"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Je travaille dans mon petit coin, comme je peux, et m'essaye à traduire de mon mieux l'impression que je reçois de la nature... C'est mon instinct seul qui me guide et je suis fier de ne ressembler à personne... » Gustave Loiseau parlait peu de son travail, préférant poursuivre dans une certaine solitude ses « études » et ses voyages. Pourtant, il a longuement regardé Monet et Pissarro, mais aussi Gauguin dont il a fait la connaissance à Pont-Aven.
Avec Maxime Maufra et Henry Moret, il forme un petit groupe qui prolonge l'évolution ultime de l'impressionnisme. Il invente une écriture picturale personnelle et abstraite, une manière originale de traduire la lumière avec laquelle il fait vibrer la matière par un fin réseau de touches croisées s'attachant à traduire la transparence de l'air et du ciel. Il peint par tous les temps les bords de Seine, de l'Oise ou de l'Eure, de Paris jusqu'au Havre, ainsi que les côtes rocheuses de Bretagne et plus souvent encore les falaises du pays de Caux. Nuages, brumes, effets de neige ou de givre font de son oeuvre un hymne au spectacle changeant de la nature.
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