René Goscinny à la Cinémathèque, temple du 7e art ? L'idée semble étonnante. Pourtant dès l'instant où l'on pousse les portes de l'exposition "Goscinny et le cinéma", tout s'éclaire...
Le parcours du génial auteur-scénariste est empreint de références cinématographiques, jusqu'à l'accomplissement de son rêve ultime : réaliser des films.
Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque française, répond à nos questions.
GOSCINNY ET LE CINÉMA - ASTÉRIX, LUCKY LUKE & CIE
jusqu'au 4 mars 2018 à La Cinémathèque française
L’œuvre de René Goscinny est-elle profondément cinématographique dans son ensemble et dès ses origines ?
Oui, et c’est ce qui est particulier pour la Cinémathèque, où nous avons eu beaucoup d’expositions sur des cinéastes : Stanley Kubrick, Jacques Tati, François Truffaut, Pedro Almodóvar. Tout le monde est d’accord pour dire que René Goscinny est un scénariste génial de BD, mais est-il un cinéaste ? René Goscinny à la Cinémathèque, ça peut paraître étrange, mais l’exposition répond à cela, de façon ludique et amusante.
La réponse est que non seulement René Goscinny a été un cinéaste puisqu’il a signé des films d’animation qui sont passés dans la mémoire collective des Français, mais qu'en plus son œuvre est profondément enracinée dans le cinéma. Goscinny est d’abord un spectateur, il se nourrit pendant toute sa vie de cinéma. Le cinéma est son rêve, son horizon d’ambition... et son idée fixe.
Il y a trois étapes : d’abord le jeune René Goscinny qui voit des milliers de films, énormément de westerns, de burlesque, de péplums.
Le deuxième temps, ce sont tous ces éléments qui ressortent dans son œuvre. Devenu scénariste d’Astérix et de Lucky Luke, il revisite, retravaille, tous les films qu’il a vus en les utilisant dans des scénarios de BD.
Le troisième temps, c’est le passage à l’acte. René Goscinny est devenu quelqu’un d’extrêmement célèbre, il est tout le temps à la télévision dans les années 1960-70, il est le papa d’Astérix et l’un des créateurs de Lucky Luke. Il gagne donc beaucoup d’argent. Alors, comme il le disait lui-même, au lieu "d’investir dans l’immobilier", il décide de créer un studio d’animation
Aujourd’hui, on se dit « Pourquoi pas ? » mais en 1974-75, cela revient à annoncer qu’on va monter l’Annapurna en tongs ! Il n’y avait rien en France : pas d’animation, d’animateurs, de techniciens, de studios, rien ! Il va au bout de son rêve. Lui qui, enfant, a vu Blanche-Neige et s’est dit qu’il deviendrait un jour Walt Disney, décide de devenir « Walt Goscinny », comme l’appelait en rigolant ses copains du journal Pilote. Il décide de faire des dessins animés d’animation avec Astérix et avec Lucky Luke. Cette troisième partie n’est interrompue que par sa mort en novembre 1977.
L’épilogue, c’est que 20 ans après sa mort, Claude Berri, sous l’impulsion de son fils Thomas Langmann, décide de faire le premier Astérix avec des acteurs en live, Clavier et Depardieu. C’est le juste retour des choses : ces personnages vont devenir des héros absolus du cinéma populaire français. Je pense que ça lui aurait fait un plaisir immense, à lui qui était obsédé par le cinéma, de voir le plus grand acteur français – peut-être le plus grand acteur du monde – Gérard Depardieu, incarner Obélix à l’écran. C’est la fin heureuse de l’histoire de Goscinny et du cinéma, 20 ans après la mort du créateur.
C’est ce mouvement que nous racontons dans notre exposition : un petit garçon de 6-7 ans voit Laurel et Hardy avec son papa dans une salle de cinéma de Buenos Aires, où ils vivaient, et 70 ans plus tard, Alain Chabat réalise Astérix et Obélix – Mission Cléopâtre, qui est vu par 15 millions de personnes.
Justement, la mort de Goscinny a précipité la fin des studios Idéfix et de cette idée d'un "Disney à la française" là où les studios Disney ont survécu à leur créateur. Est-ce uniquement parce que les studios Idéfix étaient une création récente ? Y avait-il une place pour l’animation made in France ?
