"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l'ascension du flanc de la falaise. Lorsqu'elle arrive au sommet, un inconnu affublé d'un petit chapeau noir l'interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n'a-t-il pas sa contrepartie ?J'adore cette histoire. J. J. Abrams.Une nouvelle captivante par le grand maître de l'horreur. Publishers Weekly.Édition illustrée dont 4 illustrations inédites.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Michel Pagel.
Stephen King excelle dans plusieurs domaines, et ce court roman est encore la preuve que le King est un maître dans le genre. Il excelle dans l’écriture à 4 mains et pas forcément qu’avec des membres de sa famille et aussi dans le roman court ou la nouvelle. Je dirais même que j’ai une affection toutes particulière pour les nouvelles de l’auteur et ces romans courts.
Gwendy et la boîte de boutons est écrit avec Richard Chizmar, auteur totalement inconnu du public français, mais bien plus connu outre Atlantique.
On retrouve dans ce court roman, ce qui fait la marque et aussi la marque de l’auteur, un/e ado mal dans sa peau, Castle Rock, le Maine.
1974, Gwendy, ado mal dans sa peau, rencontre par hasard (ou pas) un personnage étrange Richard Farris lors d’une de ses marches sportives pour perdre du poids. Ce dernier lui remet une boîte à boutons qui l’aidera à trouver le bien-être et le bonheur, mais cet apparent bonheur à un prix…
Avec le court roman « Gwendy et la boite à boutons », j’ai retrouvé Stephen King de mes premières lectures
Si vous ne le savez pas encore, Gwendy et la boîte à boutons est comparable aux petits gâteaux apéritifs que vous mangez anxieux à l’attente du repas qui ne tarde à être servie. Tout cela pour vous dire que ce court roman est présenté comme le prologue du roman « Elevation » qui sortira aux EU début novembre 2018.
Stephen King et Richard Chizmar, dans ce livre, ne sont plus dans le régistre du gore ou de l'horreur mais plutôt dans celui du conte mi - philospohique, mi - fantastique. Cela n'empêche pas d'être un livre que l'on dévore... comme les friandises que l'héroïne de ce récit , Gwendy, goûte avec modération.
Prenez une adolescente avec ses complexes (poids, physique sans intérêt, un peu intello,un peu victime de harcèlement scolaire avec des parents probablement usés par une vie de couple routinière) et faîtes la rencontrer un étrange personnage M Farris, de nature bienveillante... Il va dôter Gwendy d'une jolie boîte à boutons et pourvue de 8 nuances / couleurs/ co,tinents autant de tiroirs à mystères, pouvoirs, récompenses ou de catastrophes.... avec un minimum de précisions. En dire plus risquerait de gâcher la lecture que je recommandes.
A Gwendy de comprendre et de manipuler cette mystèrieuse boîte avec réflexions, modérations ou non ...afin de changer d'une certaine façon son destin et celui de ses proches mais pas que.
Bonne lecture.
Gwendy, 12 ans, ne se sent pas bien dans sa peau, elle porte des lunettes, a quelques kilos en trop, mais elle décide de prendre les choses en main avant d’entrer au collège… Elle n’a pas tellement envie que le surnom de Bibendum lui colle à la peau pendant des années, à cause du petit minable Francky Stone…
Un inconnu lui confie une boite, après quelques recommandations, il disparaît. Une boite avec des boutons de couleurs… Elle sent une responsabilité lui tomber sur les épaules, mais ce n’est qu’une gamine de 12 ans… La boite lui fait peur, mais l’attire en même temps… By by les kilos, bonjour la réussite, les amies…
L’histoire est simple et sans fioriture. On retrouve tous les ingrédients dont Stephen King est friand. L’enfance, l’angoisse, les drames…
Une lecture courte, mais pleine d’émotions. La boîte est une responsabilité, mais surtout une tentation permanente…
Dans ce conte fantastique, on suit Gwendy confrontée à des choix, des interrogations. On oscille, marche aux côtés de Gwendy, au gré de ses craintes, de ses tentations mais surtout de sa peur face à ses choix.
Stephen King nous entraine en 1974, autour de l’adolescence, du collège, au cœur de Castle Rock avec des références à ses anciens ouvrages. Et c’est ce que j’apprécie le plus chez King, on a l’impression que l’on retrouve une grande famille…
En cet été 1974, Gwendy Peterson s'impose tous les matins un footing qui se termine en haut des ''marches des suicidés''. Elle a 12 ans, des lunettes et quelques kilos en trop mais elle est bien décidée à prendre son destin en main et à maigrir avant d'entrer au collège. Hors de question qu'on la surnomme encore Bibendum, comme le fait la petite frappe du quartier, Francky Stone. Ses efforts commencent à porter leurs fruits quand, un matin comme les autres, un inconnu l'aborde et lui offre une mystérieuse boîte en acajou. Peu d'explications, quelques recommandations et l'homme disparaît, laissant Gwendy seule avec la boîte. Sur le dessus, des rangées de boutons de couleurs, par paires, sauf le rouge et le noir qui sont uniques. Une boîte effrayante et pourtant...Soudain tout lui réussit : kilos envolés, examens réussis, amies populaires, famille réunie...Pourtant, ce secret lui pèse, la boîte n'est pas seulement source de joie, c'est aussi une responsabilité et des tentations...
