"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Patti Smith ... Aaaaah quand j'entends ce nom, directement résonne en moi "Because the night", "Easter", "Gloria" et d'autres de ses chansons ! Mais qui est-elle ? J'avoue qu'à part la faire défilé dans ma play list, je ne savais rien d'elle ! Ce livre est son autobiographie d'une partie de sa vie : son enfance qu'elle balaye assez rapidement et surtout SA rencontre avec Robert Mapplethorpe, photographe connu pour ses photos en noir et blanc et ses nus masculins. Leur rencontre est très fusionnelle ... Deux gamins paumés qui se promettent de toujours prendre soin de l'autre ! Promesse tenue car même lorsqu'ils se séparent, ils continuent à se "protéger" mutuellement ... Férus d'art tous les deux, ils cherchent leur voie ensemble. Elle, deviendra poète, elle le sait ! Ses poèmes seront ses chansons ... Passionnée par Rimbaud, elle trouvera sa force dans ces écrits. Dans ses moments les plus difficiles, quand la faim la ronge elle s'enivrera de Baudelaire ! Lui, il mettra un certain temps à se trouver ... son modèle c'est Andy Wharol ! Personnage écorché vif, il sombre dans la drogue, le sexe, la prostitution... mais Patti est là... Elle le protège sans jamais l'enfermer ! Dans ses moments où il plane, il voit des choses qu'il essaye de recréer ... des collages photos, des colliers exentriques, des dessins ésotériques, etc. Ensemble, ils feront des rencontres ... beaucoup de rencontres ! Certaines leurs seront bénéfiques et les conduiront à la reconnaissance de leur art respectif.
J'ai beaucoup aimé cette lecture !! La plume de Patti est superbe ... Elle fait rêver ! Il y a un passage dans ce livre qui ne me quitte pas et qui est tellement beau ! Avant de rencontrer Robert, elle erre dans New york seule avec son sac à dos. Elle fait la rencontre d'un homme sans abri... Je me permets de partager ce passage magnifique avec vous : " J'attends de rentrer chez moi, ajouta -t-il. C'était une belle journée et nous nous sommes assis dans l'herbe. Je me suis assoupie, j'imagine. Il n'était pas là quand je me suis réveillée. Un morceau de craie rouge qu'il utilisait pour dessiner traînait sur le trottoir. Je l'ai mis dans ma poche et suis partie de mon côté. Le lendemain, j'ai vaguement attendu son retour. Mais il n'est pas revenu. Il m'avait donné ce dont j'avais besoin pour continuer ma route. Je n'étais pas triste, car chaque fois que je pensais à lui j'avais le sourire aux lèvres. Je me l'imaginais sauter sur le wagon d'un train de marchandises sur des rails célestes menant à la planète qu'il avait choisie, qui portait comme il se doit le nom de la déesse de l'amour. Je me suis demandé pourquoi il m'avait consacré tout ce temps. Je me suis dit que c'était parce que nous portions tous deux de longs manteaux en juillet : la fraternité de la bohème. "
"Just kids" est une autobiographie de Patti Smith qui se lit comme un roman. On découvre sur les pas de Patti et de sa bande d'amis le New York des années 70. Sa vie dans le Chelsea hotel et ses rencontres littéraires, poétiques et musicales. elle décrit avec beaucoup de pudeur et de poésie sa vie de jeune femme, qui se cherche. de belles rencontres dans les rues de Ny, dans les bars, dans les boîtes de nuits et dans les couloirs du Chelsea Hotel, une vie très romanesque malgré les difficultés de la vie. Une vie de bohème dans le New Yoirk des années 70. A lire avec en fonds sonore ses disques. Just kids est sa jeunesse, on attends avec impatience la suite et avec plaisir sa tournée. Elle associe ses concerts avec des lectures, de ses poémes et des textes qu'elle aime; de beaux moments en perspective.
https://animallecteur.wordpress.com/2020/04/09/just-kids-patti-smith/
Si vous me suivez depuis un moment vous devez sans doute connaitre mon amour pour Patti Smith. Ça a commencé au lycée quand je piochais dans les disques de ma mère et je savais que quand elles étaient jeunes, ma mère et une de ses sœurs l’écoutaient souvent. Puis en licence pro à Lille elle est passée en concert dans un théâtre et ma mère m’a offert une place pour aller la voir. Ça a été une révélation, j’ai adoré le personnage, son style, sa gestuelle, son humour et sa voix rauque et grave. Et puis après ça je me suis intéressée à ses écrits. Je me suis acheté Just Kids mais en version originale alors que l’anglais n’est pas vraiment mon fort du coup j’ai assez vite lâché l’affaire. Elle a un vocabulaire tellement riche que ça devenait laborieux de chercher un mot sur cinq dans le dictionnaire. Par la suite j’ai lu Glaneurs de rêves, M Train, Dévotion et j’ai profité de ce confinement pour lire en français Just Kids, la version XL de Gallimard avec des photographies puisqu’il n’est pas facile en mettre dans le sac à main.
