02/3-minutes-25-de-bonheur-francois-morel.html
J'aime beaucoup écouter les chroniques matinales de François Morel. C'est la première fois que je le lis. J'ai fait un effort pour suivre l'auteur dans son "délire" mais j'ai peu apprécié ce roman déjanté même s'il laisse transparaître des émotions tout en finesse.
Plon a confié à François Morel et à son fils Valentin la rédaction de ce dictionnaire amoureux de l'inutile. J'en attendais beaucoup, et je suis franchement déçu...
Je n'ai pas retrouvé dans cet ouvrage la verve et l'humour décalé du comédien. Les deux auteurs tentent bien de manier l'absurde pour nous faire partager l'inutilité de leurs propos, mais n'est pas Raymond Devos qui veut, et cela ne fonctionne que trop rarement.
Je retiendrais cependant les nombreuses citations de Pierre Richard parlant de son ami Jean Carmet et de ses facéties. Mais cela ne suffit pas à justifier les plus de 500 pages de l'ouvrage.
C'est le quatrième Dictionnaire amoureux... que je lis, et la collection est pour moi de qualité très inégale.
Chronique illustrée : http://michelgiraud.unblog.fr/2023/01/02/dictionnaire-amoureux-de-linutile-francois-et-valentin-morel-plon-inutile/
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