Sally mène une vie tranquille. Du moins jusqu'à ce qu'elle tue son mari d'un coup de poêle en fonte. Se débarrasser de ce corps qui gît dans sa cuisine ne va pas être une mince affaire, surtout en plein confinement.
?Le chemin de Sally croise bientôt celui de Ruth, dont le conjoint vient d'être victime d'un accident fatal, puis de Samira et Leila, une mère et sa fille, qui ont aussi un corps à faire disparaître. Les quatre voisines, rejointes par une cinquième comparse, Janey, forment alors un drôle de Club des fossoyeuses confinées pour tenter de sortir ensemble de cette situation inextricable.
Ce roman caustique et tendre, mené tambour battant, brosse le portrait de femmes qui se découvrent dans l'adversité, se lient et s'entraident pour être enfin libres.
Ce roman épais ne m'a pas attirée avant avoir lu de nombreuses pages. J'ai failli abandonner puis finalement, j'ai persévéré pour "tomber" sur des événements invraisemblables mais qui laissaient transparaître des émotions réelles, très bien décrites, de femmes ayant été violentées par leurs époux, ainsi que la nature de leurs stratégies mises en place pour survivre et tenter de préserver leurs enfants. On sent que l'auteure maîtrise parfaitement le sujet (elle est enseignante et conseillère en ce domaine) qu'elle traite cependant avec humour.
En conclusion, ce n'est pas le type de livre qui me correspond mais il n'est pas dénué d'intérêt.
Ce roman aborde avec humour un sujet qui n’est pourtant pas drôle : celui des femmes maltraitées par leur mari.
En plein confinement lié au Covid, quatre femmes ayant malencontreusement occis leur mari s’associent pour faire disparaître les corps.
Rédigée dans un style « chick lit », l’intrigue est un peu téléphonée, trop manichéenne (ah, les méchants hommes et leurs pauvres victimes féminines !) et totalement improbable, mais le bouquin reste sympa... sans plus.
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