Just Kids c’est l’histoire de deux jeunes en quête d’identité artistique (la photographie et les arts plastiques pour l’un, la poésie pour l’autre) qui vont nouer une relation fusionnelle. Une histoire d’amour qui va se transformer en une magnifique histoire d’amitié après que Robert Mapplethrope ne se rende compte qu’il était finalement plus attiré par les garçons que par les filles.
Cela commence durant l’enfance de Patti Smith, elle développe un amour précoce pour la littérature et en particulier pour les auteurs romantiques français comme Rimbaud, Baudelaire ou Genet. Cet amour la conduira d’abord à New-York pour essayer d’assouvir sa soif insatiable de connaissances puis à Paris où elle rendra visite à certains de ses idoles enterrés.
Dans ce livre, elle nous raconte sa rencontre avec Robert Mapplethrope un soir d’été, qui lui a peut-être sauvé la vie, puis leurs galères au quotidien et leur débrouillardise. Elle y raconte son séjour au Chelsea Hotel qui a connu de grands nom de la littérature, de la musique ou du milieu artistique de manière générale comme Gregory Corso, Allen Ginsberg, William Burroughs, Janis Joplin ou encore Andy Warhol. Elle y décrit toutes ses années ) vivre avec lui ou auprès de lui, jusqu’à son décès en 1989 dû au VIH.
Just Kids est une véritable preuve d’amour, un cri du cœur et une promesse qu’elle a fait à Robert Mapplethrope, de raconter leur histoire, sans phare ni exagération. Simplement ce qu’ils ont vécu. Tout comme chacun de ses écrits, c’est beau, plein de poésie et de tendresse.
Magnifique récit Je ne connais pas très bien l’oeuvre de Patti Smith à part quelques morceaux incontournables mais j’ai écouté ses morceaux pour m’accompagner dans cette lecture. Elle nous raconte ici, avec un style magnifique, limpide sa rencontre puis sa relation avec Robert Mapplethorpe, le photographe. Ces deux là ont commencé par être amants puis amis. Robert est attiré par les hommes. Patti Smith raconte leur vie de bohème à compter chaque cent, la faim mais aussi leur soutien l’un envers l’autre, leur équilibre “ le principe c’était simplement que l’un d’entre nous devait toujours être vigilant et tenir le rôle de protecteur désigné”. Ils sont liés par leur amour pour l’art et leur volonté de voir l’autre réussir. Elle nous raconte le parcours de Robert qui commence par créer des bijoux et faire des collages puis se tourne, enfin, vers la photographie une fois qu’il peut s’offrir le matériel nécessaire. Elle, aime dessiner et écrire de la poésie. J’ai apprécié son lent cheminement vers la musique alors que Robert l’encourageait à chanter depuis leur rencontre. Ce qui m’a fait adoré ce couple c’est leur volonté de voir l’autre réussir dans son art. Et même séparés, ils réalisent “avec une clarté plus éclatante encore” qu’ils veulent être ensemble.
Une magnifique histoire d’amour et d’amitié qui m’a beaucoup touchée, attendrie. Et je me répète mais quelle style !!! J’ai l’impression de m’être assise lors d’une soirée dans un appartement cosy lumières tamisées et que Patti Smith m’a raconté, comme des confidences, comment elle a rencontré Robert puis comment ils se sont soutenus, guidés, supportés, stimulés pour être des êtres accomplis grâce à leur art. Et je l’écoute émerveillée par toutes ces étapes fauchée, à la recherche d’emploie mais pas n’importe lequel dans le New York des années 60-70, impressionnée par les artistes qu’elle a rencontrés. Enfin, une histoire dans laquelle l’auteur clame son amour pour les livres, ce ne pouvait que me plaire.
J’ai lu cet été Mr Train, que j’avais apprécié. Il me fallait lire le premier livre de Patti Smith, dont je connais très peu la musique.
J’ai aimé lire ses jeunes années, son enfance et les débuts de sa relation avec Robert, à l’époque des collages et des poésies au débotté.
La période où leur carrière respective décollent m’a moins intéressée, citation de noms et de lieux inconnus de moi (quelle ignorance crasse…).
j’ai aimé lire la passion de Patti pour Robert, leur soutient mutuel.
J’ai été très étonnée de lire que des années plus tard, elle se souvenait encore des vêtements qu’elle portait, des aliments qu’elle a mangé. Et toujours sa passion pour le café, les dates anniversaires et les cimetières.
