"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
J'ai bien aimé ce roman où un scientifique se retrouve dépasser par son invention, le plativorax. Une œuvre de SF que je verrai bien adapter au cinéma.
Un sujet d'actualité à l'heure où beaucoup d’objets à base de plastiques envahissent nos commerces et dont les particules polluent nos océans.
Un court roman sympa qui invite à réfléchir sur l’écologie et le traitement des déchets. Écologie et biotechnologie font-ils bon ménage ?
Professeur-documentaliste, je suis toujours à la recherche de nouvelles pépites qui pourraient plaire à mes élèves. Mon attention s'est naturellement porté sur "No limit, la violence" d'Arthur Ténor.
Effectivement, l'auteur aborde ici un thème malheureusement de plus en plus récurent dans les établissements scolaires : la violence.
De plus en plus d'élèves en viennent aux mains ou utilisent le harcèlement pour en venir à leurs fins et c'est un réel fléau.
Dans ce livre, nous suivons le jeune Hugo, âgé de 14 ans qui vient de déménager avec ses parents en France. Si le jeune garçon a l'habitude de changer d'école suite aux boulots de ses parents, c'est la toute première fois qu'il met les pieds dans une telle école. Là-bas, deux clans se font face et mènent une guerre sans pitié. D'un côté les Mariniers et de l'autre les Martinots.
Si Hugo compte bien rester à l'écart et observer cette bagarre de loin, il risque à tout moment de se retrouver mêler à cette querelle incessante. Bien qu'étant de nature calme et réfléchit, les bons sentiments d'Hugo se font la malle lorsqu'on s'en prend à sa famille et à ses amis.
La grande question qui se pose alors est : Hugo, parviendra-t-il à suivre cette année scolaire sans devoir prendre position pour l'un ou l'autre des deux clans ?
Arthur Ténor ne prend pas de gants dans ce livre, ce qui est une bonne chose. Effectivement, s'il y avait plus de romans jeunesses dans ce genre, peut-être que de telles conséquences n'auraient pas lieu dans la vie réelle. Chaque scène qui prend place dans ce livre est purement réfléchit de la part d'Arthur Ténor qui n'hésite pas à dépeindre sans fioritures les disputes qui prennent place dans le roman.
Certes, certaines scènes sont plutôt violentes, mais elles sont nécessaires pour l'avancée du récit.
En plus de cette violence, Arthur Ténor aborde le thème de la colère qui pousse les jeunes à agir sans réfléchir aux conséquences de leurs actes. C'est par exemple le cas de notre jeune héros, Hugo. Loin d'être imperturbable, il réagit au quart de tour lorsqu'on s'en prend à lui et à ses proches ce qui lui attire des ennuis au fur et à mesure du roman.
Le message que veut faire passer Arthur Ténor est que la violence ne résout rien. Effectivement, la violence appelle la violence et cela empêche les jeunes de réfléchir correctement.
En résumé un livre sympathique que j'ai pris plaisir à découvrir. Je n'ai aucun doute sur le fait qu'il trouvera sa place, aussi bien dans les étagères des établissements scolaires, mais également chez les familles.
Récit important et très fort témoignant de la dureté du harcèlement entre adolescents
Un bon voyage fantastique avec l'étudiant Théric Tibert qui a choisi l'option émotions fortes est qui ne sera pas du voyage !
Un roman bien agréable à lire avec de l'humour et de l'imagination.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !