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Ludovic Rodo Pisarro

Couverture du livre « Ludovic Rodo Pisarro » de Christophe Duvivier aux éditions Selena
  • Date de parution :
  • Editeur : Selena
  • EAN : 9791094886298
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

LUDOVIC-RODO PISSARRO (1878-1952) DIT LUDOVIC-RODO PISSARRO Ludovic-Rodolphe est le quatrième fils de Camille et Julie Pissarro. Son premier prénom fut choisi en souvenir du peintre Ludovic Piette, décédé sept mois avant sa naissance.
Au fil des années, Ludovic-Rodolphe devient « Rodo » pour la... Voir plus

LUDOVIC-RODO PISSARRO (1878-1952) DIT LUDOVIC-RODO PISSARRO Ludovic-Rodolphe est le quatrième fils de Camille et Julie Pissarro. Son premier prénom fut choisi en souvenir du peintre Ludovic Piette, décédé sept mois avant sa naissance.
Au fil des années, Ludovic-Rodolphe devient « Rodo » pour la famille. Il adoptera ainsi le nom de « Ludovic-Rodo » pour signer ses oeuvres.
Tout comme ses frères Lucien, Georges, Félix et (Paulèmile), Paul-Emile dit « Paulémile », Ludovic-Rodo dessine très jeune sur les conseils de son père. En 1894, à l'âge de 16 ans, ses premières gravures sur bois (ap)paraissent dans le journal anarchiste Le Père Peinard.
Jusque dans les années trente, il va ainsi contribuer à diverses publications (par) avec des bois gravés (aussi bien) tant en France qu'en Angleterre. En 1894, il rejoint son père en Belgique, là, il retrouve ses frères, Theo Van Rysselberghe, Henri Van de Velde et surtout Maximilien Luce. Dans les années 1898-1903, Il vit et travaille aux côtés de son père qui séjourne alternativement à Eragny-sur-Epte, à Paris et dans les ports normands et commence alors d'innombrables périples à travers la France et l'Europe (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Angleterre, Espagne).
Il s'établit ensuite à Montmartre dans un atelier qu'il partage avec son frère Georges.
Comme tant d'autres peintres, il est fasciné par la vie nocturne parisienne. Il exécute de nombreuses gravures sur bois, eaux-fortes, aquarelles et peintures ayant pour sujets les élégantes, les scènes de cabarets dans une veine souvent (marquée) influencée par le fauvisme.

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