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Héritiers d'un savoir-faire ancestral, les artisans de la haute couture nourrissent dans les ateliers ce qu'il reste d'une couture réservée pour partie aux musées.
Ce savoir faire, ils le cultivent et l'entretiennent. Surtout, ils le font vivre d'évolutions. Aucun passéisme dans l'artisanat de la haute couture, il est fait de brevets et d'inventions, de techniques toujours plus poussées, de gestes empruntés à l'histoire et remaniés avec le présent. Les deux instruments de ce savoir : l'oeil et la main. L'oeil d'abord, celui qui scrute les détails, celui qui sonde l'air du temps et lui donne forme sous le trait.
Il tombe comme un couperet. Net. À la moindre faille, il faudra tout recommencer. La haute couture est une exception qui ne peut pas se permettre l'à-peu-près. La main ensuite, celle qui travaille minutieusement, des heures durant. Seul outil, ou presque, autorisé. Le reste, pinceau ou aiguille, n'en est que le pendant. La haute couture commence ici : dans le premier mélange de pigments, dans le premier entrelacs de fils, déjà tout entiers dédiés à l'extraordinairement beau...
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