Du haut de ses 27 ans, Agathe alias « Lady Gagathe » pour les intimes, a une vie bien remplie : un travail prenant, des copines au top et une sœur géniale. Seule ombre au tableau : malgré son humour décapant, elle est toujours célibataire.
Jusqu’au jour où elle reçoit sur Facebook un message de Gaspard, son amoureux de... maternelle ! Ils décident de se revoir et Agathe sort le grand jeu pour le séduire : elle achète des kumquats pour se la jouer bobo et intensifie ses cours de zumba pour affiner sa silhouette.
Tout se passe bien, mais pas pour longtemps. Comme d’habitude dans la vie d’Agathe, il y a un hic : Gaspard reçoit des « Je t’aime » par texto d’une autre fille. Qu’à cela ne tienne, Agathe décide de ne pas baisser les bras. Après tout, rien n’est jamais perdu d’avance...
J'ai adoré cette lecture !! Déjà, la couverture est superbe, colorée et sympa!
J'avais besoin de lire un tel livre qui me redonne la pêche, me fasse rire un peu et m'apporte un peu de fantaisie.
Ce livre est un remède anti morosités, un livre qui donne envie de toujours quelques pages supplémentaires mais dont la fin arrive trop vite ( et qui m'a laissé sur ma faim pour être honnête !)
La plume de Cynthia est super agréable à lire, les mots s'enchaînant dans une belle harmonie.
L'histoire est loin d'être une bleuette car elle gagne en profondeur progressivement.
En effet, Agathe (j'adore ce prénom !!!) est une jeune femme proche de ses amies, qui fait face à son passé : nos lointains souvenirs d'amour d'enfance sont-ils toujours aussi beaux une fois adulte ? Peut-on croire à une véritable romance entre deux enfants devenus adultes ?
Jusqu'où peut-on faire confiance à l'autre ?
Cynthia arrive à nous faire entrer dans ce trio d'amies, un peu délurées, un peu fofolles mais qui nous ressemblent tellement dès le début du roman. J'ai vécu cette histoire comme si j'étais un autre personnage.
Cette histoire connaît des moments très cocasses qui m'ont fait mourir de rire, d'autres m'ont apporté la larme à l'œil...
Franchement, une superbe découverte
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