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Élysée circus ; une histoire cinglante des présidentielles de 1965 à nos jours

Couverture du livre « Élysée circus ; une histoire cinglante des présidentielles de 1965 à nos jours » de Jean Garrigue et Jean Ruhlmann aux éditions Tallandier
  • Date de parution :
  • Editeur : Tallandier
  • EAN : 9791021014688
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

« La vie m'a appris qu'il y a deux choses dont on peut très bien se passer : la présidence de la République et la prostate. » Cette boutade attribuée à Georges Clemenceau apparaît d'une actualité brûlante, tant la figure présidentielle est aujourd'hui dévaluée. Raconter les campagnes... Voir plus

« La vie m'a appris qu'il y a deux choses dont on peut très bien se passer : la présidence de la République et la prostate. » Cette boutade attribuée à Georges Clemenceau apparaît d'une actualité brûlante, tant la figure présidentielle est aujourd'hui dévaluée. Raconter les campagnes présidentielles de la Ve République à travers la formule choc, le trait d'humour, la boutade assassine, tel est l'objet de cet essai.

Il n'est pas un régime, pas une époque qui ait échappé à la manie bien française de la sentence fameuse, du bon mot ou de la formule qui fait mouche. Les mots du politique - qu'ils soient profonds, intenses, grandiloquents, ou légers, superficiels, impertinents, injustes, méchants, cruels - font bien souvent bouger les lignes de l'opinion et du jeu électoral. Depuis les débuts de la Ve République, avec l'essor de la télévision puis des réseaux sociaux, la sur-médiatisation n'a fait que renforcer cette tendance française de la petite phrase.
De Marcel Barbu s'adressant au général de Gaulle : « les Français vous admirent mais ne vous aiment pas mon général ! », en passant par cette phrase de Valéry Giscard d'Estaing : « Vous n'avez pas, monsieur Mitterrand, le monopole du coeur », jusqu'à François Hollande avec son célèbre « Moi, Président! », Jean Garrigues et Jean Ruhlmann retracent l'historique des formules fameuses qui alimentent notre roman national.

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