L’image que je retiendrai :
Celle des collages que réalisaient Robert et qui laissaient déjà imaginer l’étendu de son talent.
http://alexmotamots.fr/?p=2253
Mars 1989. Robert Mapplethorpe, célèbre photographe d'art américain malade du sida, se meurt.
C'est par la disparition de celui qui aura fait un bout de chemin avec elle que débute le récit de Patti Smith. L'occasion pour la chanteuse, de revenir sur ses jeunes années à New York et de nous livrer dans un récit autobiographique, tout en douceur et en poésie, le début de sa relation avec Robert Mapplethorpe et leurs ascensions respectives dans le milieu de l'art.
1967. La jeune Patricia Smith, pétrie de la certitude que sa vie doit être consacrée à l'art et l'écriture quitte sa modeste famille du New Jersey pour partir à l'aventure dans le New York underground de la fin des années 60. Sans le sou, elle va d'abord vivoter comme elle le peut, glanant ici un repas, là un toit pour dormir avant de dégoter un petit boulot dans un magasin de bijoux ethniques. C'est là que son destin va croiser celui de Robert Mapplethorpe qui viendra acheter un collier que Patti rêve de pouvoir s'offrir et qu'elle admire tous les jours dans la boutique. Alors que Robert quitte la boutique avec le collier, Patti lui dira : "S'il te plait, ne l'offre à aucune autre fille que moi !"... C'est ainsi que leur histoire d'amour libre et passionnée verra le jour... Dès lors, Patti et Robert n'auront de cesse de tenter de percer dans le milieu de l'art qui leur est cher, Robert vouant une indéfectible admiration pour Andy Wharol et Patti pour la poésie d'Arthur Rimbaud. Leur route croisera celle de Janis Joplin, Jim Morisson, Allen Ginsberg et bien d'autres encore, principalement dans cet endroit qui fut le creuset de l'art et de la création et où se croisèrent des personnalités et destins mythiques : le Chelsea Hotel.
Ce récit de Patti Smith est d'une douce beauté : limpide, frais, innocent, tout en retenue et emprunt de poésie. L'histoire est touchante et permet de comprendre comment ces deux destins ont fini par percer dans le milieu artistique qui était cher à leur coeur. J'ai été très touchée par cette histoire. Je savais que Patti Smith avait ce côté "poète", je savais qu'elle admirait Arthur Rimbaud et qu'elle avait eu une relation avec Robert Mapplethorpe, mais sa façon de le raconter est si douce qu'elle semble à des années lumière de la rock star qu'elle est !
Patti Smith commence son récit ainsi : "On a dit beaucoup de choses sur Robert, et on en dira encore. Des jeunes hommes adopteront sa démarche. Des jeunes filles revêtiront des robes blanches pour pleurer ses boucles. Il sera condamné et adoré. Ses excès seront maudits ou parés de romantisme. A la fin, c'est dans son oeuvre, corps matériel de l'artiste, que l'on trouvera la vérité. Elle ne s'effacera pas. L'homme ne peut la juger. Car l'art chante Dieu, et lui appartient en définitive."
Dans son livre, Patti Smith nous décrit sa petite enfance puis sa venue à New York pour y devenir une artiste jusqu'aux années 70, ses débuts dans l'univers du rock'n roll. Dans ce laps de temps, elle va faire une rencontre qui la marquera à jamais, celle de Robert Mapplethorpe (célèbre photographe). Ils vont vivre d'abord une histoire d'amour qui se transformera au cours du temps en une amitié profonde qui durera jusqu'à la mort de Robert du Sida dans les années 80.
Vous n'y connaissez rien au rock'n roll. Vous ne voyez pas qu'y sont Patti Smith et Robert Mapplethorpe. C'est pas grave. Ce qu'a essayée Patti Smith à travers son récit, c'est nous décrire comment devient-on artiste, quelles voies choisir (la poésie, le dessin, les collages.... ?). On ne devient pas artiste en passant dans des télé-réalités et autres émissions que regorgent la télé. C'est un cheminement intérieur, des essais râtés, des rencontres improbables et son propre talent que l'on travaille jusqu'à en ressortir la substantique moëlle.
Patti Smith qui au début se voyait plutôt poétesse deviendra une chanteuse de rock adulée avec des textes poignants (le plus connu est celui qu'elle a coécrit avec Bruce Springsteen "Because the Night - 1978). Suivront des albums mondialement reconnus : Horses, Dream of Life - 1988.....
Robert Mapplethorpe, très réticent au début malgré les encouragements répétés de Patti et de nombreuses autres personnes deviendra un des photographes les plus célèbres.
Si on voulait résumer encore plus le livre, on pourrait dire qu'il traite du chemin que prend chacun d'entre nous dans la vie pour le meilleur et pour le pire.