Il y a un peu des deux. Quand Disney est mort, il s’était déjà installé. Son territoire commercial était le monde entier et le succès de ses films était tel que Disney était devenu une firme, un grand studio à l’américaine, comme la Fox ou la MGM.
En revanche, les Studios Idéfix, pour leur malheur, étaient un prototype. Ils existaient depuis à peine 3 ans quand Goscinny est mort, alors qu’il en était le "ferment". Albert Uderzo et Georges Dargaud, leur éditeur, ont suivi le génie - et de bonne grâce, mais c’est Goscinny qui impulsait les choses.
Sa mort laisse Uderzo totalement éperdu : il ne perd pas que son scénariste d’Astérix, il perd son meilleur ami. Pour Uderzo et Dargaud, continuer sans Goscinny semble absurde. Les studios n’ont pas d’assise assez solide, donc ils paniquent et bradent tout très vite. C’est d’ailleurs un drame patrimonial car beaucoup de choses partent à la benne. Des gens ont sauvé certaines choses, mais il n’y a pas eu à l’époque d’action concertée des pouvoirs publics ou de la Cinémathèque, pour sauver des archives des Studios Idéfix.
Pouvons-nous aborder le cas particulier de Lucky Luke, personnage qui n’est pas à l’origine créé par Goscinny, mais par Morris ?
Oui, il ne faut pas qu’il y ait d’ambiguïté là-dessus, c’est effectivement un personnage créé par Morris, même si Goscinny va grandement développer l’univers de Lucky Luke.
Goscinny et Morris sont deux très jeunes hommes quand ils se rencontrent à New York, bien avant de travailler ensemble sur Lucky Luke. Ils ont en commun non seulement d’avoir passé une partie de leur jeunesse aux Etats-Unis, de parler anglais, mais évidemment leur connaissance encyclopédique de l’Ouest et du western. Leur terrain d’entente, leur terrain de jeu commun est déjà là.
Nous sommes alors vers la fin des années 1940, début des années 1950, avec un western hollywoodien classique : comment Goscinny, avec Morris, vont-ils s’approprier les conventions de ce genre pour les déconstruire ?
C’est ce qui m’intéresse le plus et c’est pour ça que j’ai voulu faire cette exposition. Le cinéaste préféré de Goscinny était John Ford, le plus grand réalisateur de westerns avec peut-être Anthony Mann, Howard Hawks et Raoul Walsh. Goscinny adore les histoires de Ford et il y puise des éléments qui sont absolument pathétiques, de l’ordre du mélodrame, sans que ce soit péjoratif.
Il prend par exemple l’histoire des femmes blanches enlevées par les Indiens, dans le film La Prisonnière du désert, qui n’a rien de drôle et qui est un fait historique : ces femmes étaient complètement perdues quand on les ramenait chez les Blancs. Là où Ford fait des films sublimes où on pleure tous, Goscinny fait des albums où on se tord de rire au lieu de pleurer. C’est ce qui est très fort : il reprend effectivement les conventions, les motifs fordiens, et les tourne vers quelque chose qui n’est pas exactement de la parodie… Ce serait plutôt du pastiche, car il ne les abime pas : on peut très bien lire Le 20ème de Cavalerie et continuer à adorer Rio Grande, La Prisonnière du désert ou La charge héroïque de John Ford.
On peut lire La Diligence, qui est un remake en album de Lucky Luke du film La Chevauchée Fantastique de John Ford (avec John Wayne) sans que cela n’enlève rien à ce film. Ce sont des lectures par un spectateur émerveillé, qui déconstruit ces conventions du western, les travaille, les prend à rebours et en fait des choses extrêmement drôles.
C’est là le génie de Goscinny : son "tour d’esprit" fait que même s’il aime profondément, il faut qu’il s’en moque, jusqu’à en faire quelque chose de différent mais qui est un reflet de l’original. Cette particularité, c’est ce qu’on appelle "l’œil parodique absolu" dans l’exposition. Donnez-lui un western, un personnage comme Calamity Jane, et il vous en fera un album de Lucky Luke.
Crédit : Daisy Town, Co-production DARGAUD Productions/RENÉ GOSCINNY productions /
IDEFIX Studio ©Productions Dargaud Films – Paris / René Goscinny / Morris. Tous droits réservés.
Tout en conservant toujours un côté épique, bien sûr…
Absolument, il garde ce côté épique. Et comme il faut être deux pour faire ce genre de choses, il s'allie à un dessinateur génial : c’est pour cela que nous avons tenu à ce qu’il y ait des originaux de Morris à côté de nos petits montages.
