"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ils l'ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d'oiseau. Il n'a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu'il a laissées derrière lui. Jusqu'à ce que ses crimes resurgissent du passé, dans les profondeurs d'une mine abandonnée...Plongez avec Ludivine Vancker dans le Département des Sciences du Comportement, les profilers, jusque dans l'âme d'un monstre.
Un thriller sur la transmission familiale du mal.
Ils l'ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d'oiseau. Il n'a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu'il a laissées derrière lui. Jusqu'à ce que ses crimes resurgissent du passé, dans les profondeurs d'une mine abandonnée...
Plongez avec Ludivine Vancker dans le département des sciences du comportement, les profilers, jusque dans l'âme d'un monstre.
https://nathavh49.blogspot.com/2024/03/la-constance-du-predateur-maxime-chattam.html
J'ai été envoûté par ce livre. Durant les dernièresp ages, j'avais des frissons et je participais à l'action. Il y a longtemps que cela ne m'était pas arrivé. On ne reste pas insensible. merci
C'est avec une grande appréhension ,que je me suis lancée dans la lecture de ce livre. J'avais été énormément déçue des deux derniers, et le mot est faible .La tentation a eu raison de moi, et miracle j'ai retrouvé le Grand Chattam, un véritable bonheur. L'auteur ne tergiverse pas et nous plonge directement dans l'horreur. Nous retrouvons avec un grand plaisir Ludivine , qu'il avait laissé de coté depuis un certain temps. Une enquête qui peut se lire indépendamment, de nombreux flash back, nous permettent de mieux comprendre le personnage de Ludivine, avec tous les maux qui l'accompagnent, mais elle ne se laisse pas abattre, c'est une battante, qui se baissera pas les bras. Sa nouvelle affectation, ne sera pas de tout repos.
Prépayez vous à vivre des sensations fortes, de tomber dans les ténèbres de Lucifer. Une histoire monstrueuse, terrifiante, nuits blanches assurées , nous donnant la chair de poule , des frissons glaçans. Je me demande si l'auteur est tout seul dans sa tête. Comment puise -il de telles idées pour l'écriture dans un roman.
Ludivine travaille désormais au sein de la gendarmerie nationale . Elle se ne voit octroyer, une enquête qui s'avère difficile à résoudre, un véritable sac de nœuds, la course contre la montre d'un tueur en série est lancée. L'auteur à l'art et la maniere de capter ses lecteurs, les maintenir en éveil, ne pas les perdent durant son récit, cela reste un impossible. Nous sommes comme des statues à sa merci. Les descriptions sont abominales, monstrueuses. Il ne laisse rien au hasard, nous tombons dans les méandres de la folies, proches des portes de l'enfer, arriverons nous à revenir dans le présent .Nous avançons en apnée , peur de faire du bruit de respirer, peur de réveiller ce psychopathe , de se retrouver face à lui., cet être sans états d'âmes qui n'a plus rien d'humain en lui. Un univers d'une extrême noirceur, une intrigue et un suspens haletants, et intenables. Un rythme qui s'instable crescendo, pimentant cette atmosphère de terreur.
Une histoires à multiples rebondissements, aucun temps, pas le temps de s'ennuyer .Il nous tient en haleine jusqu'au dénouement finale, une fin explosive. Certains passages m'ont mis mal à l'aise, les descriptions sont tellement visuelles, qu'elles ne sont pas destinées aux âmes sensibles comme moi.
Malgré tout un côté psychopathe qui était terré en moi refait surface, quand tu lis du Chattam, tu sais que tu vas lire un roman atroce où la violence est maitre de l'histoire .
La plume est percutante , visuelle ,entrainant une lecture glaciale, malsaine, et addictive.
Une fois commencé , il est impossible de poser ce livre, je l'ai englouti en une journée, un roman où le mot fin est stressant , nous voulons perdurer l'histoire.
Il joue avec nos nerfs.
Un grand Maxime Chattam comme on l'aime, avec tous les ingrédients qui l'accompagnent. Il est impossible de sortir indemne ,les cauchemars m'envahissent encore .
Un véritable coup de cœur.
Ludivine Vancker, fraîchement mutée au Service des Sciences du Comportement de la Gendarmerie Nationale, n’a pas le temps de déballer ses petites affaires qu’elle est envoyée d’urgence dans le Haut-Rhin pour sa première enquête. Dans une mine désaffectée, on vient de retrouver un charnier composé de 29 cadavres de femmes, charnier qui semble dater des années 70-80. La scène de crime, très ritualisée, est déconcertante, même pour des gendarmes aguerris. A peine de travail d’identification entamé et la première trace génétique relevée, on signale la même trace sur deux cadavres récents de femmes en Gironde. Une même trace génétique à plus de 35 ans d’écart, avec rien entre les deux, tout cela est terriblement inhabituel… Et ce n’est que la première surprise de cette enquête qui en révélera bien d’autres.
