"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
1er tome d'une nouvelle saga policière dont j'ai deja dévoré le 2nd tome et chroniqué.
Jai retrouvé avec grand plaisir Leopoldine, cette Miss Marple alsacienne et postière, et ses amis.
En faisant ses devotions et le ménage dans l église, elle découvre le cadavre du maire adjoint et vigneron.
Cette petite bonne femme va alors se lancer dans la résolution de ce meurtre.
De révélations en révélations à coups de marc de gewurtz, de bredeles et de choux à la creme, Leopoldine va retracer le scenario de ce crime.
Le gendarme en charge de l'enquête n est pas vraiment très intelligent, les suspects sont plusieurs auxquels s'ajoute 1 Corbeau...
J'aime beaucoup la plume de Francis Schull qui est fluide, drôlastique, faite de jeux de mots truculents.
Le suspens est maintenu jusqu'à la fin.
Un policier leger, drôle, dans la lignée des Agatha Raisin et Hamish Macbeth.
Un homme est retrouvé mort dans le Rhin. Leopoldine, postière de son état dans le petit village de Oberwirheim, a vu cet homme la veille au restaurant.
Elle décide alors de mener son enquête. Or cette dernière est confiée au Brigadier-Chef Schmitterlin, amateur plus qu'addict de schnaps et de choux à la crème, mais pas très futé.
La victime est 1 critique gastronomique redoutable, mais de là à le tuer... Quelles sont les raisons de ce meurtre ?
Francis Schull signe ici la 2e enquête de cette miss Marple alsacienne, mais pas besoin d avoir lu le 1er (je ne l'ai pas lu non plus) pour comprendre ce tome.
Cet ancien journaliste aux Dernières Nouvelles d'Alsace a créée la soeur d Agatha Raisin et Hamisch Mcbeth.
J'ai adoré ce personnage dont je partage les racines. Elle va de decouvertes en decouvertes au rythme des schnaps, crémant, choucroute et autres bonnes choses alsaciennes.
L humour est une corde à son arc, tout comme ses méninges qui fonctionnent à bon rythme.
Les personnages secondaires sont truculents.. J'ai adoré les Laurel et Hardy de la gendarmerie :Schmitterlin est con comme ses pieds, Loiseau est un peu moins bete; l'épiciere, Mme Blitz est unique en son genre.
Le suspense est gardé jusqu'à la fin, la plume est entraînante, agréable à lire.
Le fait que cela se déroule pres de chez moi, dans des endroits que je connais n'a que renforcé mon plaisir.
Bref , j'ai kiffé de decouvrir cet auteur et son Agatha Raisin alsacienne !
Léopoldine, postière d'un village alsacien et bigote notoire et assidue, découvre un matin, dans le confessionnal, le corps de Joseph Weberlé, viticulteur et adjoint au maire, une personnalité importante de la région. Doutant des qualités d'enquêteurs des gendarmes locaux, elle décide de mener sa propre enquête et elle a des atouts pour cela : postière, elle connaît tout le monde et dans les détails ; amatrice de polar, elle se voit en Miss Marple.
J'avais besoin de légèreté, donc lorsque j'ai vu la première et la quatrième de couverture, je me suis pensé que c'était le livre du moment pour ma pomme. Mais que nenni ! Certes la légèreté est là, mais l'humour moins -ou pas le mien- et ce qui se veut une comédie policière tourne pour moi assez vite à l'ennui. Pourtant Francis Schull a le sens de la formule et parfois, certaines phrases m'ont fait sourire. Trop peu, il faudrait donner du rythme à tout ça. A l'instar d'une Rita Falk, sa voisine allemande avec ses Choucroute maudite et Bretzel blues.
Léopoldine habite en Alsace le petit village d’Oberwihrheim, où elle est postière.
Son petit train train quotidien bascule le jour où elle découvre le cadavre de Joseph Weberlé, adjoint au maire du village, vigneron et magouilleur à ses heures perdus…
Ne faisant pas confiance à la gendarmerie du coin et voulant pimenter sa vie de vieille fille, elle décide de mener l’enquête, tel Miss Marple son idole.
Grâce à son métier de postière, et à son goût certain pour les commérages, elle connaît tout le monde et est au courant de tout ce qui se passe aux alentours.
L’écriture de ce roman et simple, sans fioriture inutile, le langage utilisé est d’actualité. Les personnages sont drôles, attachants, criant de vérité, la caricature de Joséphine, la mère de Léopoldine, est juste drôle, tellement elle reflète la réalité des maisons de retraite et de leurs résidents insupportables et acariâtres, je sais, ils ne sont pas tous comme ça, mais bon une grande majorité tout de même. Léopoldine est juste parfaite, je détesterai l’avoir comme voisine, elle est le symbole parfait de la commère qui espionne ses voisins lol.
J’ai lu ce roman d’une traite, je me suis régalée, je n’ai aucun défaut à lui pointer, j’ai réussi à me détendre, à rire, merci et bravo à l’auteur !
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