Goscinny a eu cette chance : pour ses plus grands personnages, Astérix et Obélix, Lucky Luke, il s’est allié à un dessinateur de génie et il ne faut pas l’oublier. Uderzo est vraiment un très grand dessinateur de bandes dessinées, qui a un sens du mouvement que personne d’autre n’a à ce point-là. Avec Morris, on est plutôt dans le pop art. Je ne dis pas que Morris est Andy Warhol bien sûr, mais graphiquement, Morris est un génie, avec un sens incroyable du cadrage, de la couleur. Goscinny a su s’allier avec des gens capables de lui répondre, et c’est ce qui donne ce résultat miraculeux.
40 ans après la disparition de Goscinny, la sortie d’un nouvel album d’Astérix reste un événement majeur, tout comme l’est chaque nouvelle adaptation au cinéma (on parle d’un nouveau film en 2020). Comment expliquer que l’univers - et notamment l’humour – de Goscinny soit universel au point de perdurer, même porté par d’autres auteurs ou scénaristes ?
C’est la grande question ! Il faut d’abord rendre à Uderzo ce qui est à Uderzo. Après le choc terrible et l’infinie tristesse qu’a pu ressentir Albert Uderzo en perdant son copain, il s'est remis au travail, au bout de 2 ou 3 ans, sous la pression des lecteurs. Le fait qu’il n’y ait pas eu d’interruption et qu’Uderzo ait eu le courage de reprendre Astérix seul a aidé à cette permanence. Si tout s’était arrêté à Astérix chez les Belges, c’est-à-dire en 1978 juste après la mort de Goscinny, je ne sais pas si Astérix serait resté aussi présent.
Et Uderzo a peut-être été encore plus courageux quand il a dit « j’ai l’âge que j’ai, donc j’arrête, mais je permets que mes personnages soient repris par d’autres que moi, de mon vivant ». C’est très rare en bande dessinée. Que l’un des deux papas d’Astérix dise « les albums peuvent continuer mais j’arrête de les scénariser et de les dessiner », cela a aussi permis à Astérix de rester présent dans notre mémoire collective.
Et puis, bien sûr, le cinéma a pris le relais. Sans Claude Berri ou Alain Chabat, peut-être que tout cela serait resté moins présent. Les films d’Astérix sont diffusés sans arrêt à la télévision, et le cinéma a beaucoup contribué à faire durer cette présence, c’est ce que nous racontons dans cette exposition.
Mais ce n’est pas l’essentiel, vous avez raison ! L’essentiel – et le mystère – c’est que René Goscinny a inventé quelque chose dans le scénario de bandes dessinées, qu’il a été le premier à pratiquer. Certes, il y a le second degré, mais le second degré, ce n’est pas assez.
En fait, chaque gag, chaque ligne de dialogue, chaque situation, chaque case scénarisée par Goscinny est un "feuilleté" de sens ! Il saturait chaque case d’allusions, de références, de doubles sens, de triples, quadruples… tant et si bien qu’on peut lire Astérix - et dans une moindre mesure Lucky Luke aussi - 100 fois dans sa vie sans en épuiser le sens. Et ça, c’est très fort.
Quand on lit un Astérix à 8 ans, puis à 18 ou 50 ans, on ne comprend pas la même chose : il y a toujours du nouveau à trouver. De ce point de vue-là, Goscinny est un génie insurpassable et incomparable dans son domaine. Personne autant que lui n’a saturé ses scénarios de choses à comprendre, non pas immédiatement, mais au Xème degré.
© 1976 – Dargaud Films Productions – René Goscinny – Albert Uderzo
Ce que vous disiez sur le courage d’Uderzo, cette forme d’humilité, cela ne ferait-il pas écho à Goscinny lui-même qui, très jeune, était plutôt un dessinateur, s’est rendu compte qu’il n’était peut-être pas le meilleur, et a préféré bien s’entourer et avancer en mettant de côté son ambition ?
C’est ce qui est très émouvant chez René Goscinny : on pourrait presque dire qu’il a fait de la bande dessinée en attendant de faire du cinéma.
Surtout, il s’est aperçu que même s’il n’était pas manchot et qu’il savait dessiner, il savait encore mieux écrire. A l’époque, le modèle écrasant était Hergé, tout le monde était scénariste-dessinateur. Goscinny a eu rapidement l'intelligence de s’allier avec des dessinateurs, mais en tant que scénariste.
