"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Quand un livre vous enveloppe comme un grand plaid de fourrure…
Lucy Clark est seule, elle a perdu sa grand-mère qui s’occupait d’elle depuis la mort de ses parents. Jeune femme volontaire, elle se dévoue à son travail et à son patron dont l’entreprise connaît des difficultés. Alors pourquoi ne pas aller rencontrer Ross Miller dont la famille vit dans les Highlands et lui faire une proposition qui pourrait sauver son travail. Mais on la prend pour la copine de Ross et avec la tempête de neige qui les bloque tous dans la maison, la situation ne va pas être simple à gérer ! Devant un feu de cheminée, une passion pourrait-elle naître ou être enfouie sous les cendres ?
Une amie m’a convaincue de l’accompagner dans la promotion des romances qu’elle défend et après la lecture des romans pressentis pour le Goncourt, j’ai plongé dans du moelleux qui ne fait de mal à personne et qui redonne un goût sucré aux moments à soi. Voir une Lucy en jeune femme moderne, déterminée et manifestement en manque de sécurité et d’affection m’a fait passer un moment léger et cotonneux.
J’ai lu comme j’aurais dégusté une pâtisserie très parfumée, comme j’aurais visité un Salon de friandises, comme j’aurais voyagé dans une luge sous d’épaisses fourrures. C’est élégant, piquant, et férocement indépendant. J’y ai retrouvé tous les codes des romances mais cela a un côté rassurant et bienveillant. Des mots pour se faire du bien quand la nuit tombe trop vite.
Se retrouver sous les flocons de neige en bonne compagnie, qui y résisterait ? Il y a de l’humour et de l’émotion sans mièvrerie. La famille bien qu’argentée donne la priorité au respect et au dépassement de soi. Les échanges entre Glenda et Nanna Jean, la belle-mère qui se mêle de tout sont savoureux.
Allez, je n’ai pas besoin de vous en dire plus pour vous faire craquer, tous ces romans se ressemblent mais qu’est-ce qu’ils font du bien ! Et je dois noter l’excellence orthographique et grammaticale qui n’est pas toujours présente dans des livres plus considérés. Je note la qualité de la traduction assumée par Catherine Berthet.
Je remercie Mélanie et les Editions &H pour ce service de presse. Le roman est sorti en octobre.
Romance feel good, chick lit de Sarah Morgan, un one shot douce, une tranche de vie du quotidien. Des drames, de l'amours, des rencontres, l'amitié, plusieurs intrigues et vies avec Claire, Flora, Jack, Izzi, Becca.......
Une intrigue dynamique, vif, percutante et prenante, de nombreux thèmes abordés parfois des sujets difficiles, des personnages attachants. Une écriture sensible, drôle et humble.
"Il l'écouta en silence, lui offrant un murmure compréhensif de temps à autre, posant une question ou deux,la regardant juste assez souvent pour montrer qu'il était attentif, pas assez souvent cependant pour la mettre mal à l'aise."
Dernier opus de la saga, je rappel que chaque tome peuvent ce lire indépendamment.
On retrouve ici Harriet la soeur jumelle de Felicity, on découvre Ethan au caractère opposé, les personnages sont attachants, l'écriture est fluide, douce, poétique, l'autrice nous plonge dans de magnifique décor comme à chaque fois, Fratrie, Famille, Amour, Relation Homme/Animal, lecture addictive et passionnante, drôle et légère par contre cette fois même si avec le titre de ce tome on ne s'en doute pas on sur les fête de fin d'anne mais les petits flocons son un indice.
Second opus de la saga From New York with Love de l'autrice, des lectures qui peuvent être lu indépendamment.
On suit Seth et Felicity des personnages attachants, par contre Felicity manque d'assurance.
Hariet et Felicity son jumelle est il y aura un échange entre les deux.
Romance, Échange, Retrouvaille, Confiance en soi et Seconde chance.
Une belle histoire, des paysages merveilleux, une plume fluide, un scénario agréable et prenant.
"Ce qui rend la douleur tolérable, c’est de pouvoir la partager avec ceux qui nous entourent. Ceux qui nous aiment."
"Aux marges de sa tristesse venaient gronder des vagues de colère et de grands sursauts de rage. Et, encore en dessous de la rage, il y avait la mortification. Une mortification qu'elle s'appliquait de toutes ses forces à ne pas laisser paraître. Ne jamais montrer à une brute que l'on a peur. Ne jamais s'autoriser à être vulnérable."
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