Une couverture avec une tête de mort, un titre sans ambiguïté, un tueur qui laisse des scènes de crime improbables et pleines de symboles tordus, des crimes abominables, un premier chapitre ultra angoissant et qui donne le ton, des passages plein de détails glauques : bienvenue chez Maxime Chattam ! Arès 5 longues années il reprend ici la série « Ludivine Vancker », cette jeune gendarme de la Brigade de recherche de Paris qui justement, change d’affectation en début de roman pour se spécialiser en profilage. Un véritable « page turner », ce nouveau thriller de Chattam, avec 66 chapitres qui se terminent tous sur un petit cliffhanger : difficile à lâcher et lu en quelques jours. Et pourtant, encore une fois, ce diable de Chattam n’est pas avare en détails glauques et en situations malsaines. Cette fois-ci, on franchit un petit degré supplémentaire en la matière je trouve, et je me demande où est la limite de cet auteur. Il ne faut pas trop en dire sur le criminel poursuivit ici, ses motivations et sa méthodologie, la résolution de ce cas étant particulièrement difficile et complexe (mais jamais embrouillée). La question est donc de savoir si tout cela est plus ou moins crédible, qu’il s’agisse de psychologie (je devrais même dire de psychiatrie), de génétique, ou de sociologie. J’avoue que je ne sais pas trop, le roman a l’air assez bien documenté mais c’est un crime, ou plutôt une série de crimes, tellement tordus et sur une période tellement longue que cela rend cette histoire limite improbable. Mais au fond, ce n’est pas bien grave car on enchaîne les chapitres, on se perd en conjectures, on est happé par les rebondissements (assez bien amenés du reste) jusqu’à une fin trépidante, pleine de suspens et qui n’est pas sans rappeler la fin irrespirable du « Silence des Agneaux », une référence en la matière. Est-ce le meilleur Chattam ? Peut-être pas. « Que ta Volonté soit Faite » étant à mes yeux ce qu’il a produit de mieux. Mais cela reste un thriller hautement recommandable pour les amateurs du genre, à condition d’avoir de ne pas avoir une âme sensible, bien entendu.
Maxime Chattam est un auteur que je suis depuis la parution de L'âme du mal et si j'en crois les remerciements à la fin de ce nouveau roman cela fait déjà vingt ans! La claque! Lol
Et si j'avoue avoir moins aimé ses dernières parutions, hormis Le signal que j'ai adoré, je ne peux m'empêcher de me précipiter dès qu'un nouveau roman sort. Celui-ci n'a donc pas fait exception.
Pour ce nouveau thriller, Maxime Chattam renoue avec Ludivine Vancker que nous avions déjà côtoyée dans plusieurs autres de ses romans. Celle-ci va intégrer le "service des profilers" de la gendarmerie et sa première affaire n'est rien de moins qu'un charnier dans une mine abandonnée. Est-il utile de préciser aux âmes sensibles de se tenir loin de ce livre? Il y a nombres de scènes qui soulèvent le cœur.
Pour ce roman il semble que Maxime ait fait le choix de privilégier l'ambiance et le décorum au rythme. En effet il y a beaucoup de descriptions sur les lieux, à grand renfort de métaphores et comparaisons, et sur ce que ces lieux inspirent aux personnages ce qui freine la narration. C'est un choix, personnellement, je préfère les thrillers rythmés avec des rebondissements qui relancent le suspens régulièrement.
J'ai beaucoup aimé l'aspect technique de l'enquête, on apprend beaucoup de choses sur les moyens techniques et technologiques de la gendarmerie, c'est intéressant, parfois même fascinant.
J'ai aimé les personnages, notamment Ludivine et Lucie, deux femmes fortes et intelligentes.
Quant à l'enquête elle-même, je ne sais pas si j'adhère (niveau cohérence entendons-nous bien) et j'ai encore des questions, des éclaircissements me manquent notamment sur la genèse.
Bref un bon moment de lecture que j'aurai préféré un peu plus rythmé.
