Événement "Millénium : Ce qui ne me tue pas" : gagnez des places de cinéma et des livres !
A l’occasion de son passage au Salon Livre Paris 2018, l’écrivain suédois David Lagercrantz (Millénium) a rencontré des membres de la communauté lecteurs.com. C’est à lui qu’est revenue l’immense...
Événement "Millénium : Ce qui ne me tue pas" : gagnez des places de cinéma et des livres !
L’écrivain suédois David Lagercrantz en visite à Paris échange avec ses lecteurs
Vous aimez Millenium? Lisez le dernier tome et rencontrez David Lagercrantz à Paris.
Un duo d’enquêteur détonnant inspiré d’un autre duo britannique célèbre, un mélange de fait réels et fictifs pour cette intrigue. Un thriller nordique sombre, une ambiance glaçante et prenante, du suspense, des rebondissement.
"Toutes les voix et les rires qu’on entend de l’autre côté n’existent que comme un rappel de ce dont on est incapable, et c’est déjà assez dur. Mais lentement, la dépression se raccorde et monte le volume. Elle se met à hurler sa note rouge, insupportable, et on finit par atteindre un point où on ne veut plus continuer."
Nous retrouvons donc Mikael et Lisbeth dans ce final brûlant et addictifs mais que ce passera t’il dans cette aventure, la réponse est :
Fredrika Nyman légiste doit autopsié un médiant mor au centre de Stockholm, durant cette tâche elle découvre dans la poche de la victime plusieurs numéros de téléphones. Selon vous lequel de nos protagonistes est d’abord concerné. Il s’agit de Mikael, comme Fredrika va pendant plusieurs jours tenter en vain d’identifier le corps, elle va tenté de joindre ses numéro et tombera sur Mikael. Ce dernier va se plonger dans une nouvelle enquête qui le met en contact avec Catrin Lindås, une confrère vis-à-vis de laquelle il a des préjugés négatifs. Ceux-ci s’effondrent quand après leur première rencontre une attirance mutuelle les pousse dans les bras l’un de l’autre. Catrin a eu une altercation avec le mendiant peu avant sa mort et elle tente alors d’aider Mikael dans son enquête qui les mène vers Johannes Forsell, ministre de la défense.
Mikael fera appel à Lisbeth qui était en planque à Moscou pour tenter de se débarrasser de sa sœur jumelle Camilla une bonne fois pour toutes. Entre Camilla et Lisbeth le jeu de chat et de souris ce poursuit et de son côté Mikael soupçonne Johannes Forsell.
Donc qu’arrivera t’il avec cette nouvelle enquête de Mikael et quelle sera les conséquence de cette vengeance entre Lisbeth et Camilla.
« Obscuritas » est un thriller de l’auteur suédois, David Lagercrantz. Ce nom ne vous dit peut-être pas grand-chose et pourtant, il a acquis ces dernières années une certaine renommée internationale. Pourquoi me demanderez-vous ? Car il a écrit la suite des aventures de la saga « Millénium », initiée par Stieg Larsson (tragiquement décédé en 2007 avant la publication de la série) et le succès qu’elle a connu à travers le monde que ce soit par les livres ou par les adaptations cinématographiques et télévisuelles.
En 2015, David Lagercrantz reprend à son nom la suite et offre une nouvelle trilogie. Journaliste et écrivain de profession, il initie une nouvelle série policière, avec les personnages de Rekke et Vargas qui débute avec ce premier tome, « Obscuritas ».
Si vous êtes amateurs de littérature noire nordique, ce livre devrait vous plaire. C’est avant tout un roman d’ambiance, comme les auteurs venant du Nord savent s’y bien s’adonner. Mais pas seulement. Il a eu l’idée brillante de mettre en œuvre des personnages librement inspirés de Holmes et Watson en l’enquêtrice Micaela Vargas, policière ambitieuse et obstinée qui devra s’allier à Hans Rekke, psychologue talentueux mais tourmenté pour trouver le responsable de la mort de Jamal Kabir, un réfugié afghan.
Ce qui m’a particulièrement plu dans cette enquête est le fait que l’auteur a adjoint des faits réels : comme l’existence de prisons secrètes américaines pour des individus accusés de terrorisme après le 11 septembre disséminées dans le monde. Malgré que j’adore me plonger dans des thrillers ou romans noirs qui soient des fictions, j’affectionne le fait de retrouver des circonstances avérées et que l’auteur mêle la réalité à son roman. Cette originalité est un élément qui occupe une place importante dans l’appréciation des livres que je lis.
Même si le livre a été publié en 2021, l’histoire se déroule en 2003. Il est important de se le rappeler par rapport au contexte international et à certains événements mentionnés.
Pour un thriller, il est à noter qu’une multitude de protagonistes différents interviennent. Ce n’est pas toujours une mince affaire de s’y retrouver, surtout vu leurs patronymes. Mais une fois que le lecteur s’y est habitué, cela n’est pas un obstacle insurmontable.
