80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
1er novembre 1954, l'insurrection éclate en plusieurs points de l'Algérie.
La France, sans le savoir, bascule dans la guerre. Dans son Bloc-notes de L'Express, François Mauriac, le premier, l'a compris : " L'horreur de ce qui va se déchaîner doit être tout de suite adoucie par une offensive concertée contre les bas salaires, le chômage, l'ignorance, la misère et par les réformes de structure qu'appelle le peuple algérien. Et, coûte que coûte, il faut empêcher la police de torturer.
" Les intellectuels français livrent alors leur dernière grande bataille, à coup de manifestes et de pétitions, de comités et de meetings. Mais c'est aussi, comme Mauriac, dans la presse, par leurs articles et leurs éditoriaux que Camus, Sartre et bien d'autres écrivains entrent dans la mêlée.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année