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Catherine Clement

Catherine Clement
Catherine Clément est issue d'une famille de réfugiés juifs russes
fuyant les pogroms - ses parents, arrêtés en France, ont été
assassinés à Auschwitz. Assistante de Vladimir Jankélévitch, puis de
Claude Levi-Strauss, elle suit les séminaires de Jacques Lacan sans
devenir psychanalyste. Elle a publié... Voir plus
Catherine Clément est issue d'une famille de réfugiés juifs russes
fuyant les pogroms - ses parents, arrêtés en France, ont été
assassinés à Auschwitz. Assistante de Vladimir Jankélévitch, puis de
Claude Levi-Strauss, elle suit les séminaires de Jacques Lacan sans
devenir psychanalyste. Elle a publié de nombreux romans et essais,
dont certains ont été des best-sellers (Le Voyage de Théo, Seuil, 1998).
Elle a écrit notamment sur l'Inde, où elle a habité plusieurs années.
Elle dirige l'Université populaire du musée du quai Branly.

Articles en lien avec Catherine Clement (2)

Avis sur cet auteur (27)

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    Couverture du livre « Les ravissements du grand moghol » de Catherine Clement aux éditions Points

    Anne-Marie G sur Les ravissements du grand moghol de Catherine Clement

    Ce roman historique très détaillé sur l'empire Moghol et sur le palais de Fathepur skiri nous permet de bien connaitre cette période de l'histoire de L'INDE.

    Ce roman historique très détaillé sur l'empire Moghol et sur le palais de Fathepur skiri nous permet de bien connaitre cette période de l'histoire de L'INDE.

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    Couverture du livre « Léonore ou l'amour conjugal » de Catherine Clement aux éditions Archipel

    catherine a sur Léonore ou l'amour conjugal de Catherine Clement

    J'ai déjà lu et apprécié des textes de Catherine Clément mais qui se passait en Inde. Mais cette fois, elle nous livre un passionnant roman historique, en France.
    À travers l'histoire émouvante de Léonore, Catherine Clément déploie une fresque historique, de la France prérévolutionnaire à la...
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    J'ai déjà lu et apprécié des textes de Catherine Clément mais qui se passait en Inde. Mais cette fois, elle nous livre un passionnant roman historique, en France.
    À travers l'histoire émouvante de Léonore, Catherine Clément déploie une fresque historique, de la France prérévolutionnaire à la monarchie de Juillet.
    J'ai aimé suivre la vie, les choix, les ressentis, les impacts de la grande Histoire sur la vie de ce personnage féminin, qui, avec de "l'amour conjugal" va essayer de comprendre ce qui se passe.
    Catherine Clément nous décrit bien les épisodes pré révolutionnaires, révolutionnaires et post révolutionnaires.
    "L'amour conjugal" est en réalité un opéra comique dont on doit la musique à Pierre Gaveaux en 1798, qui inspirera également Fidelio de Beethoven. Pierre Gaveaux se serait inspiré de notre héroïne.
    J'ai aimé ce texte pour son fonds historique et la description des événements historiques et le portrait de cette jeune femme, qui essaie de suivre les méandres des événements, qui se passent.
    Un plaisant cours d'histoire fidèle aux événements et aux personnages historiques et romanesques à souhait avec les personnages d'Léonore, son père, son mari, son ami-cousin...
    Je n'ai plus qu'à écouter Fidelio.
    Léonoreoulamourconjugal #NetGalleyFrance

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    Couverture du livre « La sultane » de Catherine Clement aux éditions Grasset

    Passeuredelivres sur La sultane de Catherine Clement

    C'est un roman original de par sa composition : j'ai eu l'impression d'une mosaïque avec des scènes précises, suivi de silence sur le personnage, des scènes subjectives. Un roman quasiment sans dialogue, avec peu de parole.
    L'amour, la jalousie, la peur, l'envie, la haine se vivent mais ne se...
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    C'est un roman original de par sa composition : j'ai eu l'impression d'une mosaïque avec des scènes précises, suivi de silence sur le personnage, des scènes subjectives. Un roman quasiment sans dialogue, avec peu de parole.
    L'amour, la jalousie, la peur, l'envie, la haine se vivent mais ne se disent pas avec des mots mais avec des actes.
    Un texte et une écriture poétique qui pousse au paroxysme les sentiments.

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    Couverture du livre « Pour l'amour de l'inde » de Catherine Clement aux éditions J'ai Lu

    Bernard Viallet sur Pour l'amour de l'inde de Catherine Clement

    Le 4 février 1922, à Chauri-Chaura (Inde), un rassemblement pacifique et non-violent inspiré par Gandhi s’achève dans le calme. Mais des policiers, croyant entendre quelques moqueries, commencent à taper sur les trainards. La foule se rebiffe. Les flics commencent par tirer en l'air puis sur les...
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    Le 4 février 1922, à Chauri-Chaura (Inde), un rassemblement pacifique et non-violent inspiré par Gandhi s’achève dans le calme. Mais des policiers, croyant entendre quelques moqueries, commencent à taper sur les trainards. La foule se rebiffe. Les flics commencent par tirer en l'air puis sur les gens. Arrivés à court de munition, ils finissent lynchés. Gandhi est désespéré. L’indépendance de l’Inde qu’il appelle de ses vœux ne suivra jamais le cours d’un long fleuve tranquille… 1947 : Lord Louis Mountbatten, petit-fils de la reine Victoria, est intronisé dernier vice-roi des Indes. Son épouse, la frivole lady Edwina, va devoir l’épauler dans la lourde tâche de négociation qui lui échoit. Comment satisfaire les ambitions des musulmans de Jinnah, les désirs des Hindous de Nehru et Gandhi sans parler des prétentions des Sikhs ? Comment éviter l’atomisation du sous-continent et réduire le bain de sang qui s’annonce ?
    « Pour l’amour de l'Inde » est avec « Cette nuit la liberté » le meilleur texte sur cette période troublée. Ce gros pavé parfaitement documenté (567 pages) se dévore comme un roman tant les faits sont parfaitement décrits et tant les principaux personnages, les Mountbatten, Nehru, Jinnah et surtout Gandhi sont rendus vivants. Tous les évènements étant authentiques, on ne peut pas parler de roman historique, mais plutôt de fresque, voire d’épopée véridique. L’idylle, sans doute platonique, entre Edwina et Nehru n’est même pas romancée et, heureusement, ne représente pas l’essentiel de l’intérêt du livre. L’Histoire se taille la plus belle part. En fin d’ouvrage, le lecteur trouvera tout un chapitre sur les sources et commentaires, ce qui est assez rare et montre l’honnêteté de l’auteure ainsi que son désir de coller au plus près de la réalité historique. La réalité dépassant souvent la fiction, il n’est nul besoin d’inventions ou de travestissements de la vérité pour produire une belle œuvre de référence.