Castle Rock, une boîte aux pouvoirs magiques, de l'angoisse et des drames, on est en territoire connu, dans l'univers confortable de Stephen King, celui où l'enfance déraille à cause d'un petit grain de sable qu'on ne peut écarter en soufflant simplement dessus. Cette fois, le maître de l'horreur s'est associé à Richard Chizmar pour un format court, à l'intrigue rapide mais tout de même riche en émotions. Sombre sans être franchement noir, ce roman est plutôt un conte fantastique, une allégorie sur la misère du monde. Dès les premières pages on prend fait et cause pour la pauvre Gwendy, une enfant sensible mais déterminée, qui doit grandir, mûrir et surtout veiller sur une boîte dont elle ne maîtrise pas les pouvoirs. Entre raison et curiosité, haine et addiction, il lui faut bien du courage pour résister à son emprise, la garder hors de portée de gens mal intentionnés et se garder de ses éventuels méfaits.
Ce n'est certes pas le livre du siècle mais c'est un plaisir de se promener à nouveau à Castle Rock, la petite ville du Maine qui n'en finit pas de subir les effets néfastes de l'imagination fertile de Stephen King qui en a fait son terrain de jeu préféré.
Qu'il est bon de participer à un concours, surtout pour gagner le dernier livre en date de Stephen King ! Merci donc aux éditions Livre de Poche pour ce cadeau savoureux. Ecrit à quatre mains, S. King et Richard Chizmar signe un court roman addictif et mystérieux. Que feriez-vous à la place de Gwendy si vous receviez d'un étrange inconnu chapeauté, une boîte en cadeau ? Attention, pas n'importe laquelle. Une boîte aux pouvoirs vertigineux, une boîte qui peut vous rendre fort, invincible, mais aussi provoquer des catastrophes de votre seul fait. Huit boutons décorent cette boîte, mais un seul, rouge, l'attire particulièrement. Pour l'instant, la jeune-fille se contente de profiter des deux manettes lui offrant pièces de monnaies d'un autre temps et chocolats magiques, mais bientôt la tentation sera trop forte... Oscillant entre le conte pour enfants et le fantastique avec une facilité déconcertante, le duo écrit une fable fascinante sur l'attrait du pouvoir et les conséquences de nos actions. Sans avoir recours à des scènes violentes où l'hémoglobine coule à flots, je peux vous rassurer, le maître est toujours au top !
Durant l'été 1974 à Castle Rock, Gwendy Peterson douze ans, décide de prendre le contrôle de son corps. Surnommée Bibendum par certains camarades, elle décide de s'adonner au sport et quoi de mieux que grimper les 350 Marches des suicidés donnant sur Castle View ? Déterminée, c'est en ce lieu qu'elle est abordée par un homme étrange, Mr Farris. Tout en discutant, précisant qu'il n'est pas le pervers qu'elle croit entrevoir, Mr Farris lui offre un coffret de bois pourvu de deux manettes et surmontés de huit boutons de couleurs. D'une des manettes, Gwendy y trouvera une pièce de monnaie rare, de l'autre un chocolat exquis en forme d'animal. Les boutons ? Représentant les continents, sauf l'Antarctique, les boutons rouge et noir semblent avoir une utilité tout autre. Leurs fonctions ? Mystère ! Un seul mot d'ordre, protéger la boîte des autres. Ainsi Gwendy, nouvelle propriétaire de la boîte, va peu à peu changer et laisser place à la curiosité...ou pas.
Retrouver l'univers de Stephen King, c'est un peu comme manger un cookie. C'est croustillant et moelleux avec le goût familier d'y retrouver "un je ne sais quoi" de savoureux qui rappelle des souvenirs. Une madeleine de Proust en somme. A chaque lecture d'un de ses romans, j'éprouve toujours ce sentiment de ne rien comprendre, puis de m'être fait prendre dans une toile pour enfin me faire dévorer par l'araignée. Et celui-ci ne fait pas exception. Les codes de l'auteur, bien présents, expédient littéralement le lecteur dès les prémices. Une petite ville bien sous tout rapport, un obscur personnage et des événements étranges, le décor est planté.
Ce qui fait l'attrait de ce roman est le secret et le pouvoir autour de cette boîte. Gardienne de l'objet, Gwendy sera-t-elle consumée par la curiosité ou parviendra-t-elle à se maîtriser ? L’intérêt s'articule donc autour des choix que va faire la fillette et la tentation qu'offrent les boutons, mais surtout des conséquences. Je peux d'ors et déjà vous dire que la tentation est grande, très grande... Gnark, gnark, gnark !