Il y a deux choses très importantes à comprendre. D’abord, il a inventé ce métier. "Scénariste de bandes dessinées", c’est un métier qui n’existait pas. Et il l’a fait en assumant ses responsabilités, car c’était un génie artisanal qui aimait aussi être patron, ce qui n’est pas toujours très courant. Il aimait être patron de presse et diriger Pilote.
Grâce au succès d’Astérix, et en dirigeant Pilote, il a inventé à lui tout seul la bande dessinée française. Ce que je dis n’est pas exagéré, Uderzo me l’a confirmé en interview. Avant eux il y avait "l’impérialisme belge" (je le dis en plaisantant bien sûr). Il fallait "faire du Tintin", en fait du "sous-Tintin".
Uderzo avait un problème, par exemple. Toute sa vie, il a aimé dessiner des gros nez. Avant de rencontrer Goscinny, avec Oumpah-Pah et Astérix, et de s’affranchir de l’école belge, de la ligne claire, avec des nez réalistes, Uderzo n’avait pas le droit de dessiner de gros nez : il fallait cette ligne claire et réaliste. Tout d’un coup, il a pu se lâcher !
Le succès d’Astérix a été dément. Si dans une FNAC, vous voyez des gamins lire des BD assis contre un pilier, on le doit à René Goscinny. Il a inventé la popularisation de la BD en France. Nous sommes passés des publications destinées à la jeunesse, comme on disait à l’époque, à des albums qui peuvent être lus par des adultes. Aujourd’hui, c’est un cliché, mais c’était inconcevable en 1960. Il y avait très peu d’albums et la BD, c’étaient uniquement des illustrés, des magazines, des hebdomadaires… L’essor incroyable de l’édition de la bande dessinée en France au cours du dernier demi-siècle, on le doit bien à 50% à René Goscinny.
Pour finir, une question un peu plus personnelle… Quelle bande dessinée de Goscinny, pas encore adaptée à ce jour, rêveriez-vous un jour de voir sur grand écran ?
Ah, c’est toujours un risque ! Je vais être très spécifique, très précis. Moi, ce dont je rêverais – c’est qu’Alain Chabat s’attaque à Lucky Luke. Voilà ce que j’aimerais voir.
Un album en particulier ?
Oh, il ne faut pas exagérer, je laisse le choix à Alain ! Mais par exemple, si Chabat adaptait La Diligence, le résultat m’intéresserait beaucoup.
Et vous avez une idée de l'acteur qui pourrait incarner Lucky Luke ?
Non, j’ai confiance en Chabat, car personnellement je n’aurais jamais pensé à Monica Bellucci pour interpréter Cléopâtre !
Alain Chabat a une qualité, c’est qu’il parle couramment le Goscinny. C’est un enfant de Goscinny, de Pilote, de Gotlib, ce sont ses maîtres à penser. Alors un pastiche de western, un Lucky Luke, fait par Chabat, ce serait vraiment intéressant. Peut-être Calamity Jane aussi, même si je ne sais pas qui pourrait l’incarner dans le cinéma français !
L'appel est lancé ! Merci à Frédéric Bonnaud pour cet entretien qui donne envie de se (re)plonger immédiatement dans les albums et les films de Goscinny.
Crédit : Fonds d’archives Institut René Goscinny © Droits réservés
On aime Goscinny, on vous fait gagner des cadeaux !
Grâce à la Cinémathèque, tentez de gagner 20 invitations pour "Goscinny à la Cinémathèque" valables pour 2 personnes, 1 catalogue de l'exposition et 5 livres Découvertes Gallimard « Goscinny : Faire rire, quel métier ! ».
Pour participer, dites-nous quel film ou dessin animé tiré de l'œuvre de Goscinny a votre préférence, et précisez-nous si vous jouez pour les places ou pour les livres.
N’oubliez pas que pour participer et poster votre commentaire, vous devez être connecté avec votre profil, et avoir complété votre profil avec au moins vos 10 livres préférés et quelques avis sur vos lectures. Vous avez jusqu’au 20 décembre.
Attention, vérifiez que vos coordonnées (nom, prénom, adresse) sont bien inscrites dans votre profil !
Merci à tous pour vos réponses et vos commentaires Bravo à Axelle AUBIN ; Frederique Villé ; marie claude schwartz ; Marie laigle-chapuy ; christine Levillain ; kryan soler ; Myriam riou ; SANDRINE GOUAILLARDOU ; marie heckmann.
