80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans ce numéro, les diverses contributions mettent en évidence la portée sémantique et sociale du sujet, en s'interrogeant sur le sens du terme « populaire » : à travers l'étude de figures comiques (Bourvil, les Deschiens...), de lieux populaires (la rue, les tréteaux...) et de phénomènes de réception plurielle, le rire du pauvre est soumis à un questionnement qui témoigne des tensions à l'oeuvre dans la caractérisation du rire quand celui-ci a pour agent des figures de déshérités, c'est-à-dire quand la détermination sociale des rieurs pousse à réfléchir à la signification politique. Du Moyen Âge à nos jours, de la scène à la radio, en passant par le dessin de presse et la littérature, il est question du rire du pauvre que l'on retrouve sous différentes formes par delà les frontières: ces analyses qui permettent de confronter l'alternance entre un « rire de », un « rire contre » et un « rire avec », nous interrogent, avec humour, sur notre propre rire.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année