Peut-on alors parler de parallèle entre le pouvoir politique et l'obsession grandissante de Gwendy envers la boîte, à l'instar de Golum dans Le seigneur des anneaux ? Entre le fantasme de la petite et grande Histoire ? Je vous laisse juger avec cette citation dès la page 38 :
- Si vous aviez un bouton, un bouton magique, et que, en le poussant, vous pouviez tuer quelqu'un ou peut-être juste le faire disparaître, ou bien détruire n'importe quel endroit de votre choix. Quelle personne feriez-vous disparaître, ou quel endroit détruiriez-vous ? (...)
- Heureusement que ce genre de bouton n'existe pas, dit miss Chiles.
- Oh, mais ça existe ! Nixon en a un. Brejnev aussi. Et d'autres encore.
Ayant dispensé cette leçon, non d'histoire mais d'actualité,Gwendy s'éloigne sur une bicyclette qui sera très bientôt trop petite pour elle.
Métaphore de la maîtrise de soi ? Volonté d'esprit ? Je vous laisse décider, mais quoi qu'il en soit j'ai beaucoup apprécié le personnage de Gwendy, son évolution et sa force de caractère, propre aux personnages féminins de Stephen King. Fluide et maîtrisé, j'ai particulièrement aimé la fin, contrairement à l'avis général, puisqu'il est dans la continuité et la cohérence du message des auteurs. Des auteurs, parlons-en car un nom m'a interpellé : Richard Chizmar. Comment n'en ai-je pas entendu parler ? Auteur et éditeurs de nouvelles d’horreurs, il n'est tout simplement pas traduit en France. Mesdames et messieurs les éditeurs... Illustré par Keith Minnion, je ne peux que vous conseiller ce court roman qui vous fera passer un très bon moment.
Pour les amoureux ou les curieux de l'univers de Stephen King, je vous encourage à parcourir les pages du site du Club Stephen King en cliquant ici ! Truffé d'anecdotes et d'actualités autour du romancier, c'est une excellente plateforme qui plus est active. Venez, ils flottent tous en bas...
Un court roman du maître, c'est déjà pas mal, mais comblé d'une gourmandise c'est encore mieux ! On reste aux Etats-Unis avec un délicieux browkie, rencontre entre brownie et cookie, et un café crémeux à la noisette. Alors, on est pas bien là ?
http://bookncook.over-blog.com/2018/12/gwendy-et-la-boite-a-boutons-stephen-king-richard-chizmar.html
J'ai adoré cette nouvelle à Castle Rock. Gwendy et sa boîte à boutons m'ont rappelé "Bazaar". Stephen King est un maître de l'horreur.
Oh quel bonheur d'avoir reçu ce petit livre pour mon anniversaire!!
Un cadeau qui me ravit, auteur adoré et l'histoire ...on en parle...
J'ai adoré Gwendy et sa boite a boutons, j'y ai retrouvé l'univers de Stephen King en plus doux et plus gentil mais quel bonheur, cette petite fille qui ne demande rien et qui se fait interpeller par un drôle de monsieur au chapeau bizarre et qui va lui offrir, voir confié cette boite a boutons avec toute la responsabilité qui va lui en incombé .
Le suspense est présent au fil des pages et la fin un délice.
Une belle réussite pour ce petit inédit qui se dévore rapidement et qui nous dépayse complétement.
Si dans un premier temps le titre m’a fait penser qu’il s’agissait de boutons pour vêtements, une fois que j’ai su que c’étaient ceux d’une machine sur lesquels on appuie, j’ai à ce moment là eu en tête le terrible film « The box » avec Cameron Diaz que j’avais trouvé véritablement diabolique (surtout la fin !).
De plus, la 4ème de couverture indique « La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n'a-t-il pas sa contrepartie ? ». Cela m’a encore plus fait penser à « the box » où le prix à payer est particulièrement élevé !!!
On retrouve donc ici une boite mystérieuse remise à une fillette de 12 ans par un homme mystérieux coiffé d’un chapeau noir, Mr Farris. Une boite où 2 manettes délivrent des pièces d’argent, des chocolats « magiques » et équipée de 8 boutons de couleurs différentes. 8 boutons sur lesquels il ne vaut mieux pas appuyer.
C’est là que se trouve tout le suspens de l’histoire. Quel est le pouvoir de ces boutons ? Que provoquent t-ils sachant que chacun d’eux représentent un continent, un ce que l’on veut et le dernier « tout ».
160 pages écrites à 4 mains par Stephen King et Richard Chizmar, « Gwendy et la boite à boutons » n’est pas une histoire si terrifiante que ça, elle se lit facilement et est plutôt sympathique mais s’avère intéressante parce qu’elle invite surtout à réfléchir à l’utilisation que nous ferions de cette boite si nous étions en sa possession une fois que l’on connait le pouvoir de ces boutons. Et ce, d’autant plus, comme nous le rappelle à juste titre les auteurs à travers leur héroïne, que cette terrible boite… EXISTE VRAIMENT. Lisez et vous comprendrez…
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