"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Titouche, le petit violon, fait une déprime à cause de son jeune maître. Il sait que bientôt Enzo va le délaisser, car le garçon a grandi et a besoin d'un nouveau violon, un violon un peu plus grand. Titouche ne peut pas envisager son avenir musical sans Enzo. Aussi, il implore le diable de lui venir en aide : lui faire gagner trois centimètres, comme cela le jeune garçon n'aura pas besoin d'un nouvel instrument. Mais tout accord avec le diable implique une contrepartie et Crincrin connaît le prix à payer, il doit vendre son âme...
J'aime beaucoup ce genre d'histoire qui montre que l'attachement existe autrement qu'entre humains.
Parce qu'il y a des "choses" qui n'auront jamais envie de nous délaisser...
"vendre son âme" prend tout son (joli) sens.
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