"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La Datcha, prix roman 2021 Les petits mots des libraires.
L'homme venait de me déposer dans un décor de rêve, dont je n'aurais même pas soupçonné l'existence. L'hôtel en lui-même était imposant, majestueux ; les pierres, les grands volets, les immenses platanes tout autour de la cour, la fontaine couverte de mousse qui lui conférait un aspect féerique. Je ne tiendrais pas deux jours, je n'étais pas à ma place. Devais-je fuir immédiatement, retrouver ma vie d'errance dont je connaissais les codes, où je savais comment survivre, ou bien rester et tenter ma chance dans ce monde inconnu, étranger, mais qui exerçait sur moi une attraction aussi soudaine qu'incontrôlable ?
Et si le pouvoir d'un lieu était d'écrire votre histoire ?
La Datcha d'Agnès Martin Lugan est un roman d'amour, de la famille, de secrets non dévoilés, l'enfance et le deuil.
Hermine va se rendre dans le Luberon où elle sort transformé, elle qui erré avant sa rencontre avec Jo, tenancier d'un hôtel provençal.
Une écriture fluide, l'intrigue est passionnante et nous transporte, les descriptions de paysages merveilleuses, on s'attache aux personnages, on peu visualiser le décor et le scénario. Un livre doux et bienveillant.
"hôtel en lui-même était imposant, majestueux, les pierres, les grands volets, les immenses platanes tout autour de la cour, la fontaine couverte de mousse qui lui conférait un aspect féerique."
"Les musiciens terminaient leur travail de balances en riant. Mon coeur pleurait. Un an auparavant, Jo et Macha étaient là, vivants et heureux. Aujourd'hui, bien plus que d'habitude, ils me manquaient, mais leur présence planerait au-dessus de nous, ils veilleraient sur nous. Ils auraient été si heureux de voir Vassily parmi nous."
Hermine a été abandonnée par sa mère. Elle a fui les services sociaux, a connu la rue puis a décidé de partir pour le sud. Une halte en Provence et elle se retrouve à travailler dans un hôtel luxueux, la Datcha. 20 ans plus tard, elle y est toujours et la clientèle bat son plein. Pourtant, le moral n'est pas au beau fixe. Celui qui l'a accueillie les bras ouverts et lui a offert sa confiance, le propriétaire, vient de décéder. Sa femme va d'ailleurs ne pas tarder à le suivre. Que va devenir la Datcha ? Quel est l'avenir d'Hermine et de ses enfants, elle qui a tout donné pour faire fonctionner au mieux cet hôtel ? le fils qui était parti peu après son arrivée revient. Que va-t-il décider ? La réponse tarde à arriver et on devine que tout ce qui va être décidé est en rapport avec un lourd secret de famille. Un roman émouvant, on s'attache tout de suite aux personnages, mes larmes ont coulé régulièrement, au début, au milieu, à la fin... Une histoire intrigante, facile et agréable à lire.
Hermine, jeune laissée pour compte de 20 ans, est engagée dans un hôtel provençal, la Datcha, par ses propriétaires, Jo et Macha. Le chapitre suivant nous projette 20 ans plus tard. Hermine, deux enfants, fraichement divorcée, est toujours à la Datcha qu’elle dirige pratiquement seule. Puis Jo meurt et, durant une bonne centaine de pages, c’est pleurs, veillée funèbre, enterrement, souvenirs, regrets…
Après un deuil qui ne semble jamais finir, on imagine que l’histoire va enfin démarrer, mais non. Rien ! Jusqu’à ce que ressorte, dans les 20 dernières pages, un vieux secret de famille qui aboutit en eau de boudin.
Bref, j'ai trouvé que La Datcha était un roman bien écrit mais profondément ennuyeux.
Hermine a été abandonnée par sa mère. Elle a fui les services sociaux, a connu la rue puis a décidé de partir pour le sud. Une halte en Provence et elle se retrouve à travailler dans un hôtel luxueux, la Datcha. 20 ans plus tard, elle y est toujours et la clientèle bat son plein. Pourtant, le moral n'est pas au beau fixe. Celui qui l'a accueillie les bras ouverts et lui a offert sa confiance, le propriétaire, vient de décéder. Sa femme va d'ailleurs ne pas tarder à le suivre. Que va devenir la Datcha ? Quel est l'avenir d'Hermine et de ses enfants, elle qui a tout donné pour faire fonctionner au mieux cet hôtel ? le fils qui était parti peu après son arrivée revient. Que va-t-il décider ? La réponse tarde à arriver et on devine que tout ce qui va être décidé est en rapport avec un lourd secret de famille. Un roman émouvant, on s'attache tout de suite aux personnages, mes larmes ont coulé régulièrement, au début, au milieu, à la fin... Une histoire intrigante, facile et agréable à lire.
