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Tout va trop viteet pourtant.
L'homme pressé ferait figure d'escargot s'il se mesurait à lui. Mais, contrairement au personnage de Paul Morand, Stefan Nether, plongé dans le concret, la négociation permanente, le business, a trouvé un incroyable jardin secret pour se ressourcer.Le train, qui était un outil de travail, devient le refuge de la rêverie, du laisser-venir et d'une nouvelle approche du monde, souriante, indulgente et amoureuse. Stefan Nether passe ses longues heures de voyage à rêver et comprendre.S'il se penche sur son ordinateur, c'est pour noter un poème flash, une sensation unique et brève, et s'il prend son téléphone, c'est pour saisir une image arrachée à l'instant, au fugace. Les poèmes sont des photos et les photos sont des poèmes.le mot de l'éditeurLa collection Carbone doit beaucoup à ce livre et à son auteur atypique. Stefan Nether est en effet un nouveau venu dans le monde de la poésie. Or celle-ci doit désormais trouver un nouveau souffle car la vie contemporaine, riche en déconvenues, drames et désespérance, va dans les temps prochains inciter un public grandissant à se tourner vers cette forme d'expression de l'âme pour y puiser des recours, des ressources, de l'énergie. A condition que cette poésie elle-même rende compte du vécu et de la vie actuelle.
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