80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis le n° 1, nous voyons se dessiner, dans la perte, des formes de "marseilles" : cette fois, c'est un oratoire médiéval qui disparaît. Cette petite construction, qui cristallise le temps et l'espace d'une communauté, n'apparaît que dans les textes : a-t-elle seulement existé ? Pourquoi faire construire de telles architectures ? Que se passe-t-il dans l'épaisseur de sept cents ans d'écrits? Peu de sources sûres pourront nous répondre ; en revanche, beaucoup d'hypothèses plausibles surgissent dans le rapport créé entre l'oratoire, signe du sacré, et le territoire du diocèse, étendue politique. Dans ce quatrième opus, l'écriture nous rencontre et nous balançons sans cesse entre la vérité, la fiction (et la vérité de la fiction !) et le mensonge suivi de son cortège de violences.
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