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Simon Parcot

Simon Parcot
Simon Parcot est écrivain et philosophe. L'année de ses vingt ans, un drame l'envoie sur les routes : il part sur les chemins de Compostelle et de Stevenson en soli taire, marche en Himalaya puis revient en France vivre dans la vallée sauvage du Vénéon (Oisans). La montagne et son univers lui in... Voir plus
Simon Parcot est écrivain et philosophe. L'année de ses vingt ans, un drame l'envoie sur les routes : il part sur les chemins de Compostelle et de Stevenson en soli taire, marche en Himalaya puis revient en France vivre dans la vallée sauvage du Vénéon (Oisans). La montagne et son univers lui inspirent Le Bord du monde est vertical, son premier roman.

Avis sur cet auteur (9)

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    Couverture du livre « Le bord du monde est vertical » de Simon Parcot aux éditions Le Mot Et Le Reste

    Domi Mots sur Le bord du monde est vertical de Simon Parcot

    Un huis-clos glaçant en pleine montagne.
    Et un personnage central, la Grande : un sommet jamais atteint, toujours vierge de la présence des hommes, protégé par une paroi à la verticale.

    Dans la vallée des Glaces, la « Cordée » se met en route pour réparer une ligne électrique au Reculoir,...
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    Un huis-clos glaçant en pleine montagne.
    Et un personnage central, la Grande : un sommet jamais atteint, toujours vierge de la présence des hommes, protégé par une paroi à la verticale.

    Dans la vallée des Glaces, la « Cordée » se met en route pour réparer une ligne électrique au Reculoir, dernier refuge avant la Grande.
    « La Cordée, c'est deux chiens, une femme et trois hommes : Zéphyr, Moïra, Ysé, Vik, Gaspard et Solal ; six silhouettes qui tentent de se frayer un passage dans les endroits les plus escarpés de la vallée, qu'il neige, qu'il vente ou qu'il glace. C'est un vaisseau précaire, une avant-garde d'humanité en ces territoires lunaires à laquelle les habitants font appel pour effectuer les besognes quotidiennes - qui se transforment vite, à cette altitude, en de périlleuses aventures. »

    Les conditions sont dures : tempête, vent et neige. Tous craignent que Gaspard poursuive la montée jusqu’au bout. Et peut-être même au-delà, vers la Grande qui l’aimante et l’attire irrésistiblement.

    Dans cette ascension impossible, Gaspard embarque Solal.
    Un jeune homme épris des plaisirs de la vie, en contraste avec les aspirations métaphysiques de Gaspard. Et pourtant, ils se comprennent intuitivement.

    Si on aime les réflexions sur le sens de la vie, de la mort, la recherche de l’absolu, la nature sauvage, on apprécie infiniment ce roman percutant. Sinon….
    Heureusement je fais partie de la première catégorie.
    J’ai aimé cette belle image entre homme et montagne : se vaincre soi-même pour ensuite vaincre la paroi de la Grande.
    « Si on le suit, gravir la Grande, ce serait nous gravir nous-même, aller chercher en nous-même, par-delà les illusions, les traumas et les peurs, notre vérité et notre essence. (…) si le sommet de la Grande est la métaphore de notre quête intérieure, alors son sommet représenterait l’accomplissement définitif de cette quête, c'est-à-dire, selon mon interprétation, quelque chose comme « la perfection », la « libération », le « paradis », « l’éternité » ! »

    Simon Parcot est écrivain et philosophe, amoureux de la montagne.
    Un beau moment de lecture en sa compagnie.

    Roman lu dans le cadre du Prix des lecteurs 2024.
    Merci aux éditions « le livre de poche », pour ce premier et beau roman.

    https://commelaplume.blogspot.com/

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    Couverture du livre « Le chant des pentes » de Simon Parcot aux éditions Le Mot Et Le Reste

    M.B.13 sur Le chant des pentes de Simon Parcot

    Conte initiatique, éco-poétique et animiste aux images de mousse, de racines et de ciel magnifiques. L'histoire de Gayané prend sa source dans un secret et se cristallise autour de son mutisme. C’est l’occasion pour Simon Parcot de toucher à quelque chose qui est à la fois intime et politique,...
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    Conte initiatique, éco-poétique et animiste aux images de mousse, de racines et de ciel magnifiques. L'histoire de Gayané prend sa source dans un secret et se cristallise autour de son mutisme. C’est l’occasion pour Simon Parcot de toucher à quelque chose qui est à la fois intime et politique, de toucher à la question du langage, du rapport aux langues mortes, tuées par la violence, la honte et le secret.

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    Couverture du livre « Le bord du monde est vertical » de Simon Parcot aux éditions Le Mot Et Le Reste

    Spitfire89 sur Le bord du monde est vertical de Simon Parcot

    Premier roman d'Anthony Parcot , nature writting d'une expédition, tempête de neige, chien, cordé, ascension du mont Blanc, un texte fascinant, de beaux décors, de la poésie, de la tension et du mystère. Un livre court mais l'histoire et les personnages manquent de profondeur.

    "Ici, les...
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    Premier roman d'Anthony Parcot , nature writting d'une expédition, tempête de neige, chien, cordé, ascension du mont Blanc, un texte fascinant, de beaux décors, de la poésie, de la tension et du mystère. Un livre court mais l'histoire et les personnages manquent de profondeur.

    "Ici, les hommes se taisent car dehors, il n'y a pas de place pour la parole. Il n'y a que le vent, le gel, l'immensité des sommets qui imposent un silence brutal, le silence de l’hébétude, dans lequel on peut même rester toute sa vie."

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    Couverture du livre « Le bord du monde est vertical » de Simon Parcot aux éditions Le Mot Et Le Reste

    emilie77400 sur Le bord du monde est vertical de Simon Parcot

    Livre reçu dans le cadre du prix poche Relay x KitKat.
    La quatrième de couverture m'avait happée. Cette histoire d'ascension dans un cadre hostile me paraissait prometteuse, d'autant plus que j'aime assez les huis clos.

    L'histoire : Gaspard et Solal font partie de la même cordée, avec leurs...
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    Livre reçu dans le cadre du prix poche Relay x KitKat.
    La quatrième de couverture m'avait happée. Cette histoire d'ascension dans un cadre hostile me paraissait prometteuse, d'autant plus que j'aime assez les huis clos.

    L'histoire : Gaspard et Solal font partie de la même cordée, avec leurs compagnons et leurs chiens, ils doivent se rendre au reculoir, dernière étape avant le Bord du monde, afin de secourir le père Salomon privé d'électricité depuis quelques jours. Mais Gaspard, encouragé par le vieil homme, ne compte pas s'arrêter là et compte bien réussir l'impossible ascension du mur de glace.
    C'est donc accompagné du jeune grimpeur qu'il se lance dans cette périlleuse aventure. Fortune et gloire seront-elles au bout du chemin?

    Je me suis laissée portée par l'écriture fluide et je dois bien admettre avoir apprécié ma lecture, du moins jusqu'à la fin, qui elle, m'a complètement perdue. Je n'ai pas compris et c'est très frustrant. Quel message l'auteur a-t-il voulu passer? Il faut bien dire que ne suis pas très ouverte à ces fins "philosophiques" , j'ai toujours l'impression que l'analyse que j'en fais n'est pas forcément celle que l'auteur voulait faire passer. Mais là, rien, je ne sais pas où l'auteur a voulu en venir.
    Donc si certains d'entre vous ont lu le livre et veulent bien m'expliquer, je vous en serais reconnaissante.

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