La Datcha : ce lieu est devenu une main tendue pour Hermine, un refuge pour Samuel et une bouée de sauvetage pour Vassily.
Grâce à la main tendue de Jo et l’amour de Macha, ces trois âmes blessées vont se reconstruire au fil des pages, dépasser les préjugés et les non-dits. Un mélange subtil de sentiments refoulés, anesthésiés par la peur de se livrer à l’autre.
Le chemin de la vie est parfois semé d'embûches qu’il faut surmonter pour avancer sans se soucier du jugement de l’autre.
A travers Jo et Macha, l’auteur nous dessine une toile de fond : les liens familiaux ne sont pas forcément les liens du sang.
J’ai lu trois livres de cet auteur, son écriture reste teintée de gentillesse, de douceur et de bienveillance. Même si j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, j’ai apprécié la deuxième partie et me suis laissée porter doucement pour un bon moment de lecture.
Dans ce livre, chacun va faire acte de résilience à son rythme.
En ce mois d’octobre, j’ai prolongé mon été en me rendant en plein cœur de la Provence à l’hôtel La Datcha.
J’ai pénétré les portes de cet hôtel.
Accueillie comme une reine.
J’ai rencontré le personnel hôtelier
Hermine, Jo, Macha, Samuel, Vassily, et tous les autres…
Des personnes exceptionnelles, attachantes, humaines et bienveillantes. Quel agréablement merveilleux séjour dans ce cocon provençal où j’ai bu du bon vin et j’ai dégusté des plats exquis avec les produits du terroir, d’ailleurs, je vous suggère les ravioles au pesto.
J’ai goûté de très bons thés russes de Macha.
J’ai passé de nombreuses heures dans cette belle bibliothèque à parcourir les étagères remplies de livres
J’ai découvert leurs secrets les plus enfouis, leurs non-dits de cette famille, leurs fêlures, leurs liens… J’ai versé des larmes et je me suis liée à cette belle famille.
Certains secrets du passé ont refait surface
Ils m’ont confié leurs joies et leurs peines
C’est un joli tourbillon d’émotions.
Pendant plusieurs heures, je me suis balancée au milieu du jardin, perdue dans mes pensées
Le soleil était au rendez-vous.
J’ai profité de la piscine et pris mes repas sur la terrasse du moulin.
Quand la nuit tombait, j’ai ressenti cette atmosphère joyeuse et chaleureuse.
Alors, j’ai enfilé une belle robe et j’ai dansé sous un ciel étoilé écoutant les musiciens tziganes.
Comme chanté Jo « La Belle Vie… »
Oui, La vie est belle à La Datcha que je vous recommande d’aller y faire un tour où j’y ai passé des heures merveilleuses et j’aurais tant aimé prolongé ce séjour qui restera inoubliable.
C’est avec beaucoup d’émotions que je vous invite à réserver et à boucler vos valises. Passez un excellent séjour avec toute l’équipe de La Datcha, un havre de paix au cœur de la Provence.
Merci Agnès pour ce chouette séjour ! Votre roman est doux, lumineux, et chaleureux. Quant à votre plume, elle est magnifiquement savoureuse et addictive. Une fois de plus, je me suis laissée transporter dans ce lieu magnifique et dans cette belle histoire. Je vous invite en faire autant.
Hermine, une jeune femme errant comme une âme en peine est recueillie par Jo et Macha qui tiennent un hôtel à Goult dans le Lubéron et va rapidement en devenir la cheville ouvrière tant elle active et reconnaissante au couple qui l’a accueillie et qui lui a accordé sa confiance. Tout est bien qui fini bien, dés le début et L’histoire est une dégoulinade ininterrompue de bons sentiments ressassés à souhait avec un suspens quasi insoutenable, Vassili le fils prodigue va t’il supplanter le mari Samuel dans le cœur d’Hermine ? Un roman qui exhale des bons sentiments à gogo et si quelqu’un comprend pourquoi Hermine se sépare de Samuel, qu’il me l’explique !
« M’étourdir. Évacuer. Vivre. Je noyai mon chagrin en m’épuisant dans les bras du père de mes enfants, de cet homme que j’avais aimé, je pleurais dans les larmes, la sueur, les rires, les vapeurs d’alcool, ma tristesse d’avoir perdu le père que je n’avais pas eu »
La datcha n’est pas mon premier roman de l’auteure - sa plume est toujours autant agréable à lire mais je n’ai pas réussi à m’attacher à Hermine.
Hermine, une jeune fille déboussolée, se retrouve à l’hôtel La Datcha. Grace à Jo et Macha, les propriétaires, elle va réussir à se reconstruire.
Une lecture aux odeurs de Provence qui pourrait vous plaire cet été
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