"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Harlem, New York, un soir de novembre.
Un sous-sol à l'écart des grandes avenues. Une cérémonie vaudou. Le narrateur regarde. Observateur, et non pas acteur. La nuit qui suit devient rêverie. Va-et-vient inlassable entre Harlem et Port-au-Prince. Le corps interdit de son amie et son enfance lointaine. Dans une approche semi-autobiographique, Louis-Philippe Dalembert retrouve l'un de ses thèmes favoris : l'enfance et ses tabous. La magie du récit, la langue, mélange heureux de gouaille et de détours créoles, de métaphores empruntées au vaudou et à la Bible, font de Les dieux voyagent la nuit le lieu d'une autre initiation : celle du lecteur, prêt à braver avec l'enfant téméraire toutes les peurs.
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