Patti Smith finit son livre ainsi : "Nous nous sommes dit adieu et j'ai quitté sa chambre. Mais quelque chose m'a fait revenir sur mes pas. Il avait sombré dans un sommeil léger. Je l'ai regardé tout un moment. Tellement paisible, comme un très vieil enfant. Il a ouvert les yeux et souri : "Déjà de retour ?" - Puis il s'est rendormi.
Ainsi ma dernière image fut-elle semblable à la première. Un jeune homme endormi, baigné de lumière, qui ouvrait les yeux avec un sourire de reconnaissance pour celle qui n'avait jamais été une inconnue."
Le livre est émaillé de clichés de Robert Mapplethorpe : autoportraits ou clichés de son modèle préféré, Patti Smith. Je vous ai rajouté des liens pour voir justement ces photos.
http://www.google.fr/url?q=http://www.citizen-k.com/mapplethorpe/&sa=U&ved=0CDQQwW4wDzgUahUKEwjmoODzmojIAhVFshQKHYMmCDs&usg=AFQjCNFFvpKTrGucQ4sIIQAV57LbT5PbpQ
http://www.google.fr/url?q=http://hqlture.com/robert-mapplethorpe-au-grand-palais/&sa=U&ved=0CBYQwW4wADgoahUKEwjsuZCMm4jIAhXJWBQKHRxtDC0&usg=AFQjCNGCS9TO0oAUk9yTJByW3iKi8QcVlQ
http://www.google.fr/url?q=http://www.tate.org.uk/art/artworks/mapplethorpe-self-portrait-ar00226&sa=U&ved=0CCAQwW4wBTgUahUKEwirvMiMnIjIAhXLshQKHcHiAAg&usg=AFQjCNEEWP4KU8DMoom5W3YHT3kwOViMcA
Pochette de l'album "Horses"
http://www.google.fr/url?q=http://blog.dailyshopwindow.com/robertmapplethorpe-grandpalais-rmn/&sa=U&ved=0CCIQwW4wBjhQahUKEwiMm8mhm4jIAhUHaRQKHcVXAPw&usg=AFQjCNGhe1zJn9QXW638trmBTINhGybQIQ
La voix rauque de Patti Smith, répétant sans se lasser « Because the night », raisonne encore à mes oreilles après plus de vingt ans de silence. C’est pourquoi, j’ai été si surprise de la voir ressurgir, ainsi en littérature. J’ignorais tout d’elle, mais il est vrai, que dans les années quatre-vingts, années de ma prime jeunesse, le public n’était pas aussi curieux de la vie des gens connus. Pourtant, à lire les pages de «Just Kids », je réalise qu’artiste, elle fut et restera, bien plus que de nombreuses stars actuelles, construites de toutes pièces par des producteurs avides et qui inondent la presse populaire, de leurs moindres faits et gestes, vides de sens.
Au travers de ce livre, Patti Smith nous dévoile avec délicatesse et sans faux semblants, d’innombrables détails qui l’ont construite, à la fois en tant que femme et en tant qu’artiste. C’est un témoignage très personnel, où tout sonne juste, où la vie est présentée avec ses joies, ses peines sans en accentuer, exagérément, le coté émotionnel. Ce respect des gens se retrouve jusque dans ses remerciements de fin d’ouvrage, quand sobrement, elle livre la promesse qu’elle a faite à Robert Mapplethorpe et rend hommage à ceux qui lui ont permis d’honorer son engagement passé.
Si son livre, laisse la part belle à Robert, qui fut plus qu’un amant, un amour et un ami, elle décrit aussi, avec beaucoup de réalisme, cette époque où New-York était, sans conteste, à l’avant-garde de tous les courants artistiques, aussi bien musicaux, plastiques que littéraires. Son style est époustouflant, d’une qualité littéraire rare. C’est fluide, pas de descriptions inutiles et d’une composition recherchée qui respecte la trame chronologique.
J’ai eu beaucoup de plaisir à parcourir ces pages, où la pudeur accompagnait chacune de ses pensées et révélations. A aucun moment, je n’ai eu l’impression de voyeurisme, malgré tout ce qu’elle racontait : sa grossesse non-désirée, ses galères pour dormir dans Brooklyn à son arrivée, les morts successives des artistes côtoyés ou le sida qui a dévoré progressivement Robert, son alter ego. Chaque évènement est présenté avec simplicité et élégance, sans mise en scène excessive et comme faisant partie, tout naturellement, de sa vie !
Merci au hasard d’avoir permis cette rencontre avec cette grande dame du rock qui, à bien des endroits, me ressemble malgré nos vies si différentes.
A priori, je n’aurai pas été tentée de lire «Just Kids». Car d’une part, je ne me serais pas senti assez proche de son auteur et d’autre part j’aurais pensé, doublement à tort, encore un livre d’artiste sur le retour !
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