Le titre "la constance du prédateur" donne une petite idée du contenu de l'intrigue. Avec la gendarmerie, que Maxime Chattam met très souvent en avant, c'est le département des sciences du comportement et des profilers qui dirigent l'enquête. On découvre, avec intérêt, les mines abandonnées, leur organisations, les galeries et toutes les techniques et matériels utilisés pour l'extraction des minerais; L'ambiance dans les profondeurs de la terre, où le danger est présent sous les pieds et au dessus de la tête donne un sentiment d'oppression, de peur dans un environnement sombre. Les 17 corps découvert sur une plateforme augmentent, encore, cette sensation ajouté au fait qu'ils s'agit de meurtres assez anciens. Quand l'enlèvement de Chloé arrive, on passe à un nouveau palier. C'est glauque, noir, çà craint mais on tourne vite les pages pour se perdre dans des descriptions assez horribles. C'est un roman policier assez classique, parfois cela manque un peu de finesse. C'est un Chattam sans surprise, au final, mais qui se laisse lire
Ludivine Vanker voit sa mutation avancée. Elle se retrouve donc au sein du département des sciences du comportement. Et son intégration va commencer très fort . Son équipe est chargée d'enquêter sur Charon, le passeur des morts...
Quatrième volume de la série de Ludivine Vancker, la constance du prédateur est un très bon thriller. Je n'ai pas lu les trois premières enquêtes mais cela ne m'a pas empêché de suivre l'histoire.
La lecture de ce titre est addictive, notamment grâce à la voix de Sylvain Agaësse qui arrive à nous happer dans les ténèbres de ce récit.
Je suis toujours épatée par l'imagination des auteur-e-s quant aux atrocités que les victimes subissent dans leurs romans.
Et dans ce récit, Maxime Chattam n'y va pas de mains mortes.
L'ensemble de l'enquête est bien menée. La tension est permanente et l'angoisse m'a accompagné tout le long de ma lecture. J'ai apprécié les personnages de Ludivine Vancker et ses collègues.
Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions Audiolib pour l'acceptation de ma demande d'écoute.
Un charnier de dix sept cadavres de femmes datant des années 1980 est découvert dans une mine désaffactée de l’est de la France. Les corps miraculeusement conservés en raison des conditions environnementales apportent un ADN et en prime une signature criminelle peu commune : des oiseaux dont les têtes ont été décapitées. Alors qu’elle vient d’intégrer le Département des Sciences du Comportement, la profileuse Ludivine Vancker est chargée de l’enquête, épaulée par Lucie Tonnens : deux femmes décidées à pénètrer le cerveau de ce qui s’avère être l’un des pires tueurs en série… A l’autre bout de la France, deux crimes viennent d’avoir lieu, deux jeunes femmes sur lesquelles est prévelé le même ADN masculin que celui retrouvé sur les corps de la mine souterraine. Les questions affluent : quarante ans plus tard, est-il possible que le tueur frappe de nouveau ? Une jeune mère de famille a disparu, une course contre la montre s’engage pour la sauver des griffes de celui que l’on a baptisé Charon, comme le mythologique passeur des Enfers.
Je n’ai pas lu les trois précèdentes enquêtes de Ludivine Vancker, ce qui ne m’a pas posé problème pour suivre ce récit, mais ce tome me donne totalement envie de remédier à cela : addictif et terriblement efficace, La constance du Prédateur joue avec nos nerfs et nous entraîne dans les profondeurs abyssales de l’âme humaine. Deux enquêtes menées de front, l’une dans une mine abandonnée peuplée de cadavres vieux de plus de quarante ans, au cours de laquelle les enquêteurs vont tenter de déterminer le passé d’un tueur dément. L’autre enquête en parallèle concerne des crimes récents, dont une disparition qui mène l’équipe de policiers sur la brèche. Ludivine Vancker qui est prête à tout pour remonter aux origines du mal et coincer le monstre avant qu’il ne fasse de nouvelles victimes n’est pas à l’abri d’erreurs dommageables pour sa carrière.
Glauque à souhait, ce récit atteint une limite non égalée : une thématique recherchée qui tourne autour de l’ADN, documentée et maitrisée, un scénario assez inédit et des personnages sous l’emprise de leurs convictions, prêts à se donner corps et âme pour leur métier en dépit des conséquences. Tout y est : le rythme, la profondeur du récit, l’originalité… On compare d’emblée à Ed Kemper ce frenchy serial killer pour le moins retors, ce qui donner le ton: scènes parfois à la limite du supportable, fausses pistes et retrournements de situation, et surtout un dénouement incroyable à la mesure de l’imagination débordante et franchement morbide de l’auteur.
J’aurais assurément apprécié ce roman en version papier, mais la lecture audio valorise magistralement ce roman: le comédien Sylain Agaësse excelle dans sa performance, capable de s’adapter à l’ambiance morbide du récit, dans ses moindres nuances. Des descriptions angoissantes de scènes de crimes aux actes abominables proférés par le tueur, le ton employé se révèle à l’écoute très perturbant! Je remercie chaleureusement les Editions Audiolib via Netgalley pour ce partage.
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