Crédit : © Lucky comics, 2017
C est agreable a lire ses DB de ses grands auteurs toujours a decouvrir de nouvelles histoires a decouvrir encore c est sur
Bonjour.
S'il vous plait, je souhaite participer.
Merci.
Astérix
Bonjour,Avec mes sœurs on lisait non on dévorait les albums de Astérix et de Lucky Luke ! Il y avait tous les albums chez le dentiste et cerise sur le gâteau on pouvait terminer les livres à la maison ! C'est mon enfance et mon adolescence! L'univers de Goscinny et de Morris est drôle et très attachant! Les films ont bien reflété cet univers. Mon héros préféré c'est Lucky Luke!Il Pour moi c'était l'Ouest Américain, c'était celui qui défendait et protégeait, et il était mystérieux et solitaire. C'était un vrai personnage! Et trop bien son chien Rantanplan trop bête! et son cheval Jolly Jumper! Quelle nostalgie !
Bonjour,
Je participe pour les livres et la saga qui a ma préférence c'est Astérix dont j'ai adoré les adaptations au cinéma.
Merci :)
Waouhhh que dire sur Goscinny ?? il y en aurait tellement à dire .... Astérix et Obélix sont des héros que j'ai suivi depuis si longtemps ... ils sont un peu un remède aux jours gris, ils sont une source de sourires, que ce soit en BD ou en films, je les adore !! et finalement je crois que je ne suis pas la seule ... Imagineriez-vous les fêtes de fin d'année sans un ou deux films de ces personnages ?? La preuve, regardez vos programmes télé et vous constaterez qu'ils seront encore avec nous cette année.
Alors pour moi, ce serait un super cadeau du Père Noël que de recevoir ce magnifique album.
En attendant je vous souhaite à toutes et à tous un merveilleux Noël.
C est super c est BD un délice a decouvrir et à lire super
je joue pour les découvrir!
Mon préféré reste le personnage d' Astérix.
Je joue pour les livres afin de faire découvrir cette œuvre aux jeunes générations de mon entourage.
Sans hésiter les aventures d'Astérix que j'adore regarder, surtout quand j'ai un petit coup de mou.
Je tente ma chance pour les livres :)
Bonjour, pour moi sans aucune hésitation c'est Lucky Luke et en particulier l' album "Le pied tendre" qui a bercé ma jeunesse.
Donc je participe pour l'exposition "Goscinny à la Cinémathèque" afin de retrouver tous les héros de Goscinny.
Obélix est mon Héros depuis que je suis toute petite et j'en suis toujours fan malgré mes 34 ans.. Donc voir l'expo serait la consécration
Je suis une grande fan d'Astérix et Obélix. Goscinny c'est mon enfance, j'aime redécouvrir tous ces classiques. Je tente ma chance pour le livre d'exposition ou Goscinny faire rire quel métier ! Ils pourront rejoindre ma collection Goscinny dans ma bibliothèque.
Astérix a bercé mon enfance et j'avoue que j'ai bien aimé Asterix et Obélix: mission Cléopâtre, surtout grâce à Jamel Debbouze... J'ai moins aimé les dessins animés car ma préférence reste les livres! Je joue volontiers pour les livres, j'adore la collection Gallimard Découvertes.
Bonjour chers lecteurs !!! Je croise les doigts : je tente donc ma chance pour gagner le livre Découvertes Gallimard « Goscinny : Faire rire, quel métier ! » , sinon une invitation pour "Goscinny à la Cinémathèque" valable pour 2 personnes et en dernier lieu 1 catalogue de l'exposition .
Je suis fan de Lucky Luke , dessin animé que nous regardions avec mon frère et ma sœur le week-end, nous avions également les BD .... Les dessins animés d'Astérix nous plaisaient aussi .
Bonjour, je joue pour les livres.
Toutes les séries scénarisées par René Goscinny me rappelle les veillées de mon enfance. Nous passions des heures, mon père, mon frère et moi, à lire et relire les Astérix, les Lucky Luke, et autres BD moins connues qui faisaient notre bonheur. Je n'arrive pas à choisir.
Lucky luke a ma préférence tant en dessin animé qu'en film , le chien est terrible (j'ai quasi le meme... niveau vitalité physique lol) , je tente ma chance pour le livre.