Obscuritas de David Lagercrantz, une enquête de Rekke et Vargas
Il y a quelques semaines, j’ai reçu le livre de Davis Lagercrantz intitulé Obscuritas une enquête de Rekke et Vargas des Editions Harper Collins noir: L’affaire Jamal Kabir se déroule à Stockholm. Cet arbitre de football vient d’être assassiné à coup de pierres, après un match de football. La police de Stockholm enquête. Rapidement les premiers enquêteurs désignent comme suspect n°1 Guiseppe Costa dit Beppe, un Italien alcoolisé qui sur le terrain de football s’en est pris à cet arbitre pour une histoire de pénalty refusé. Celui-ci est originaire d’un quartier défavorisé de la ville. Arrêté sommairement interrogé à charge, il est arrêté puis incarcéré. L’affaire rondement menée est aux dires de tous conclue. C’est alors que nous allons faire connaissance : avec Micaela Vargas, jeune policière âgée de 26 ans, dont le frère est un délinquant notoire, habitante du même quartier défavorisé que le suspect et qui d’ailleurs est une de ses connaissances. Seule du commissariat à ne pas croire à cette version officielle elle s’entoure des avis d’un personnage Hans Rekke , brillant psychologue, adepte des médicaments psychotropes , pianiste tourmenté qui a été consulté par le commissaire Martin Falkegren comme expert. Micaela va être rapidement écartée de celle-ci par ses supérieurs, ne voulant pas déroger à la thèse officielle. L’affaire rebondit lorsque le juge rejette l’accusation de Guiseppe Costa Beppe et le remet en liberté. A partir de cet instant l’affaire Jamal Kabir va prendre une tout autre tournure. Nous entrons dans la deuxième partie de ce roman. L’on va apprendre que Jamal Kabir arbitre de football reconnu est un réfugié venant d’Afghanistan. En remontant la piste avec Micaela et Rekke, nous retrouvons le nommé Jamal Kabir en Afghanistan : comme jeune musicien frustré de ne pas être violoniste et chef d’orchestre, ne sachant que jouer de la musique sur un Alto ; comme pourfendeur des musiciens et de leur musique sous le règne des Talibans ; comme repenti, rescapé des camps de tortures américaines d’Abou Grhaib. L’enquête menée en parallèle par Micaela et Rekke, va alors soulever bien des questionnements, des compromissions, des relations ambiguës entre l’état Suédois son ministre de l’intérieur, le frère d’Hans Rekke un politicien aux abois et la CIA. L’on se dit alors que l’intrigue va prendre un peu plus d’épaisseur, d’action. Eh bien, je vous l’avoue, j’ai été déçu. Pas d’action pas de situation tendue, pas de suspens. Tout doucement l’enquête bien que chaotique se déroule et rapidement l’on s’oriente par une orientation directe entre l’interdiction de la musique par les Talibans et Jamal Kebir vers la solution de l’énigme ? qui a tué l’arbitre de football. Nous sommes guidés, je dirai conduit main dans la main par l’auteur de ce livre vers la résolution de ce crime, en enquêtant sur des disparitions de musiciens dont certains avaient été faire un séjour musical en Russie avant de rejoindre l’Afghanistan et de tomber sous les mains des Talibans. Un deuxième indice nous est donné ; celui d’une jeune violoniste virtuose Latifa tuée dans la cave de sa maison lors d’une de sa dernière prestation avec ses bourreaux talibans. Quand je dis que ce deuxième indice nous approche de la résolution de cette affaire, il suffit de se remémorer la première ligne de ce roman, indiquant comment l’arbitre a été tué. Un indice suffisant pour que ce crime soit signé. Reste à savoir par qui et pourquoi ? Vous le saurez en lisant ce roman policier dans lequel comme dit l’auteur « vous retrouverez une intrigue à la Sherlock Holmes de Conan Doyle, » matinée entre autres de ses rencontres avec Ahmad Sarmast dans un grand hôtel de Stocklom qui venait de recevoir le prix Polar Music pour ses efforts visant à perpétuer l’héritage musical afghan et former des jeunes dans son pays. « Ce qui m’a ouvert les yeux dit-il sur l’oppression subie par les musiciens en Afghanistan pendant la guerre civile des années 1990. » Sans oublier une description, « du bout des doigts des violonistes, due également à une rencontre avec Christian Swarfvar. » Un élément capital retrouvé par le professeur Hans Rekke en relisant le rapport d’un légiste. Obscuritas de David Lagercrantz n’est pas un livre qui restera dans ma mémoire. Ce serait ne pas être honnête avec vous si je vous disais le contraire. Je n’ai pas trouvé dans ce livre quelque chose de secret ou d’inexplicable, si je me réfère à sa locution latine Obscuritas. Ce fut pour moi une rencontre tout simplement avec un auteur que je ne connaissais pas. En page 476 de ce livre nous nous retrouvons au domicile d’Hans Rekke, « l’on sonne à sa porte, il ouvre devant un homme de 45 ou 50 ans, s’appelant Samuel Lidman. Invité à entrer, celui-ci s’installe sur un canapé vert, ouvre sa mallette, sort une photo prise devant la basilique Saint-Marc à Venise. « La femme vêtue de rouge au premier plan dans ce groupe de Japonais est ma femme dit-il. Elle est bien vivante. Le problème c’est que j’ai son certificat de décès dans la poche. Elle est morte depuis 14 ans. » Rekke jeta un rapide coup à Micaela, tiens elle est restée au domicile du professeur . Racontez dit-il. Cette présentation laisse entrevoir ce que sera la prochaine enquête d’Hans Rekke et de Micaela Vargas. Vous dire , après avoir lu Obscuritas si ce sera ma prochaine lecture. J’en doute. Mais, ce n’est juste que mon avis. Bien à vous.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !